Chapitre 2

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Désolée je me suis encore plantée, le dernier chapitre que j'ai posté était le chapitre 1, et lui, c'est le chapitre 2. J'espère que la suite vous plaira toujours autant!

Chapitre 2

Je m’emmerde. Je m’emmerde. Je m’emmerde. Je m’emmerde. Vous savez, je pourrais répéter ça pour toute cette histoire pourrie. Sauf que si je fais ça, l’auteure va me tuer. Mais je m’emmerde. Pourquoi ? Parce que la stupide auteure qu’est Bibicool360 m’envoie à l’école alors que je suis une des personnes les plus intelligentes de cette planète. Je sais que c’est pour se foutre de ma gueule, mais sérieusement, ça craint ! Bon, d’accord, j’arrête de me plaindre… pour ce chapitre seulement.

Chapitre 2 (le vrai)

La journée fut étouffante, bien plus que d’habitude. J’avais mangé seule (évidemment), les élèves chuchotaient sans arrêt dans mon dos (comme on peut s’en douter), les cours furent d’un ennuie mortel (comme dans n’importe quelle école) et les autres examens furent bien trop facile (pour moi en tout cas). Tout ça, c’était mon quotidien habituel, alors pourquoi ais-je étouffé ? Parce que c’est la fin de l’année, il fait un temps magnifique et, vu ma condition d’HVNIQSPPUOPIQLM (Humaine Volante Non Identifiée Qui Se Prend Pour Un Oiseau Plus Intelligent Que La Moyenne), c’était une véritable torture d’être ainsi enfermée dans une salle de classe avec des primates. Je me sentais… je me sentais comme un oiseau en cage. Voilà, j’ai lâché le cheap shot du jour, contents ? Enfin bref, ce fut une journée qui m’a quasiment tué et ce fut donc d’un pas excessivement lent que je pris le chemin du retour.

Je passais encore devant la tour Stark, sauf que cette fois, je me stoppais pour l’admirer (où plutôt me moquer des journalistes qui tentaient encore d’entrer par effraction). Ça ne me dérangerait pas de vivre là-dedans. Il faudrait juste que je renvoie tout le monde, parce que leur présence polluerait mon air. Je ne comprends même pas pourquoi j’ai décidé de vivre à New York, cette ville est bien trop peuplée d’imbéciles pour mon propre bien. Bon, je vais penser à déménager plus tard, pour l’instant, j’ai rendez-vous avec mon toaster pour une petite vengeance dû aux pains brûlées de ce matin. J’arrivais devant mon immeuble, entrais, et prit l’ascenseur. Je ne prêtais guère attention au crétin qui venait là m’attendre chaque soir depuis je ne sais combien de temps, et ne lui laissais même pas le temps de me faire une déclaration enflammée, car je sortis dès que les portes s’ouvrirent à mon étage. Un des seul avantage de cet immeuble, c’est que comme j’habite au dernier étage, il n’y a que deux autres personnes qui occupent l’appartement d’en face, les autres étant vides vu l’argent qu’on doit dépenser pour le garder en notre possession. Je vis en quelque sorte dans un « appartement de riches » comme certains les appellent. C’est vrai que j’ai beaucoup d’espace, surtout que je suis seule, mais j’aime bien ça.

Comment je fais pour payer alors que je suis encore au collège ? Un héritage, purement et simplement. Un très gros héritage, en fait. C’est bien la seule chose que mes connards de parents ont faite de bien dans leur vie, d’ailleurs. Ils m’ont légué tout leur argent à leur mort, vu que j’étais leur seule descendante. Enfin, il y aurait bien eu mon frère, sauf qu’il est mort sous mes yeux lorsque j’avais sept ans. Mon frère. La seule personne en chair et en os que j’ai jamais apprécié, la seule chose qui comptait à mes yeux autrefois. La seule personne qui m’acceptait tel que je suis vraiment. Enfin, passons. Je crois que je me suis encore égarée de sujet, à raconter ma vie pour des gens qui n’en comprennent pas la moitié. J’arrivais donc devant mon appartement, et entrais sans attendre. Je jetais négligemment mon sac sur une chaise, et avançais d’un pas menaçant vers le toaster.

Ennuis en vue!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant