Le béton mouillé se défile à mes yeux,
On dirait presque que c'est lui qui s'en va.
Machine formidable, mène les gens au trépas
Le progrès c'est l'avenir
Et l'avenir c'est toiDeux hommes numérotés se défiaient dans les yeux,
On eût dit deux amants avant un coup de feu ;
C'est le monde qui bouge, effacés tous les pas
Des errants qui par leur perte ont montré la voieMais quand je vois deux yeux
Enfantins et heureux
Grand ouverts vers le ciel
Expression ahurie
Quand l'ignorance est belle
J'avoue y croire un peu.
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Saison déraison
PoesíaTable des matières : PROLOGUE NU I. SOLEIL TOTAL VÉRITÉ ART PRIMAIRE GARE ÉGARÉE L'ESPRIT AURORE FATA MORGANA SALUT INTERLUDE COLLISION VELUX AU CANAL PAR NOS REGARDS BALAYE MILLE SOLEILS EXHAUSTED EXAUCE QU'UN SILLAGE II. LA FIÈVRE DES JOURS NUA...