* Partie 52 *
Arrivés à la maison, notre maison désormais, on s’écrasa littéralement sur le canapé, avant de pouffer de rire, comme deux idiots, puis tout naturellement il s’est rapproché de moi et m’a embrassé le front, tout en descendant tout doucement vers ma bouche, cette fois-ci je fermais les yeux, me laissant aller complètement car désormais, plus rien n’était comme avant, oui, maintenant, j’étais sa femme…
Cette nuit là, j’ai été sienne pour la première fois, et le lendemain matin au réveil, lorsque j’ai ouvert les yeux, il était déjà réveillé, il avait son coude sur le lit et sa main tenait sa tête, il me regardait en jouant avec une mèche de mes cheveux…
Moha : Je t’aime tu sais ?
Moi : je sais, je t’aime aussi mon Amour
Non, je n’ai pas rougi, ni eu honte de cette nuit car si j’ai honte de mon mari, de qui ne dois-je pas avoir honte ?
Je me suis levée, en oubliant que j’étais nue d’ailleurs, pour vous dire à tel point j’étais bien et en confiance, il m’a suivi de près et a terminé de préparer la trousse de toilette pour notre voyage pendant que je prenais ma douche, tout ça sous ses yeux, sans la moindre honte, sans la moindre gêne.
Quand j’eu fini de faire les grandes ablutions, il alla à son tour dans la douche et les fit également, et c’est ensemble que nous avons prié.
Peu après nous avons pris la route pour aller à l’aéroport, je ne connaissais pas la destination qui m’attendait, mise à part que j’avais du faire des vaccins avant, car cette partie là, c’était la partie organisée par Mohamed.
En arrivant à l’aéroport, je vis que nous ne partions pas dans n’importe quel pays. Non, nous partions dans le pays que j’ai toujours voulu visiter : la Polynésie française.
Bora Bora, nous voilà !
Ce que je vous dévoilerais uniquement de ce séjour, par pudeur et aussi pour garder une part de ma vie secrète, c’est qu’en plus de voir de ses propres yeux un paysage de carte postale, notre bungalow se trouvait au bord de l’eau enfin sur l’eau.
Il nous suffisait de sortir par la terrasse et de plonger pour se retrouver directement dans cette eau magnifique et turquoise, pour vous dire, il nous arrivait de nous rendre au restaurant de l’hôtel et de diner les pieds dans l’eau… (je vous laisse taper vous-même sur google et vous laisse rêver… tout comme je rêve au moment où je vous écris ces lignes mdr)…
10 jours, 10 jours magnifiques !
Le retour a la réalité fut vraiment brutal car l’endroit où nous vivions n’avait rien à voir avec l’endroit paradisiaque que nous venions de quitter.
Désormais, nous faisions face aux derniers cartons que Moha devait encore déballer et qui bloquaient quelque peu notre chambre.
Désormais, nous commencions un quotidien sans les artifices de Bora Bora, un quotidien à deux, en somme, nous plongions maintenant dans l’inconnu.
En effet, vivre avec son mari n’est pas chose facile au départ, et ceux qui disent le contraire, mentent, je vous l’assure !
C’est plus comme avant l’époque où on vit seul et où on peut faire ce que l’on veut, c’est fini l’époque où on est avec avec sa famille et qu’on s’en fou de tout car ils nous connaissent depuis la naissance, on est plus avec des personnes qui connaissent vraiment tout de nous et de nos habitudes, on est avec l’homme qu’on aime, l’homme a qui on veut plaire sans cesse, et j’avoue que les premiers jours, j’ai tenté de me lever avant lui pour me brosser les dents, me faire belle, j’osais pas trop mettre les robes du bled et tout, mais ça m’est très vite passé.
C’était une réaction un peu stupide de ma part car il m’avait déjà vu dans tous les états possibles et imaginables, du coup, je ne sais pas de quoi je voulais le préserver à ce moment là, mais mahlich, je pense que le fait qu’il soit désormais mon mari m’impressionnait clairement.
J’avais repris le travail, et Moha aussi, alors nos journées étaient rythmées par le réveil, notre boulot, et notre retour à la maison, à deux, je cuisinais tous les soirs de bons petits plats pour mon mari, complètement paniquée à l’idée qu’il perde du poids, que Khalti s’en rende compte et qu’elle me tue mdr.
On habitait toujours dans le même appartement, et on envisageait sérieusement de déménager. Le T2 commençait à devenir serrer, mon petit 40m2 était parfait pour m’accueillir seule, mais à deux, c’était une autre paire de manche.
La salle de bain était assez petite et ça posait régulièrement des problèmes, surtout le matin, on était tout le temps à la bourre et régulièrement soit lui soit moi devait sacrifier la douche matinale pour arriver à l’heure au travail.
On avait commencé à chercher un appartement, de préférence un trois pièces, pour nous éviter un déménagement le jour où je serai enceinte.
Hassoul, c’était un matin, un samedi pour être exacte, je m’en souviens tout simplement parce que j’avais écrit le jour dans mon journal intime, Nouria m’appelle, complètement paniquée :
Nouria : putain Diya, j’suis bloquée chez Khalti, j’arrive pas à ouvrir la porte, je dormais et ils sont partis, ils ont du fermer à clés, y a personne, j’ai trop mal au ventre, sah j’ai appelé les secours tellement j’souffre
Moi : bouge pas j’arrive, j’ai un double des clés, t’es une folle pourquoi t’as pas appelé avant ?
Nouria : j’vais mourir Diya
J’ai monté les escaliers 4 par 4, si j’avais pu, j’les aurai monté 8 par 8 geh !
J’avais le souffle coupé, je priais Ya Rabbi de ne pas lui enlever son bébé, on ne savait d’ailleurs pas encore ce que c’était car il jouait à cache-cache, c’était trop tôt, elle en était qu’à 7ème mois et demi de grossesse, sah j’avais la trouille !
En arrivant j’ai ouvert la porte et l’ai retrouvé allongée sur le sol.
Elle avait perdu les eaux, malheureusement.
Elle tentait de respirer correctement mais elle avait trop mal, je me pencha au dessus d’elle, tout en laissant la porte d’entrée ouverte, et dégagea les cheveux qui s’étaient collés à son visage via sa transpiration.
Elle m’a attrapé la main et me l’a littéralement défoncée en y plantant ses ongles.
Heureusement, les secours arrivèrent à ce moment là et prirent le relai, permettant à ma main de vivre encore un peu, ils la stabilisèrent et me demandèrent de les accompagner de suite à l’hôpital.
Je courais derrière le brancard, elle arrêtait pas de m’insulter « conasse, court, dépêche toi, tu crois j’ai ton temps ou quoi, si tu viens pas avec moi j’te butte », je voulais rigoler, mais en sah, je voyais qu’elle souffrait beaucoup.
Une fois installées à l’intérieur de l’ambulance, je pris le temps de prévenir le reste de la famille soit par texto, soit par appels, en ayant pris le soin de donner ma main gauche à Nouria pour qu’elle puisse déverser ses nerfs dessus et cesser d’insulter et se concentrer enfin sur les dires du Docteur.
Elle avait l’air de souffrir le martyr, j’me souviens exactement de l’expression de son visage, et quand le Docteur lui disait que « ça va aller », si ses yeux étaient des flingues, elle l’aurait tué sans pitié.
Le trajet vers l’hôpital, d’habitude si rapide, m’a donné l’impression d’avoir duré des heures mais heureusement, nous étions enfin arrivés à destination où elle fut rapidement pris en charge.
J’avais du, à contre cœur (ou pas), lui lâcher la main.
Quelques temps après je fus appelée pour aller la voir, en entrant dans la chambre, elle était très pâle…
Moi : ça va hbiba ?
Nouria : ça va…
Moi : il… il va bien ?
Nouria : lequel ?
Moi : bah.. ton bébé !
Nouria : ah, y en a deux !
Moi : comment ça deux ?
Nouria : ouai ! deux ! deux zeubi ! j’ai tout pris pour un, et non, y en a deux !
Moi : mais, il sort d’où, enfin j’veux dire, pourquoi tu l’as pas su avant ?
Nouria : anomalie j’sais pas quoi, leurs cœurs battaient ensemble ou heja comme ça, et là le cœur du J1 a ralenti, alors ils ont pu percevoir le cœur de J2
Moi : J1 et J2 ?
Nouria : jumeau 1 et jumeau 2 hagouna !
Moi : sah y en a vraiment deux ?
Nouria : ouai, j’sais pas, c’est ce qu’ils m’ont dit !
Moi : waaa le truc de fouuu ! des jumeaux ! c’est trop hlou !
Nouria : ouai, comment j’vais faire j’ai que deux bras !
Moi : bah ils sont deux, magnifiques ! un pour chaque bras !
Nouria : ah ouai, t’as déjà changé un enfant avec qu’une seule main toi ? t’as déjà tenu un nourrisson en lui donnant le biberon d’une seule main toi ?
Moi : ah… mais t’inquiète, Karim aussi il a deux bras, un pour chacun, mashaAllah, pas de jaloux !
Nouria : d’ailleurs, il arrive quand ce hafrit ?!
Moi : là, il va pas tarder ma chérie
Nouria : j’vais le défoncer, tout ça c’est de sa faute à lui !
Moi : dit pas ça hbiba, al Hamdoulilah ils sont en bonne santé, toi aussi, y a que ça qui compte, demain vous serez 4, mashaAllah !
Nouria (en larme, d’un coup) : je devais pas accoucher aujourd’hui putain, je suis déjà une mauvaise mère…
Moi : mais pourquoi tu dis ça ma chérie ?
Nouria : mais j’suis censée accoucher dans deux mois, pas maintenant !
Moi : déjà dans 1 mois et demi d’accord et t’as des jumeaux chérie, c’est des grossesses qui vont rarement à terme !
Nouria : t’es sur ?
Moi : demande aux médecins ! tu vas être une mère du tonnerre j’te le dis !
Je lui ai tenu la main jusqu’à ce que Karim arrive et prenne le relai, ouf parce que fallait que ma main respire, elle était foutue.
Quelque temps après, toute la famille arriva, et Nouria se prépara pour un accouchement en césarienne, car le cœur de J1 faisait des siennes.
Quelques minutes plus tard, Mohamed voyait le jour, suivi 3 minutes après par Safia, de beaux petits loups qui furent immédiatement placés en couveuse même s’ils se portaient approximativement bien.
En attendant de pouvoir les voir à travers la vitre, Moha et moi discutions…
Moha : j’suis sur ça va être des BG
Moi : moi aussi, j’en suis persuadée mashaAllah
Moha : t’en veux combien toi ?
Moi : j’sais pas, deux ou trois, et toi ?
Moha : cinq
Moi : cinq ? mais t’es fou ?
Moha : quoi ? ma mère en a eu plus et elle est pas folle !
Moi : oui, mais bon Moha, on verra
Moha : un petit Kaïs !
Moi : ouai, pourquoi pas, c’est pas mal !
Moha : et pour une fille, Anissa, comme ma sœur !
Moi : sérieux ?
Moha : ouai, c’est ma petite perle, j’veux que ma fille s’appelle pareil !
Moi : d’accord, moi j’ai toujours voulu Yassine
Moha : vas y, premier je choisi, deuxième tu choisiras, ça te va ?
Moi : saha
Moha : faut qu’on s’y mette alors, on rentre ?
Moi : ta belle sœur est entrain d’accoucher tais toi !
Moha : ou alors on trouve une chambre vide ?
Moi : hcheumch un peu !
Moha : ho… j’vais leur dire aux petits que tu veux pas leur faire de cousins !
Moi : ça n’a rien à voir !
Moha : si si !
Moi : non, toi c’est au plaisir que tu penses, pas à faire des copines à tes neveux !
Moha : non tu mens ! même si j’avoue…. Hmmm… vas y Omri, on s’trouve un endroit calme ?
Moi : hcheumch on est pas seuls en cas, arrête de penser qu’à ça !
Il m’a regardé et a rigolé.
Finalement, tout c’est bien passé et quelques heures après, on a pu les apercevoir et ils étaient tous mignons, tous adorables.
Sah j’aurai pu les bouffer à travers la vitre, Safia était une toute petite crevette, ça se voit que Mohamed avait joué le vorace, alors je faisais beaucoup de dou’a pour eux, mes petits chéris
Voilà, les jours passèrent et petit à petit toute notre vie commençait à prendre un sens, Nouria passait son temps à l’hôpital avec Karim et nous y allions de temps en temps. Les petits grandissaient bien mashaAllah.
Un soir, je discutais avec Moha :
Moha : faut vraiment qu’on trouve pour déménager d’ici
Moi : oui, de toute façon on peut pas rester plus longtemps ici comme ça…
Moha : oui, bon ça fait qu’un mois, mais ça rend déjà fou, et faut j’te dise, hier matin l’agence m’a contacté et m’a proposé un chouette petit appartement…
Moi : sah, ou ça ?
Moha : pas loin d’ici, à 10 minutes même pas, tu vois les nouveaux blocs derrière le bloc à Bachir ?
Moi : quel Bachir ?
Moha : mon pote, même on a ramené sa mère l’autre fois !
Moi : ahhh, vers le fond du quartier là ?
Moha : ouai, voilà, c’est là !
Moi : euh… autant rester ici alors, t’as vu comment ils craignent les bâtiments vers chez Bachir ? c’est le hood là bas !
Moha : mais non hafrita, j’te parlais des résidences neuves juste en face de la bas ! wAllah l’appartement il a l’air hella, on peut visiter demain ou après demain !
Moi : demain ! combien de pièces ? t’as des photos ?
Alors on regardait les photos ensemble, et sah, il avait l’air vraiment bien, tout neuf, premiers locataires, un très grand salon – salle à manger, avec une cuisine équipée séparée d’une taille convenable, une terrasse de dingue, en scret, même l’appartement aurait été pourri, j’aurai voulu le prendre juste pour la terrasse mdr, c’était au dernier étage (avec ascenseur ouf, sinon la bagra que je suis n’aurai pas survécue).
Deux chambres dont une avec un dressing, une du côté gauche, et l’autre du côté droit. Entre les deux chambres, au bout du couloir, il y avait une grande salle de bain avec une petite douche italienne et, heureusement, une baignoire juste à côté. Les chambres ne communiquaient pas avec la salle de bain.
Jusque là, le rêve. Mais ça va l’être encore plus : les toilettes étaient séparés (sah pour moi c’est trop important mdr). Hassoul, dans le couloir, il y avait aussi quelques placards encastrés dans le mur, le rêve des gros bordeliques comme Mohamed.
C’était un magnifique appartement. Vraiment. Je n’aurai pu rêver mieux.
Le loyer était un peu cher, mais à nous deux, nous y arriverions largement, en comptant l’augmentation de loyer que le déménagement nous couterait.
Le lendemain, lors de la visite, on a direct signé les papiers.
Al Hamdoulilah.
On s’y sentait vraiment très bien et comme nous cédions notre bail à un pote à Moha qui voulait son indépendance, nous n’avions pas le problème de devoir donner de préavis et nous pourrions emménager dans la semaine.
C’était le top.
Moi, je vais vous épargner un des pires moments de ma vie : le déménagement, les cartons, le rangement, les choses qu’on trouve et qu’on pensait à jamais impossible à retrouver, les choses qu’on trouve et que justement on n’aurait jamais voulu retrouver, hassoul, un moment très chiant.
En plus d’être un moment chiant, ça m’a valu des tas de minis embrouilles avec Mohamed, pour une raison X à chaque fois, mais surtout dues à la fatigue et au ras-le-bol.
Vint enfin le jour de mes 21 ans.
Je ne voulais pas faire quelque chose de spécial, je voulais juste rester chez moi, en compagnie de tous mes amis les cartons et de mon mari, trop fatiguée pour espérer faire quelque chose d’autre.
Mohamed ne l’entendait pas de la sorte et a loué, derrière mon dos, une salle et a convié tous nos proches.
Je ne me souviens plus exactement par quelle prouesse ou quel mensonge il a réussi à me faire m’habiller décemment et quitter mon canapé, mais en arrivant à la salle, c’était juste un truc de fou, c’était une très grosse fête, j’en avais jamais eu jusque là et sah, je m’y attendais vraiment pas du tout, j’étais vraiment surprise et très loin de jouer la comédie.
Ce soir là, j’ai eu la sensation d’être une vraie jeune femme menant une vie bien accomplie, que j’étais arrivée au bout du tunnel, de ce sombre tunnel dont je ne pensais jamais voir la fin un jour.
La soirée se termina assez très tard et le lendemain, quasi aux aurores, nous étions tous levés.
Oui, aujourd’hui, c’était mission DEMENAGEMENT.
Pour moi, ce fut également le début de nouvelles craintes. Je me disais que peut être le fait d’emménager dans un lieu nouveau allait chambouler notre quotidien, notre façon de voir les choses, la façon dont Moha se comportait avec moi car désormais nous n’étions plus dans le même bâtiment que le reste de sa famille.
Surtout que le déballage des cartons s’est fait dans la guerre totale :
Moha : tfou
Moi : qu’est-ce que t’as ?
Moha : le verre c’est cassé la j’me suis coupé zeubi !
Moi : c’est pas un truc de fou, vas voir dans la salle de bain, j’ai déjà fini de faire la pharmacie, prend un pansement et ça va aller !
Moha : ouai, s’tu le dis ! si la pharmacie est faite aussi bien que les cartons, sah, j’vais rien retrouver !
Moi : eh débranche moi s’il te plait, rien que tu me prends la tête depuis ce matin à me dire je sais rien faire, mais je te le dis moi, si j’avais pas été là, les cartons se seraient pas fait tous seuls hein !
Moha : ouai mais si tu savais faires des cartons correctement on en serait pas là, j’me serai pas blessé, ça m’casse les c**** !
Moi : je t’ai déjà dit pas de gros mots avec moi et j’suis pas ta shab pour que tu me parles comme ça, t’avais cas le faire toi-même ce putain de carton si t’avais vu que je m’y prenais mal ! hassoul fais voir ta blessure de guerre ?
Moha : vas y rigole rigole, j’vais chopper le tétanos avec tes conneries, tiens, regarde !
Et là je vois quoi, il se pressait le doigt comme un fou pour qu’une petite goutte de sang sorte geh, j’ai pris la colère directe !
Moi : tu veux que je t’aide à presser, peut être qu’à deux on va obtenir une deuxième goutte de sang pour le côté dramatique ou tu vas arrêter tes enfantillages, mettre un pansement, et continuer à m’aider à tout déballer ?
Sah, il a pas parlé plus, il est allé, en ronchonnant dans sa barbe, mettre un pansement et il est venu continuer de déballer.
De toute façon il avait pas le choix geh, j’étais trop sur les nerfs mdr, je voulais tout terminer avant le soir afin de pouvoir dormir cette nuit dans une maison propre, surtout que j’avais encore tout le ménage à taper !
Hassoul, rien que de vous parler de mon déménagement, ça m’a mis la colère mdr, je revis chaque instant à chaque fois que je vous l’écris, c’est un truc de fou mine de rien !
Revenons à nos moutons…
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Il était une fois : pff les contes de fées n'existent pas.
General FictionBelle chronique enregistrée à l'ancienne comme on les aime Histoire Réelle