Ma photo préférée...

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PDV Colin

Je quitte la résidence de Marc, satisfait de mon plan. J'ai hâte de retrouver ma Vipère. Elle a une promesse à respecter, mais je jure devant Dieu que si Lightwood la touche, je me chargerai moi-même. Je prends la direction du repère, déterminé à peaufiner et vérifier les derniers détails, exprimant ma pensée à voix haute pendant le trajet.

"Il est temps pour toi, ma reine, de prendre enfin ta place. Que le jeu commence. Pas n'importe lequel, notre jeu..."

Après un bon quart d'heure de marche, j'arrive à la tanière et salue d'un signe de tête mes hommes et mes femmes de rang. Mon bureau est spacieux, même s'il n'est pas moderne, peu importe. Je m'installe à mon bureau après m'être servi un bon scotch. Je suis plongé dans mes réflexions lorsque quelqu'un toque à la porte. Je soupire, n'appréciant pas d'être dérangé, à moins que ce ne soit urgent. J'autorise l'entrée et mon homme de main m'annonce que j'ai de la visite. J'hoche la tête en signe d'approbation. Un homme pas très grand, blond aux yeux gris, se présente devant moi, visiblement terrifié.
- Je... je suis la personne que vous avez contactée pour...
- Ah oui ! Je ne vous attendais pas si tôt. Alors, dites-moi, avez-vous trouvé ce que je cherche ? dis-je d'un ton froid.
- Il a été difficile de craquer le code, mais oui, j'ai réussi à récupérer le cliché, m'affirme-t-il en déposant une grande enveloppe devant moi.
J'y jette un coup d'œil et souris légèrement, satisfait une fois de plus.
- Alors, vous l'avez regardé ? dis-je d'une voix glaciale.
- Euh... non... enfin... je n'ai rien vu. Je n'ai ni ouvert ni regardé...bafouille-t-il, cherchant ses mots.
- Foutaises ! hurlé-je en me levant brusquement.
Le regard de l'homme se fige, apeuré, comme une biche croisant les phares d'une voiture sur le point de la percuter. Ne lui laissant pas le temps de répliquer, j'interromps ses pensées et sors mon arme de poing, mon fidèle Colt King Cobra.
L'atmosphère devient électrique alors que je m'approche lentement de lui, fixant son regard paniqué.
- Tu te moques de moi ? grondé-je avec une rage contenue. Tu oses prétendre que tu n'as pas ouvert la photo ? Que tu ne sais rien ?
L'homme tente de balbutier des excuses, mais elles ne font qu'accentuer ma colère. Son incompétence a des conséquences graves.
- Tu vas payer pour ton échec, dis-je d'une voix glaciale, mon arme toujours pointée vers lui. Tu n'aurais jamais dû accepter cette mission si tu n'étais pas capable de la mener à bien.
Je sens la pression de la détente sous mon doigt, prêt à exécuter la sentence. L'homme supplie pour sa vie, mais je suis implacable.
- C'en est fini pour toi, murmure-je d'une voix sombre et déterminée.

- C'en est fini pour toi, murmure-je d'une voix sombre et déterminée

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Je m'excuse pour la confusion. Voici la scène que vous avez demandée :

Le temps d'un battement de cils, j'appuie sur la détente, et la balle se loge directement au milieu de son front. Son corps s'écroule, inerte, tandis que la vie le quitte. Je décide de m'approcher, le regardant droit dans les yeux. Je ne vois pas seulement la lumière qui animait sa vie s'éteindre, mais aussi son âme qui s'échappe de son être.

Un sentiment de jubilation m'envahit, et je ne peux m'empêcher de faire un commentaire sarcastique :

"Personne, je dis bien PERSONNE, n'a le droit d'admirer sans mon autorisation."

Après une brève pause, j'appelle immédiatement mon homme de main pour lui donner l'ordre de nettoyer cette situation. Je range mon arme soigneusement dans sa boîte que je replace dans le tiroir de mon bureau, puis je me rassieds derrière mon bureau avec détermination. Je m'engage ensuite dans des discussions concernant notre entreprise, en quête de nouveaux clients et opportunités.

Deux heures s'écoulent et je me dirige résolument vers la salle d'entraînement. J'ai besoin de me défouler et de me recentrer. Des membres de mon équipe sont déjà en plein combat, et je décide de me joindre à eux. J'assume le rôle d'arbitre, évaluant et ajustant les postures et les coups de chacun avec précision.
Le temps avance et il est désormais 17 heures. L'heure est venue de lancer mon premier coup. Je récupère l'enveloppe reçue précédemment, y insère un petit mot stratégique, note l'adresse du destinataire, puis je la remets à l'un de mes subordonnés. Sa mission est de la lui remettre en personne, se faisant passer pour un simple coursier. A présent, le jeu est entre ses mains et c'est à elle de jouer.
La tension monte alors que je contemple le simple colis entre mes mains. Bien qu'il soit destiné à une seule personne, son contenu revêt une signification cruciale pour deux individus distincts : le cliché pour l'un, et le message de trois mots pour l'autre. Mais il est essentiel de comprendre que seul l'un des deux sera en mesure de saisir sa véritable signification... Un suspense insoutenable envahit l'air alors que je contemple le colis, prêt à être livré. Les destins sont en jeu, les alliances sont fragiles et les secrets se révèlent peu à peu. Une véritable bataille silencieuse se prépare, et seuls les plus rusés sauront en tirer avantage. Le colis devient un symbole de pouvoir, de vérité et de trahison. Le destin de plusieurs personnes est sur le point de basculer, et la suite des événements est incertaine. Le suspense est à son comble, et se demandent quelles révélations et quelles conséquences cette simple livraison pourrait engendrer.

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NDA : ok celui-ci est beaucoup plus court, mais je tiens à ne pas trop m'éterniser. Je préfère avoir quelques scènes concernant Colin, sans rentrer dans les détails de ses manigances. Suspense oblige à un moment.
Alors pour qui est cette enveloppe ? Qui a-t-il sûr ce fameux cliché ?

Lui ou ElleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant