His own story. I.
__
(Ilona date un peu. Alors...)
_J'ai déposé mes affaires sur le lit de la chambre qui m'est réservée quand je passe quelques jours ici.
Et j'ai tendu mes bras vers Maëlys qui attendait que je retire mon gilet pour pouvoir avoir un câlin.
Elle s'y est réfugiée en courant alors j'ai souri et l'ai serré très fort contre moi.
Maëlys - Coucouuu copine.
— Coucou ma belle. Tu vas bien ?
Maëlys - Trooop. Et toi ?
— *sourit* oui je vais bien. Qu'est-ce qui te met d'aussi bonne humeur ?
Maëlys - Papa va pas au travaaaail. Alors on pourra rester tous les trois et bouger nos fesses devant la télé.
— *rit* Ah bon ? Trop bieeen. On les bouge sur quoi aujourd'hui ? Du Fanny J ?
Maëlys - Nooon sur Fabregas.
Elle s'est détachée pour courir dans la chambre.
Maëlys - Mwana mundele suki elalaaa.
Et elle s'est mise à secouer ses fesses tout en chantant.
Alors j'ai ri et me suis mise à l'encourager tout en retirant mon sweat et mon bonnet.
Une enfant qui me tue de rire. Elle est tout le temps agitée elle se fatigue jamais.
Toujours en train de répandre la joie de vivre autour d'elle. Elle illumine trop mes journées vraiment l'un de mes coups de cœur.
Lorsque je me suis apprêtée à retirer mon pantalon, ça a toqué à la porte de la chambre.
Je me suis alors arrêtée dans mon élan, et la petite a couru ouvrir la porte après avoir vérifié que je sois bien habillée.
Maëlys - Papaaa.
Elle a tendu ses bras vers lui, et il l'a attrapé en la secouant comme à son habitude.
Sous ses rires.
Alors j'ai souri et ils se sont mutuellement couverts de bisous.
VOUS LISEZ
«Une haine dans l'amour» [II]
General FictionTerminée. Il n'existe nulle haine qui cesse avec la haine. (TW : Violences)