Nouvel an des patineurs.

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Pour cette fin d'année avec quelques patineurs et connaissances nous avons organisé une petite fête. Les connaissances de viktor sont très souvent de grands noms qui travaillent dans des fédérations partout dans le monde. Malgré nos quatre ans de vie commune, je ne savais pas qu'il connaissait autant de beau monde. Tous on essayer de le recruter au moins une fois durant la première partie de soirée. Nous sommes le trente et un décembre et nous sommes à présent juste entre patineurs. Certains danseurs tandis que d'autres discutent. Même si les plus vieux représentants sont partis dormir quelques jeunes sont toujours là. Nous passons le temps comme nous pouvons attendant avec impatience leur départ, car après tout aucune fête n'est vraiment réussi si Yuri n'a pas défilé Viktor dans un jeu. L'année dernière c'était à la vodka. Cette année j'aimerai bien savoir comment ça se terminera.

Je suis assis sur les genoux de mon homme, il discutait avec une vieille connaissance a nous qui essayer de nous ramener au Japon. Viktor refuse poliment alors que la jeune représentante insiste. Au bout d'un moment elle me mena à suivre la discussion.

"-Viktor pensez à Yuuri le pauvre, il voit si peu sa famille. Si vous venez au Japon, ils resteront toujours ensemble. Yuuri aura ces deux familles à portée de main."

Je me retourne en entendant sa phrase et j'allais répondre mais Victor lui répond avant que j'ai le temps d'ouvrir la bouche.

"- Il y a quatre ans, quand Yuuri a réellement commencé sa carrière, juste après être rentrée à Saint-Pétersbourg on a échangé des bagues de promesse, pour sceller notre promesse il m'a dit " Tu est mon pays". Depuis j'ai compris que je ne suis plus seul si nous devons prendre une décision c'est ensemble."

Je sourit et l'embrasse tendrement. L'officiel Japonais repart et nous continuons cette soirée tranquillement.

L'heure doit avoisiner minuit. Il ne reste que les patineurs et quelques-uns de leurs proches. Comme la meilleure amie que s'est fait Otabek en figurant dans une série connue. Yuri, qui semblait se réveiller cria à l'autre bout de la salle le nom de mon compagnon.

Nous nous levons et le rejoignons sur la piste de danse. Il nous provoque à la danse cette fois, il demande à Minako, Christ et Kenjuro de juger. Les chansons étaient choisis aléatoirement sur youtube. On passa donc de la pop américaine à de la salsa en passant par le tango ou du rock. C'est épuisé par cet effort physique que nous apprenons que c'est moi et Viktor qui remportons ce nouveau défi. La soirée continue, nous nous sommes posés près du buffet et nous discutons des dernières nouvelles avec Phichit et Otabek. Nous avions laissé Yurio avec JJ.

Quand trois heures sonna on fut tous d'accord pour rejoindre nos chambres. Viktor n'avait pas abuser de la boisson cette fois et il tenait debout tout seul. Il profita de cette aptitude, rare en temps de fête, pour venir me câliner. Je ne refuse pas son approche même si je le soupçonne d'avoir d'autres idées en tête.

Le beau russe entoura ma taille directement après avoir fermé la porte de notre chambre à clef. Je sourit et répond à cette étreinte avec un chaste baiser. Il sourit à son tour et me souleva tel un sac à patate.arrive près du lit il se gêne pas pour m'y lancer pour ensuite m'appuyer les poignets au-dessus de la tête. il parcourt mon corps de sa deuxième main ce qui a le don de me faire frissonner. Il s'assied sur mon bassin et presse mon entrejambe avec ses fesses.

"-Viktor..." Je souffle dans un soupir d'aise.

Il ajoute des mouvements de bassin. Sa deuxième se permet de relâcher la pression sur mes poignets. Les soupirs que je lachais se transformaient de plus en plus en gémissement peu audible.

Notre excitation monte de plus en plus, et la tension est presque palpable. La peine ombre couvrait nos rougissement, les petit rayon de lumière qui provenait de la ville nous accorder le droit d'admirer la beauté de l'autre. Viktor entreprend d'aller un peu plus vite. Il retire son t-shirt dévoilant son corps admirablement sexy. Il me lâcha et retira mon haut. Il me couvrit de tendre caresse, il baisa mon coup par ci par là en laissant une ou deux morsure, et suçota ma peau au niveau de mes clavicule.

Si notre relation était autorisée par nos fédérations, malgré les remarques désobligeantes de certains, Yakov et quelques officiels nous obligent à ne laisser aucune trace visible de nos ébats. Quand nous avons été convoqué pour en discuter je ne pouvais m'empêcher de rougir ce qui me fait rire maintenant. Je gloussa ce qui interpella mon copain.

"-Pourquoi tu ris ?"

"-J'ai repensé à la fameuse discussion sur les suçons avec les officiels." Avouais-je.

"-Ne pense pas à autres choses, je ne le permettrait pas."

Il martyrise mes tétons pour me convaincre, ce qui me fait gémir un peu plus fort. Le niveaux sonore de mes gémissements est plutôt bas mais le plaisir que je ressens est à l'exact opposé. Il commença à défaire mon pantalon et retira le sien. Je pouvais voir son boxer déformer par une bosse bien significative. Je ne pouvais juger car je suis presque dans le même état. Il cessa toute caresse et s'appuya en arrière retirant son sexe de son caleçon, il commença des mouvements lent et régulier. Je durcissait encore jusqu'à ce que mon érection devienne douloureuse. La simple vue de le voir dans cette position m'excitait, il est d'une beauté enivrante. Ses mouvements sont plus rapides et désordonnés. 

Il jouit sur mon torse et descend de mon bassin pour aller retirer mon pantalon, le jetant sur le sol avec les autres vêtements. Il attrapa les capotes dans le tiroir de la table à chevet. Il descendit mon sous-vêtement et vint me prendre en bouche directement. Aujourd'hui j'apprécie son entrain et sa domination. Je me donne entièrement à lui. Sa langue joue habilement avec mon penis, il alterne entre gorge profonde et massage des bourses. Je ne suis plus que gémissement. La jouissance s'approche très vite. Je sentit ses doigts humide venir parcourir mon anus. Il entre deux doigts pour commencer, n'arrêtant pas pour autant sa fellation.

"-Viktor, ... Viktor att...end. Je-je viens." gémis-je avant de jouir dans sa bouche.

Il cracha ma semence sur mon entrée et continua à me doigter, il ajouta un doigt. Il retire ses doigts quand je suis assez préparé. La sensation de vide ne dura pas qu'il entra d'un coup en moi, je criai de surprise. Il ne bougeait pas, je serrais les draps dans mes mains. Ma respiration est saccadée. Quand ses coups de bassin commencent, les sensations deviennent de plus en plus ingérables et des larmes de plaisir dévalent mes joues. La bouche entrouverte, les joues pourpre, j'essaye de gérer le mieux possible ces sensations intenses.

Il se pencha à mon oreille entourant mon torse pour me faire m'asseoir sur ses jambes, il susurre à mon oreille des mots doux qui se mélange à ses gémissements et soupire. Je répète son nom en acceptant à bras ouvert le bien-très qu'il m'apporte. Nous nous libérons enfin. Viktor s'amuse à s'arrêter ou ralentir quand la jouissance arrive.

Nous tombons de fatigue. En reprenant nos respiration un fou rire nous pris et nous apprécions la présence de l'autre avant de s'autoriser une courte sieste.

OS pour les fêtes !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant