OS pour les fêtes !

Multiship : soirée de Noël

Ce sont des étudiants dans cette histoire
Ships : zosan, lawfy, 

Pdv law : 

Le 23 décembre, demain nous fêtons une fête religieuse des plus connue mais en ces temps la joie n'est pas au rendez vous. Tout le monde se précipite dans les rayons des magasins. Parfois les familles cherchent leur repas pendant que d'autres cherchent des cadeaux de dernière minute. Je n'ai aucune famille, mes parents sont morts avec ma sœur dans un incendie. Depuis quelque temps je passe mes noël à l'internat de l'université de médecine, je suis infirmier. Pour les fêtes je travaille simplement. Mais cette année un vieil ami m'a proposé de venir à une petite fête d'une de ses connaissances. J'ai poliment refusé au début mais quelques jours plus tard l'organisateur s'est blessé et a été emmené dans l'hôpital universitaire. Notre professeur l'a utilisé comme modèle pour nous enseigner les premiers soins.

Je suis tranquillement posé dans le canapé. Une bière à la main, je surveille la pièce de loin. Je ne suis pas du genre extraverti, les contacts sociaux futile ne m'intéressent pas. Je continue à boire assis seule dans le canapé. 

Ma tranquillité est dérangée quand Zoro, mon ami, prend place à mes côtés avec un autre mec. Mon ami est grand et musclé, ce qui est normal pour un escrimeurs plutôt connu. 

"-salut, t'es venue au final."

"- ouais, j'ai croisé luffy. Il a aidé à un de nos cours. Je devais pratiquer et il en a profité pour m'inviter."

"- tu dois lui plaire. Je le connais grâce a Nami, c'est sa meilleure amie elle ma conter toute les fois ou il c'est fait draguer. Mais ce mec ne s'intéresse pas trop à ces choses." Nous informe le blond qui s'est assis avec nous. 

Ils discutent des goûts de ce "luffy" en me prenant comme référentiel. Je ne sais pas s'il faut me sentir flatté ou pas. En tout cas depuis leur arriver je sens un regard sur moi mais la foule présente dans la pièce le cache. Je fouille du regard mais je ne m'attendais pas à trouver de grand yeux fixés sur moi, leur propriétaire ne s'intéresser plus à la discussion qu'il tenait avec une brun qui le colle beaucoup. Quand il s'aperçoit que je l'ai vue il vient me voir délassant la femme qui s'offusque de son comportement. 

Luffy arrive et zoro le salut. Sanji fait de même, et il s'échange quelques nouvelles. J'en profite pour le détailler. Il porte des savates, un short et une chemise sans manche ouverte. Ses cheveux brun sont courts et ornés d'un chapeau de paille. Il a toujours un sourire débile coller au visage. Il vient quand même s'asseoir près de moi, Le canapé n'est pas grand mais il abuse, encore un peu est il s'assit sur moi. 

Je retire ce que j'ai dit, car après être parti chercher à boire il ne s'assied plus sur le canapé mais sur ma jambe. Je ne dis rien mais je vois bien le regard de zoro et sanji se croiser et leur sourire grandir en nous regardant. Je ne le chasse pas car je peux mieux le contempler et même le toucher. J'en profite d'ailleurs, je me relève pour poser ma bière sur la table basse et je l'attire avec moi en me reculant un peu. Il sourit d'autant plus. 

La conversation s'enchaîne facilement, je comprends facilement qu'il ne réfléchit pas toujours avant d'agir, une de ses amies est venue me parler du personnage et je peux dire qu'il m'intéresse un peu plus. On n'a jamais changé de position, enfin ma main se fait baladeuse mais pas trop il ne dit rien quand je la passe sous sa chemise. La seule chose à noter c'est qu'il a beaucoup bu et enfin il a enfilé les bières pendant un moment.

Il doit être une heure du matin, je porte le corps inconscient du maître de maison. Sa chambre fut simple à trouver grâce aux indications de son frère blond. Je le pose sur le lit, il gigote mais ne me retient pas. Je souffle un bon coup en me remettant droit sur mes deux jambes. Sa chambre est étonnement rangée, elle est aussi un peu vide mais on vous qu'il aime la boxe. On peut y voir des poster du maître de grandline la fameuse compétition mortelle. Je fais vite le tour de sa chambre, je trouve une grande armoire. Je choisis des vêtements simples qui peuvent faire office de pyjama. 

