CHAPITRE 12

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— Tu me rends fou, Lilith, chuchotât-il dans mon cou.
       
En rentrant il m’avait plaqué contre la porte de la chambre et il l’avait fermé à clefs.
       
Il fit tomber une manche de ma robe pour embrasser mon épaule. C’était le premier contact de ses lèvres avec mon corps, je fermais les yeux pour mieux en profiter. A chaque endroit où il m’embrassait une dose d’adrénaline se déversait en moi. J’allais bientôt en devenir accro. 

— Tu comprends maintenant que tu ne peux être qu’à moi, dit-il en glissant une main dans mon dos.
       
D’un seul coup je me retrouvais le visage collé contre la porte. Il était en train de défaire ma robe pour la glisser le long de mon corps. Il embrassait chaque parcelle de mon cou.
       
Il s’attarda même sur un endroit où je le sentis me mordre.

— Qu’est-ce que tu m’as fait ?

— Voilà, il se verra bien comme cela.
      
Il me retourna pour me soulever, il me porta avec mes jambes autour de lui. Ma raison disparaissait au fur et à mesure que je sentais ses lèvres sur mon corps. Refen m’embrassait à la naissance de mes seins comme si c’était la chose la plus précieuse au monde. Sans que je ne sache comment il ne restait que son caleçon sur lui, il avait une peau super douce.
       
Dans ce moment précis il n’y avait plus rien de raisonnable. Refen me posa délicatement sur le lit tout en veillant à ce que je ne m’échappe pas.

— Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
      
C’est là que je me suis surprise moi-même. Je l’embrassa. C’était mon premier baiser mais je n’en pouvais plus. Refen me faisait perdre la tête.
       
C’était comme si j’avais allumé un feu en lui. Il demanda l’accès à ma bouche avec sa langue, ce que j’accepta. Il commençait à me malaxer les seins comme jamais personne ne l’avait fait avant. C’était divinement bon. Je le surpris à m’en mordiller le bout, me cambrant de surprise.

— Tu es tellement sexy et mignonne en même temps, je n’en peux plus.

— Refen…, chuchotais-je doucement.

— Oui ma belle ?, me dit-il entre deux baisers.

— Tout ce qu’on est en train de faire, c’est une première pour moi.
       
Il arrêta d’un seul coup tout ce qu’il était en train de faire. Reculant pour s’assoir à côté de moi.

— Tu veux dire que tu es vierge ?

— Oui, dis-je doucement soudainement avec honte.
       
Il y eût un gros blanc, j’avais tourné la tête vers le bas pour ne pas croiser son regard. Puis il finit par prendre mon menton avec sa main.

— Mon dieu tu me plais encore plus, te savoir rien qu’à moi, me remplit de bonheur… Qu’est-ce que tu veux faire ? me demanda-t-il.

— Je ne veux pas aller trop vite, murmurais-je en le regardant dans les yeux.

— Bien on fera comme cela alors, me dit-il sincèrement avant de m’embrasser.
       
Son baiser était rempli de promesse. Quand il m’embrassait c’était comme si j’étais devenue son pantin, par je ne sais quelle manière je me suis retrouvée à califourchon sur lui. Il coupa notre baiser en embrassant mon cou, il me fit alors :

— Par contre il va falloir m’aider à régler un gros problème.

— Lequel ?
       
Puis il me montra son caleçon. J’étais probablement devenu rouge comme une tomate.

— Je suis désolée mais tu me fais trop d’effet, il n’y a que toi qui puisse régler cela.

— Mais je ne sais pas comment faire…

La Féline et le Loup Où les histoires vivent. Découvrez maintenant