ntúkú míbalé na motóba.

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His own story. M.
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Eh, je sais que «au jour d'aujourd'hui» ça se dit pas mais eh je sais pas y'a un truc qui fait que je peux pas arrêter de l'employer. Je vais essayer hein mais vas-y 💀 désolée pour vos yeux.
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Un moment après qu'il soit parti, je me suis rassis sur le canapé en passant mes mains sur mon visage.

J'sais pas, préviens avant de venir non ?

T'arrives chez les gens comme ça, tu violentes les gens comme ça.

J'ai cru qu'il avait l'intention de me galoche wesh y'a pas à attraper les vêtements des gens comme ça.

J'ai passé mes mains sur son visage une seconde fois.

Puis j'ai fermé les yeux en soufflant un bon coup.

C'est un malade...

Venir crier sans gêne chez les gens qu'il viole une fimbi avec son pote sans se protéger, faut vraiment être culotté pour faire ça.

Mais d'un côté... c'est vrai que j'avais pas vu les choses comme ça.

Elle m'en avait déjà parlé... elle m'avait déjà dit que Caleb l'utilisait comme vide couilles.

Elle m'avait déjà dit tout ça et je me souviens que pendant un moment je passais mes après-midis chez-elle au cas où Caleb déciderait de passer à l'improviste.

Je passe ma main dans ma barbe après avoir rouvert les yeux.

Alors pourquoi ça serait pile au moment où elle et moi on est amenés à coucher ensemble qu'elle doit tomber enceinte alors que je suis pas le premier à lui être passé dessus ?

Après d'un point de vue médical si c'est quoi, ça ne veut pas dire grand-chose mais un peu quand même.

Les chances que je sois le père de l'enfant sont seulement basses ou peut-être même nulles.

Je ferme de nouveau les yeux.

Je comprends pas pourquoi c'est moi qu'elle est venue voir ? Je comprends pas pourquoi elle a affirmé que j'étais le père de l'enfant ?

Elle doit avoir plus de doutes que moi-même et pourtant elle est venue m'assurer que j'étais le père. Pourquoi ?

Je me masse les tempes.

«Une haine dans l'amour» [II]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant