12 octobre 21
C'est un enfant de rue
Entre deux
regards de gare
Des yeux où fusent
Les plus beaux rêvesIl dit "je ne sais plus"
Au lieu
d'y croire il part
La vie l'amuse
Pourvu que ça tienneFaut pas lui interdire
Et à chaque fois qu'il peut
Il dessine des chevaux qui cavalent pour lui seul
Sous le feu qui rend libreFaux pas et larmes de cire
Et à chaque fois qu'il pleut
Je lui dis que les nuages se pètent la gueule
Ça le fait beaucoup rire.
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Saison déraison
PoesiaTable des matières : PROLOGUE NU I. SOLEIL TOTAL VÉRITÉ ART PRIMAIRE GARE ÉGARÉE L'ESPRIT AURORE FATA MORGANA SALUT INTERLUDE COLLISION VELUX AU CANAL PAR NOS REGARDS BALAYE MILLE SOLEILS EXHAUSTED EXAUCE QU'UN SILLAGE II. LA FIÈVRE DES JOURS NUA...