WHY ME...

Chapitre 75

- Du coup on va où ? Parce que si je me souviens bien, se n'est pas la route pour rentrer à la maison, je déclare après 15 minutes de route. 

- Bien joué Sherlock. On va au centre commercial. 

- C'est vrai ? je demande toute excité en tournant la tête vers lui . Pour quoi faire ? 

- Une partie de golf. 

- C'est vrai ? Comme à Dubaï quand tu peux skier dans le centre ? 

- Mais non idiote , rit-il. On va me chercher une tenue. 

Je lui donne un coup dans l'épaule. 

- Tu ne me traites pas d'idiote. Ça aurait pu être plausible.

Il lève les yeux ciel, toujours son sourire au coin des lèvres. 

- Enfin bon, je souffle. Pourquoi il te faut une tenue ? 

- Pour un truc. 

- Ok, je dis en me réinstallant dans le siège en cuir en tournant la tête vers a vitre. 

Sa main chaude se pose sur ma cuisse. 

- Oh non chou, ne te vexe pas. 

Avec son pouce, il commence à dessiner des formes aléatoires. 

- Je ne suis pas vexée, je dis en croisant mes bras sous pas poitrine. 

- Si, si. Tu es vexée. Je te connais Alex. 

J'agite la tête pour désapprouver et sa main remonte le long de ma cuisse et il commence à me chatouiller au niveau du ventre. J'essaie de ne pas rire pour me garder une certaine dignité mais je n'y arrive pas très longtemps. 

- Ok. Arrête maintenant et concentres-toi sur la route. 

- Tu sais que je ne peux pas me concentrer quand tu es à côté de moi. 

- Arrête tes belles paroles et essaie de m'emmener au centre commercial sans avoir d'accident. 

Sa main agrippe gentiment mon épaule et il me tire doucement vers lui pour m'embrasser sur le haut de la tête. 

~

Le centre commercial est immense. Il est décoré de grandes lumières, et il est recouvert de verre.  Tom a mis une casquette et des lunettes de soleil. Je lui est dis que les lunettes était de trop et que ça ne faisait pas très crédible mais il n'a rien voulu entendre et il est rentré dans le centre. 

- On commence par quoi ? je demande, ne sachant plus où regarder. 

Je suis entourée de boutique de luxe : Louis Vuitton, Chanel, Hermès, Gucci, Rolex , Burberry, Dior et j'en passe. Je suis vraiment comme une enfant à Noël. Les doigts de Tom glissent sur ma paume de main pour venir s'entrelacer avec mes doigts. Il m'attire vers lui et se pense vers moi. 

- Ça te plaît hein ? 

- J'adore. Juste le fait de voir ces grandes devantures me donne des frissons. 

- Tu es sûre que se n'est pas moi plutôt qui te fais cet effet là? 

Je le regarde avec un air interrogé. 

- Quand je fais ça, il rajoute. 

Il commence à m'embrasser dans le cou. 

- Tom ! Un peu de tenu bon sang, je dis en le repoussant.