Multiship : soirée de Noël ( part 2 )

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Pdv sanji

Il est très tard dans la nuit ou très tôt le matin, nous ne savons pas trop. Par contre je sais qu'il fait froid. Mon premier réflexe est de me blottir à ce qui est le plus chaud près de moi. Mauvais idée. Je sens les deux bras rassurants de ce marimo m'entourer mais je sens aussi ses mains un peu trop basses. Je grogne et elles s'arrêtent. J'ouvre les yeux et vérifie l'heure. Il est trop tôt pour se lever, je me retourne vers lui et le serre dans mes bras. Je gigote légèrement, cherchant une position agréable. Mais ce marimo ne sait pas se tenir, je sens contre ma cuisse quelque chose de dur. Inutile de donner plus de détails, il n'a jamais su s'arrêter avec cet imbécile de cactus. Je me relève pour le regarder avec un air désespéré sur le visage mais il me devance et me surplombe avec un sourire pervers et un regard assombri par la luxure. 

Alors qu'il allait m'embrasser, nous entendions Sabo hurler à l'autre bout du couloir. Nous nous regardons et nous nous précipitons vêtu d'un simple caleçon vers la chambre de l'organisateur de la soirée. Une fois à l'embrasure de la porte on peut voir Sabo et son légendaire tuyaux en fer menaçant le pauvre law qui a l'air de tout juste reprendre ses esprits. 

"- qu'est-ce que tu lui as fait ?" 

"- Il ne fait rien, et de tout façon qu'est ce que ça peut te faire. Chuis assez grand pour m'envoyer en l'air avec qui je veux." 

"- Sabo il est deux heures du mat calme toi. Il a flashez sur law et il a concrétiser ses désir c'est pas comme si tu l'avais jamais fait toi."

"- En plus quand on a discuté avec lui dans la soirée on a bien vu que c'est un bon gars. Ta pas a t'inquiète en plus, toute la soirée il c'est arranger pour être un peu sombre."

Nous tentons de le raisonner encore un peu avant qu'il ne sorte de la chambre. Les deux autres amants toujours nue dans le lit avec juste un drap pour cacher stratégiquement les deux corps. Une fois sûr qu'ils aillent bien nous sortons de la pièce et retournons dans notre propre lit. 

Ce serait trop simple si nous dormions juste après la petite scène, non, le marimo la décider autrement. Il me bloque toute issue en s'asseyant sur mon bassin, il retient aussi mes poignets de part et d'autre de ma tête. Son visage s'approche de plus en plus mais je refuse de céder en premier. Il me taquine en marquant mon cou et en descendant de plus en plus. Il passe du cou au torse descendant de plus en plus bas. Ses lèvres frôlent le bout de tissus, puis remontent d'un coup pour venir fixer longuement mes yeux. Son regard me captive et je rapproche légèrement et inconsciemment la tête vers la sienne. Il descend encore un peu et m'embrasse doucement. Le baiser est amoureux, tendre et passionné. 

Je profite du moment et le laisse faire. Ce n'est pas tous les jours qu'il veut me faire plaisir. Il caresse, embrasse, mord, suçote les parties plus sensibles de mon corps. Je soupire de plaisir sous ces petites attentions. Mais il ne faut pas oublier que le bretteur reste qui il est, excité et impatient. Il m'offre un anulingus avant de me délaisser pour aller reprendre d'autres protections, il revient avec une boite neuve. Je vois bien qu'il a envie d'en découdre, je lui rend son sourire, je me relève et le fait savoir confortablement. J'empoigne le tube non loin de moi et commence à me doigter devant lui. Il est excité au possible et il me le montre en me renversant et en entrant violemment. Il me remplit entièrement et me fait hurler son nom. 

Il a commencé il y à peu mais la jouissance est déjà présente. Je ne jouirais pas maintenant mais la volupté ressenti n'est presque pas convenable. Ces coups de butoir sont désordonnés et rapides mais il ralentit de manière périodique ce qui me laisse souffle entre toutes les vagues délectables possibles. 

Les mouvements se font rapide, puissant et envoûtant. Je lâche le peu de conscience que je retenais désespérément et hurle de tout mon saoul. Nous jouissant à l'unisson dans un dernier souffle je lui chuchote avec toute la tendresse possible un simple "je t'aime".

Nous recommençons comme ça en s'autorisant des petites pauses tendres entre deux rounds. Après il fallait s'y attendre, nous l'avons fait dans toutes les positions, expérimenter toutes les pratiques possibles sans jouet.

Nous nous sommes arrêté quand luffy et arriver dans les bras de son amant pour nous demander de nous taire car il n'arrive pas a dormir. Le cactus n'a pas manqué à le charrier sur les hurlements qu'il poussait plus tôt. Law contre toute attente ne rougit pas à l'évocation de leur ébats et ça m'impressionne car a peine mon couplé évoquer que les joue s'empourpre et je bafouille. Même si l'autre bretteur de malheureux ne se gêne pas pour me taquiner dessus. Il profite de ma gêne et parle librement de nos expériences charnelles.

OS pour les fêtes !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant