19 août 21
Du haut de la butte d'herbe
Assis en tailleur, je décapite
Sans émotion des marguerites
Laissant la terre terne et imberbeL'ennui mène à tomber dans l'eau,
À fendre les flots les plus troubles,
Ceux qui font voir la vie en double,
Qui nimbent les sueurs de halosEntre les lignes, il y a le vide
Défiguré par l'âme qui vibre
Rendu objet par l'arbre qui futEntre le vide, il y a les lignes
Tendues entre deux points de vie
Funambulisme des mots déchus
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Saison déraison
PoesíaTable des matières : PROLOGUE NU I. SOLEIL TOTAL VÉRITÉ ART PRIMAIRE GARE ÉGARÉE L'ESPRIT AURORE FATA MORGANA SALUT INTERLUDE COLLISION VELUX AU CANAL PAR NOS REGARDS BALAYE MILLE SOLEILS EXHAUSTED EXAUCE QU'UN SILLAGE II. LA FIÈVRE DES JOURS NUA...