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Elle : Mais non. Suis pas pressée tu sais. Il faut d’abord que je trouve de quoi gagné ma vie. Dit-elle le regard triste.

Moi : Tu sais, avec tes économies tu peux facilement t’inscrire à l’université.

Elle : Non je veux suivre une formation en pâtisserie et si tout va bien, je vais aussi faire une formation en art.

Moi : Tu aimes les dessins ?

Elle : Oui.

Moi : je vais t’aider en te payant la formation.

Elle : Non je ne veut pas. Je veux me débrouiller.                             

                On n’a ainsi commencé à débattre sur le sujet. Enfin de compte j’ai décidé de la laisser se débrouiller comme elle le désire. Dans la soirée je l’ai amené dans la maison de mon oncle et je lui ai expliqué qu’au lieu quelle paye, c’est elle qui sera payer en retour. Dave est retourné à la maison et moi je suis resté avec elle dans le jardin jusqu’à ce que la pluie s’annonce. Au lieu qu’on rentre à l’intérieur elle a préféré resté sous la pluie.

Elle : Vient.

Moi : Non je ne veux pas.

Elle : S’il te plait. Dit-elle en me tirant.

          Génial je suis complètement mouillée. Madame quant à elle s’amusait comme un enfant. Je la tire vers moi.

Moi : tu vas avoir froid. Allons à l’intérieur.

Elle : non.

Moi : mais tu es toute trempé. Dis-je en la regardant. Mais mon regard finis par s’attarder  sur sa poitrine. Je savais qu’elle n’avait pas mis de soutif mais avec l’habit collé sur sa peau à cause de la pluie on  pourrait voir ses seins. L’habit est tellement transparent.

Elle : Mickaël                      Pour toute réponse je l’embrasse. Un moment j’insère mes mains sous son habit et  caresse ses seins. Cette fois sans demandé son avis,  je la porte dans mes bras et l’amène à l’intérieur précisément dans sa chambre ou je lui retire son habit après l’avoir faire coucher.

Elle : Mickaël

Moi : Désolé je n’ai pas pu m’en empêcher. Lui dis-je avant de dessiner des petits ronds imaginaires sur chacune de ses tétons avec mes pouces. Elle m’embrasse alors que je continuais toujours avec mes petit ronds imaginaires que j’ai arrêté uniquement quand j’ai remarqué que ses seins étaient durci. J’en lèche le bout de chaque et elle laisse échapper un gémissement. Au bout d’un moment j’arrête. Il le fallait sinon je risque d’aller au sexe avec elle. Je la respecte trop pour le faire maintenant.

Elle : Il y a un problème ?  Dit-elle me caressant la joue.

Moi : Non. Mais, il faut qu’on arrête. Dis-je en l’embrassant dans le cou. 

Elle : Apprends-moi s’il te plait.            

          Elle insère sa main sous ma chemise pour me caresser le torse. Je la laisse faire un moment avant de l’arrêter.

Moi : Je vais t’apprendre ne t’inquiète pas.  Mais pas maintenant.

Elle : Ok. 

Moi : J’apprécie beaucoup le fait que tu me respecte tu sais.

Elle : Et toi aussi tu me respecte. Dit-elle en s’asseyant en califourchon sur moi.

Moi : Tu me cherches on dirait.

Elle : Oui. Et je compte bien te trouvé.

Moi : Je vais te laisser me trouver mais, au moment venu. Pas ce soir.

Elle : Dommage pour moi.

Moi : Oui. Dommage.

Elle : Il faut que tu rentres.

Moi : Oui. Je paris que Dave m’attends déjà.                         

                 .Quand on parle du loup on voit sa queue. Dave venait de m’appeler.

Elle : Décroche. Dit-elle en allant  dans la salle de bain après avoir pris des vêtements secs dans son armoire.

Moi : frérot.

Lui : Je suis là. La pluie est forte du coup je me suis dit que je vais venir te chercher.

Moi : Ok. Dis-moi que tu as gardé un pull.

Lui : Oui.

Moi : J’en avais besoin.

Lui : pourquoi ?  T’es mouillée.

Moi : Oui

Lui : Qu’est-ce que tu es allée faire sous la pluie.

Moi : ne cherche pas à comprendre.

Lui : Ok. Je t’attends.                    

               Je raccroche et après avoir dire au revoir à  Arlinda, je rejoins mon frère et m’empresse d’enfiler le pull. Il le fallait sinon je risque de rester clouer au lit. On prit la route et monsieur entame la discussion. Entre mon frère et moi il n’y a pas de secret. On se dit tout et rien mais ceci je ne sais pas si je dois le lui dire.

Lui : Alors ?

Moi : Quoi alors ?

Lui : Il sait passée quoi ?

Moi : Rien d’intéressant.

Lui : Tu te moques de moi là. Depuis quand tu as des secrets pour moi.

Moi : T’inquiètes frérot. Juste on n’a jamais parlé d’un sujet du genre. Je ne sais pas si je dois te le dire ou pas.

Lui : Je comprends. Moi c’est chose me gêne pas. Laisse tomber pour ce soir. On n’en reparlera.

Moi : Merci pour la compréhension.

Lui : Tu sais, je suis amoureuse d’une fille depuis deux ans. On n’a fait classe ensemble. Mais tellement j’ai peur que je n’ai pas fait le pas. Et quelqu’un en qui j’ai tellement confiance a fait le pas avant moi. Mais je lui en veux pas parce qu’il ne savait pas que j’aimais cette fille.

Moi : Pourquoi ne pas avoir fait le pas. A ta place j’allais me battre pour ce que je veux.

Lui : Je ne peux pas. Il aime beaucoup cette fille. En plus je ne veux pas détruire ce lien si fort entre lui et moi. 

Moi : Je comprends. Mais sache une chose.

Lui : Quoi ?

Moi : Serai toujours là pour toi.

Lui : Merci.

Amoureuse de mon Meilleur Ami Tom1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant