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             Plus de trois minute que j’attendais Arlinda mais, en vain. Cependant son téléphone sonnait. Hélas ce n’est qu’à la quatrième sonnerie qu’elle décroche.

Moi : Mais tu fou quoi. Je t’attendais depuis.

L’inconnu : Désolé mais ce n’est pas celle que vous croyez. Je l’ai vu se fait enlever par quatre homme. Actuellement je les suis discrètement pour pouvoir connaitre leur emplacement.              

       Je ne vous mens pas hein. Mais mon cœur a faillir s’arracher de ma poitrine.

Moi : Mais. Ce n’est pas possible.

Lui : Malheureusement oui. En passant le gâteau qu’elle avait sur sa moto est très délicieux. Je l’ai pris le carton avec moi dans la voiture.

Moi : Non mais vous êtes sérieux ? Ce qui vous intéresse vous c’est le gâteau.

Lui : Si on peut le dire. Bref. Je viens de m’arrêter devant leur cachette. Non loin de la route menant au casino.

Moi : Bien attendez moi j’arrive.                         

          Pour ne point perdre le temps j’ai informé la police et je leur ai demandé de ne pas se faire remarquer. J’ai localisé le portable d’Arlinda. Au bout d’un moment j’étais déjà sur place. Très énervé. Et ce monsieur-là, il parle pas et veut finir son gâteau d’abord. Impatient, j’ai pris le portable d’Arlinda de ses mains et je suis rentré à l’intérieur avec quelques policier en civile. C’était une maison abandonnée. Ce que je vois ne me plaît pas. Elle était allongée sous un homme. Elle se débattait mais ça se voyais qu’elle était faible.L’inconnue : Ferme là. Et laisse-toi faire.              
  Cette voix. Je la reconnais.

Moi : Aziz                            

       L’homme se retourne et c’était bien cet espèce d’idiot. Je le prends par le col et lui col une.

Moi : Depuis tout ce temps tu ne l’avais pas oublié.

Aziz : Rassure-toi. J’ai ma copine à moi. Mon père est mort et c’était sa dernière volonté de me marier à la fille qu’il m’a choisi.                                 Je lui mets encore une.

Aziz : Je n’ai pas voulu la forcer. Dès que j’ai trouvé là où elle résidait j’ai essayé de lui parler mais en vain. Je l’ai rencontré plusieurs fait et je lui ai dit que si elle se laisse faire, je la laisserai partir dès que j’aurais un enfant de sa part comme le voulait mon père mais elle a refusé. Je n’avais donc pas d’autres choix que de la forcer.

Moi, le frappant : T’as pas honte de te prendre à une femme qui veut pas de toi. Tu as osé la touché en plus.

L’inspecteur, le prenant de mon emprise : Arrêter monsieur. Il saigne.

Moi : Qu’il meurt je m’en fous. Comment il a osé. Je vais te briser les os.                  

       Je l’attaque à nouveau mais très vite je me sens éloigné de lui. C’était un homme costaud qui venait de me prendre. Il est sérieux lui.

Moi : Toi dépose moi. Laisse-moi le frappé. Il se prend pour qui pour la touché. Que ton père périsse en enfer. Andouille.

Aziz : Ce n’est pas encore finis.

Moi : Pour le moment oui. Vivement que tu périsses en prisons. Inspecteur s’il ne périsse pas en prisons, la prochaine fois je vais vous enfermé tous les deux.

Le costaud : Contrôle ton langage.

Moi : Toi, tu ne me parle pas. Déjà tu m’as pas laissé le frappé.          

Amoureuse de mon Meilleur Ami Tom1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant