23 octobre 21
Mer fluorescente
Tempête encore récente
Les fleurs sont mortes
Mais j'en garderai les cendres
Même si rien n'en poussera
Terres consumées toujours
On a marché longtemps
Les nuits ont nuit aux joursNos soupirs inhérents
Aux volutes errantes
Que nos silences comportent,
Comprenons-en le sens
Même si rien ne changera
- L'air létal tue toujours -
Vivre avec l'air du temps
Expirant des mots sourdsVisions déferlantes
D'une essence renaissante
Dans les veines, qui porte
Le salut des méandres :
L'abandon du combat
Résignons face aux jours
Qui défilent dans l'éclat
Et éclatent tour à tour
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Saison déraison
PoetryTable des matières : PROLOGUE NU I. SOLEIL TOTAL VÉRITÉ ART PRIMAIRE GARE ÉGARÉE L'ESPRIT AURORE FATA MORGANA SALUT INTERLUDE COLLISION VELUX AU CANAL PAR NOS REGARDS BALAYE MILLE SOLEILS EXHAUSTED EXAUCE QU'UN SILLAGE II. LA FIÈVRE DES JOURS NUA...