En revenant vers lui, il pose ses vêtement sur le côté puis repars dans un coin de la pièce pour retirer mon bas. En me retournant je croise ses yeux magnifique. Il me fixe. Il se lève et se dirige vers moi. Une fois devant moi il vient réclamer un câlin, que je lui accorde car il est trop mignon. Ce que je ne savais pas c'est qu'il est moins innocent que mignon. Il retire mon haut et se colle à mon torse. Il caresse celui-ci, frôlant les zones érogènes et titillant ma frustration. Il commence à fêter son bassin me distrayant avec de petits baisers papillon dans le cou. Pris dans le feu de l'action je l'encourage a continuer en posant mes mains sur ses fesses.

Je le porte conscient jusqu'au lit, et mis assied l'obligeant à faire de même à califourchon sur mes genoux. Il capte mon regard, je me noue facilement dans ses yeux qui brillent de désir. Il pose sa main droite sur ma mâchoire et vient caresser ma joue délicatement avec son pouce. Quant à moi je deviens plus entreprenante et vient éloigner son fessier à même la peau. On s'approche l'un de l'autre alternant le regard entre les yeux et les lèvres. En sentant son souffle s'abattre sur mes lèvres, je ferme de plus en plus les yeux. Nos souffles se coupent et nous nous embrassons passionnément. Je me recule en premier, j'ouvre les yeux et dépose de chaste bisous sur ses lèvres. Il sourit en roulant du bassin sur ma demi molle. L'effet est immédiat sur lui car son sexe est tendu au possible, la bosse dans son short nous indique qu'il est vraiment excite. Il continue ses mouvement sur mon sexe, ce qui inévitablement me fait bander. Il le remarque très bien car il se lève et pars fouiller un des tiroirs de son bureau. Il revient avec des protections et un tube. Il me donne les capotes, il y avait plusieurs tailles différentes, je choisis la mienne et lui rend les autres. Il les dépose sur la commode non loin de son lit avant de revenir se placer face à moi. Il m'embrasse tendrement avant de commencer à danser sensuellement, ses vêtements tombent un à un puis viennent au tours des miens. En me voyant nu il ne reste pas de marbre et fixe mes parties génitales. Je ne limite pas car je n'en vois pas l'intérêt j'ai choisi de le faire avec lui car je le voulais lui pas sa teube. 

"- je comprends mieux pourquoi tu m'as rendu les plus petits." Me dit il en s'agenouillant devant moi. 

Il commence par marquer l'intérieur de mes cuisses puis remonter encore et encore. Il embrasse mon gland et commence à me prendre en bouche. Les aller retour sont d'abord lent et régulier allant même parfois au fond de sa gorge, mais au fur et à mesure qu'il suce il accélère le rythme perdant totalement la régularité de ses va et vient. Mes gémissements se font un peu plus audibles mais rien de très haut. On peut voir son expertise quand il s'arrête pile au bord de la jouissance et vient se rasseoir sur mes jambes après avoir enfilé le préservatif. Il attrape la bouteille de lubrifiant à côté de nous mais je l'arrête en attrapant son poignet. Je mets une noisette de lubrifiant sur mes doigts et les approche de son trou. Il sourit un peu avant de changer de position et de s'allonger sur le dos en tenant ses jambes. J'ai une parfaite vue sur mes gestes et tout simplement sur son corps entier. J'insère un premier doigt qu'il prend bien malgré quelques petites grimaces, puis en vient un deuxième. Il se contracte à cette nouvelle intrusion et je le détends avec quelque va et vient sur son membre. 

Il se détend de plus en plus et je rajoute jusqu'à deux doigts de plus avant de me présenter à son entre. Son plaisir est exprimé par le biais de petits sons audibles et d’une sensualité sans nom. A un moment je trouve enfin sa prostate car il hurle de plaisir et se tortille dans tous les sens. Je ne voit pas l'utiliser d'attendre plus et rajoute un peu de lubrifiant avant de le pénétrer violemment. Un nouveau cri s'élève. J'attends quelques secondes avant de reprendre des mouvements doux. Je l'embrasse, leche sa lèvre inférieure demandant l'accès à sa bouche. Pas décidé à l'ouvrir je m'enfonce brutalement au plus profond ce qui le fait gémir. Il entrouvre les lèvres et commence un bal mouvementé entre les deux muscles rosés. Il coupe le baiser le souffle court, il empoigne les draps au-dessus de sa tête. Je lui attrape les mains de la main droite, croisant ses poignées pour avoir une prise ferme et pouvoir garder l'équilibre en martelant son derrière. Luffy vient entre nos corps, et j'en profite pour le retourner et m'enfoncer de nouveau brutalement. J'attrape ses hanches et pilonne jusqu'à la jouissance. Ce que je n'avais pas prévu c'est qu'à peine ai-je fini de jouir que son frère entre en furi dans la chambre. 

"- qui ose toucher à l'innocence de mon petit frère?"