Esmée

9

Décembre 2017

France

PDV ESMEE

-Non. dit Hicham. 

-Non quoi? 

-Ta robe. C'est non. il ajoute.

-Pourquoi? Elle est bien.

-Elle l'a déjà mis. dit Issac.

-Merci. Et vous avez jamais rien dit. Alors hop on bouge. 

Hicham a râler et on a bouger en direction du bar. C'est soirée scène ouverte ça s'annonce être une grande soirée.

-Vous pouviez pas lui mettre un col roulé? Va falloir géré les clients et elle. râle Nassim. 

-J'ai essayer. dit Hicham. 

-Je suis très bien habiller, râler pas. 

Comme à mon habitude j'ai pris le bar, Nassim et Hicham sont en salle et Issac s'occupe de la scène ouverte. La soirée s'annonce longue heureusement que j'ai mis des chaussures confortable. Issac à réussi à chauffer la salle et l'ambiance est là. 

-Tiens. me dit Hicham. 

-C'est un délire j'ai refuser du monde. On a plus de place. 

-Et en terrasse? je demande. 

-Blindé, heureusement qu'on a mis des chauffages. Tu gères? 

-Ouais. 

Ils font des allés retours mais on est clairement pas assez pour gérer tout ça. 

-Comment va ma barmaid préféré? 

-Tu viens le mauvais soir. Je vais pas avoir le temps de faire la psy. je dis à Idriss.

-C'est blinder.

-Un délire. Faut qu'on en fasse plus souvent. comme d'hab? 

-Ouais.

Je le serre et je me remet dans mes verres. J'ai pas le temps de lever la tête j'ai beaucoup trop de verre.  

-Tu t'en sors? me demande Idriss.

-Ouais. 

-5 sex on the beach. me dis Hicham. 

-Okay. je lui dit. 

-Je voudrai payer. 

-Ouais, deux minutes.

Je sursaute en sentant une main sur ma hanche. 

-Je vais encaisser.

Je souris à Idriss et je continu mes verres. 

-2 jack pur.

-Je te fais ça. dit Idriss. 

J'ai continuer mes cocktails et il a fait le reste. On s'est souvent marcher sur les pieds mais on a bien rigoler. 

-22e. je dis. 

-Et voila. Avec mon numéro en prime. 

-Et voila ta monnaie et ton numéro. je répond. Bonne fin de soirée.

-J'aurais pas aimé. ricanne Idriss.

-J'ai l'habitude, une nana derrière le bar fait fantasmé.

-Mémé j'ai besoin de toi. 

-Non. je dis à Issac.

-Vas-y, il faut quelqu'un qui nous mette le feu. 

-Non.