Boite de nuit :Sakuatsu

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Une ambiance torride plane dans la salle, toutes les filles collent les mecs se frottant à eux. Elle me rappelle des chienne en chaleur, mais bon c'est pas comme si j'était mieux. Sa va faire quelque heure maintenant qu'on est arrivé et ça va faire quelque heure aussi que j'essaye de draguer un germanophobe qui fut forcé de venir. J'avoue que je suis content qu'il soit venu, depuis des semaines je louche sur c'est abdos. Me demander pas comment j'ai fait pour en avoir une photo disons que j'ai des contacts. En plus il connaît Suna. Il faut dire que pour une fois mon frère m'a aidé. Ce germanophobe à poser pour une marque de maillot de bain et grace a mon chère jumeau enfin plutôt au mec a mon jumeau j'ai réussi à dégoter les image qui n'ont pas été retenu. J'ai aussi eu très honte au début de la soirée en repensant à toutes les fois ou j'ai joui devant ces photos mais comment résister à cette beauté fatale. Qui d'ailleurs à remarquer que je le fixer.

"-Je sais que je suis beau mais c'est pas pour autant que tu peux baver."

Je sursaute, essuyant le coin de ma bouche mais celle-ci était sèche. En relevant le regard j'ai été ébloui par le rictus qui orner ses lèvres. Il est beau drôle et taquin le mec parfait. Alors maintenant qu'il a ouvert la discussion j'en profite pour l'entretenir jusqu'à, je l'espère, qu'il tombe sous mon charme naturel. Nous discutons de tout et de rien enfin il est plus réaliste de dire qu'il m'écoute raconter ma vie sans se gêner de se moquer. Mais faut pas oublier qu'on est dans une boite de nuit alors la musique nous empêche de communiquer de manière fluide et audible. et c'est bien a mon avantage, car je me sers de cette excuse bidon pour me rapprocher de lui. J'ai un plan simple, jouer le mec dragueur jusqu'à avoir une faille et lui demander de coucher sur le ton de la rigolade, s'il répond franchement pourquoi pas hein.

Et c'est à cause de mes paroles irréfléchies que je me retrouve maintenant dans la position la plus honteuse. Car après tout fallait obligatoirement que jouvre ma gueule pour parler sexe. À la base je voulais juste l'informer de manière subtile et innocente que je suis intéressé mais lui m'a manipulé et me voilà en train de sucer un mec sous une table avec des centaines de personnes autour. C'est dans ces moments que je me dit que réfléchir et moi c'est pas une combinaison gagnante. Le pire dans tout ça c'est que son visage est impassible, sa main n'est pas posée dans mes cheveux mais sur ma nuque ce qui fait que d'un point de vue extérieur on pourrait juste penser que le mec se fait chier a boire seul sur une table. Mais le pire dans toute cette histoire c'est que toutes les cinq minute des meufs en chaleur viennent le draguer, bien sur il refuse toutes les invitations mais si elle découvre que je le suce dans un espace publique ma carrière de pro est fichu, soit dite en passant lui aussi, mais je peux me faire arrêter. Et même si cette perspective me terrifie, je ne peux empêcher mon corps de réagir et mon entre jambe devient douloureux. Frustré de ne rien recevoir j'ouvre le bouton de mon pantalon ainsi que la braguette et commence à faire des mouvement ample sur mon membre. Ce qui remarque car il a un rictus sur le visage même si son regard est poser au loin. Mai sle plus important dans tout sa c'est le murmure presque inodible qui s'échape de ces levre.

"-Vien t'assoir sur mes genoux, baby boy."

Ok c'est définitif il connaît le BDSM et quelque autre pratique, c'est obligé. Il descend la main qui serrait ma nuque vers mon aisselle et me fait remonter en tirant sur mon bras. Je suis pas en sucre mais lui a une de ses force, je sens que j'aurai un bleu demain. Je remonte sur la banquette, et remarque qu'un attroupement s'est formé vers la scène, ce qui m'arrange. Il pose sa main sur ma cuisse la faisant descendre vers l'intérieur, ce qui me ramène à ma situation. Si je résume le tout je bande après avoir sucer un mec qui m'attire depuis des semaine et la il entreprend de me branler ?! Je crois que je rêve la. Puis un détail me revient, comment ça se fait que personne peux voir se qui ce passe sous la table. Kiyomi, mon beau daddy, - il a commencé à m'appeler Baby boy alors autant continuer sur la même lancée- continue ces mouvement sur mon membre fièrement dressé, les coup de poignet sont de plus en plus irrégulier mais les sensation sont si wouah... Je n'ai même pas les mots c'est pour dire à quel point c'est bon. Mais notre petit moment intime est interrompu par Osamu et Suna qui reviennent à la table et s'assoient juste en face de nous. Je dois rougir au possible mais grâce à la lumière tamisée et multicolore de la salle on ne le remarque pas. Le cher couple commande des boissons pour nous quatre et Suna discute avec Sakusa, alors que moi je scroller sur mon téléphone en faisant de mon mieux pour garder mon calme et retenir mes gémissements. Car après tout je ne l'ai peut-être pas précisé mais Omi-Omi n'a jamais cessé ses coups de poignet, ils sont camouflés car il s'est permis de me faire prendre place entre ses jambes.

Mais malgré tout, toute bonne chose a une fin et je sens la mienne arriver car je suis tout proche de la jouissance. Mais contre toute attente il stoppa tout mouvement souriant légèrement à Suna, je sais que je le désirer mais pas au point de baiser avec lui devant mon frère. Il attrape son téléphone et me le tend avec les contacts ouverts. J'enregistre mon numéro sous le nom de baby boy et lui rend son mobile. Quelque seconde après c'est le mien qui sonne, un numéro inconnu, en lisant le message je comprend que le germanophobe veux continuer ailleurs. Je descends de ses jambes et le laisse partir vers les toilettes, je précise quand même qu'il a eu tout le temps nécessaire à déboutonner son pantalon. Quand a moi je le remet droit en attendant son message. Si je pars directement après lui c'est trop cramé en plus il me faut une excuse. Je pourrais tout mettre sur le compte de l'alcool et dire que je pars aux toilettes en chancelant un peu. Omi aura juste à prévenir de son départ en disant qu'il raccompagne et le tour est joué. Les vibrations de mon téléphone me sortent de mes pensées, c'est un appelle de Saku. Je pointe mon téléphone comme pour prévenir que je sort, et prend la fuite en écoutant la respiration à l'autre bout du fils. 

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Je vous propose la suite, avec pour nom : soirée au motel. J'avoue que je me facilite la tache mais je suis déjà a 1000 mots en plus j'ai de l'inspiration sur cette histoire. Ne me demander pas comment je l'ai trouver c'est venue pendant que je regarder "Mushoku tensei". (Disons qu'il a un père énergique le petit Rudeus.)

Sur ce je vous quitte jusqu'au prochain chapitre.

OS pour les fêtes !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant