CHAPITRE 13

0 0 0
                                    

Pendant le reste de la soirée, je bu un peu plus que ce que je ne le devais. Chiara aussi. Je me souviens juste qu’après quelques heures les gens ont commencé à partir en laissant leurs cadeaux.

        Personnellement je n’avais qu’une envie : me baigner ! Le Dj était parti mais avait laissé son matos. Il ne restait que Chiara, Cole, Tristan, ses potes et moi. Mon envie était telle que je partis sur les platines lancer ma musique avant de me diriger vers la piscine. Chiara et les garçons étaient morts sur le canapé.

— Choooouuuu !, criais-je à l’intention de Chiara. Je vais me baigner tu me rejoins.

        Sans que je m’en rende compte, j’étais en train de me déshabiller pour me retrouver en sous-vêtements. J’étais sur la terrasse et je me retournais pour voir où elle était. Les garçons ne me voyaient pas puisque le canapé était dos à la vitre.

— Lili je vais venir te coucher si tu continues, dit Cole.

        Pas de réponse de la part de celle-ci. Tristan se leva pour prendre Chiara dans ses bras :

— Je vais la coucher.

        Puis il se tourna vers moi et quand il me vit, il rigola de gêne :

— Quelqu’un devrait aussi s’occuper d’elle. Elle est tellement pétée qu’elle s’apprête à sauter dans l’eau en sous-vêtements !

Tout le monde se retourna, je n’étais pas gênée le moins du monde. Qu’est-ce que c’est bien l’alcool ! Au contraire je commençais à me diriger vers la piscine. Je tournais la tête une dernière fois pour voir s’ils me regardaient toujours mais je ne vis que Refen se diriger vers moi d’un pas furieux.

        Comme une gamine je me mis à courir partout avec Refen à mes trousses. Je fis le tour de la piscine au moins 4 fois quand enfin, à cause de l’alcool, je commençais à avoir le tournis.

— Refen tu ne m’attraperas jamais !, m’écriais-je. Je suis un lion et toi tu n’es qu’un petit lapin que tu essayes de me manger tout le temps ! D’ailleurs ce n’est pas juste !

        Cole et Tristan nous avaient rejoints au bord de la piscine ils étaient tellement morts de rire que cela m’incitait à continuer.

— Hé les gars !, cria Refen. Vous voulez bien m’aider à l’attraper au lieu de filmer !

— Non désolé mec mais c’est tellement drôle, rigola Cole.

            D’un seul coup j’eu l’idée du siècle. Je m’arrêtais au bord de la piscine avec un regard plein de malice je défiais Refen de venir. Ce qu’il fit. Mon plan marcha à merveille. Il s’approcha de moi et alors qu’il fonçait sur moi je m’écartais juste à temps pour qu’il perde l’équilibre et tombe à l’eau.

        Cela me fit tellement rire que j’en tomba au sol. Les garçons et moi on pleurait littéralement de rire. Avant que je ne remarque quoi que ce soit Refen était ressorti de l’eau pour me porter comme un sac à patate avant de me jeter. Ses yeux avaient changer de couleur et brillait d’une lueur violette.

        Ce fut comme une douche froide pour moi. Lorsque je bois je deviens une vraie gamine et sans que je ne contrôle quoi que ce soit je m’étais mise à pleurer en sortant de l’eau.

— Cole ! On m’a encore jeté dans l’eau !, pleurais-je à chaudes larmes.

— Aller vient là, m’invita Refen avec une serviette.

— Non je ne veux pas de toi ! Tu es méchant !

C’est alors qu’il me sortit de l’eau comme si je n’étais qu’une vulgaire plume. Il me posa avec fermeté sur le sol pour enrouler une serviette autour de moi. Refen finit par me porter en sac à patate sur son épaule et marcha vers la maison.

— Aller au lit gros bébé, me dit Refen.

        Sur le chemin on croisa Cole et Tristan, je ne pouvais pas ne pas leur dire bonne nuit :

— Les gars je vous aimes si fort ! S’il vous plaît ne me laissez pas seule avec lui il va encore me faire faire des choses bizarres avec sa…

        Je n’eus pas le temps de terminer ma phrase que Refen m’avait fait basculer dans ses bras en mode princesse. Il me regarda avec défi :

— Si tu continues ta phrase je le ferai vraiment, que tu sois bourrée ou non.

        Je fis mine de clouer ma bouche avec mon doigt avant de jeter la clef. Je me contentais de frotter ma tête contre son torse pendant qu’il montait les escaliers.

— Tu sens bon Refen, avouais-je. J’ adore m’endormir dans tes bras.

— Ah ouais ? Vas-y dis ce que tu penses de moi.

— Hey ! Tu n’essayerais pas de profiter de moi pour avoir des infos ?

        Il poussa une porte avant de me poser sur un lit. Refen monta la couverture jusqu’à mon nez avant de s'asseoir à côté de moi :

— Qu’est-ce que je vais bien faire de toi ?

— Fait dodo avec moi, demandais-je à ma grande surprise.

— Pas besoin de me le demander je comptais déjà dormir avec toi, mon petit trésor.

— Je suis ton petit trésor ? Waouh je suis aussi précieuse que l’anneau dans Le seigneur des anneaux, dis-je naïvement.

        Cela eu le don de le faire rire de plus belle. J’aimais beaucoup quand il rigolait, c’était si sexy et majestueux à la fois.

— Dis ? Tu me prêtes ton t-shirt ?, demandais-je.

        Il ne répondit pas et se contenta de l’enlever pour me le mettre. Suite à cela il se glissa dans les couvertures à côté de moi. Sans que je ne contrôle quoi se soit mon corps partit de lui-même se coller contre lui. Refen me fit un bisou dans les cheveux avant que je ne sombre dans les bras de Morphée. 

J’avoue que le lendemain fut extrêmement difficile. Ce matin était vraiment hardcore.

        Lorsque mes yeux se sont ouverts j’eu la surprise d’avoir la tête d’un garçon à quelques centimètres de la mienne. Je ne pus m’empêcher de pousser un cri avant de tomber du lit emportant la couverture avec moi.

        Un grognement sortit de la bouche de ce mystérieux inconnu. Ce bruit je l’avais déjà entendu quelque part puis comme une douche froide emportée par un fleuve, mes souvenirs de la veille se déversèrent en moi.
L’anniversaire de Chiara… Les garçons…Refen… Oh mon dieu on avait fait des bêtises. Les verres d’alcool… ouïe et mon mal de tête qui arrivait. La piscine, ça c’était drôle.

Et pour finir Refen avait passé la nuit avec moi.

Bon c’est officiel Lilith tu n’es plus une sainte nitouche. Maintenant tu passes des nuits avec un mec dont cela ne faisait même pas 24h que tu le connaissais. Tout va bien.

— Tu ne veux pas revenir te coucher, demanda d’une voix endormie Refen.

— Non il faut que je me lève, mes parents doivent se demander ce que je trafique.

— Laisse les, ils doivent être en train de régler des affaires politique avec mon père…

— Raison de plus pour les rejoindre, rigolais-je en lui envoyant mon coussin dans la tête. Cependant, je veux bien rester quelques minutes de plus avec toi.

Satisfait de cette réponse il se recoucha comme si de rien n’était. Pour ma part je partis dans la salle de bain pour évaluer les dégâts. A la vue de ma tête ma gueule de bois est directement arrivée. J’avais des cernes qui tombaient presque jusqu’à mes pieds, j’étais pâle comme un linge.

Il fallait que je trouve des habits et des lunettes de soleil. Je ne pouvais pas aller me chercher un verre d’eau avec juste un t-shirt et un string. Je sortis discrètement de la chambre en longeant les murs priant pour ne pas croiser un des garçons.

J’étais presque arrivée à la chambre de Chiara quand un des garçons sortit d’une des chambres. C’était Cole, il portait un bonnet, un t-shirt et un short. A ma vue je vis son visage devenir tout rouge. Je me collais donc encore plus au mur face à lui.

— Heuu… Salut, dis-je timidement.

— Ouais, salut. Dis tant que tu es là tu peux m’indiquer la chambre de Refen, je suis en train de les réveiller.

— Oui c’est celle-là, répondis-je en pointant la porte du doigt. Je m’occupe de Tristan et Chiara si tu veux.

— Oui parfait.

        C’était la conversation la plus gênante que je n’avais jamais eu dans ma vie. Il partit super gêner dans la chambre que je venais tout juste de quitter.

Je tournais la poignée veillant à ce que personne n’arrive derrière moi avant de rentrer.

— Je me disais bien que ce n’était pas Chiara qui m’avait léché ce matin, sortit une voix de nulle part.

        Je relevai la tête pour apercevoir Tristan qui avait Chiara dans ses bras. Ils étaient vraiment trop adorables.

— Vous êtes trop mignon ! Je viens chercher juste quelques affaires et je vous laisse tranquille, promis ! Et Tristan arrête de raconter de la merde.

        Ils acquiescèrent en levant leurs pouces en l’air. Pour ma part, je pris mon sac à dos où j’avais fourré deux trois bricoles pour le lendemain de soirée et je partis dans la salle de bain de Chiara. J’en sorti mes lunettes de soleil, mon jean, ma paire de Vans et ma brosse à dent. Le t-shirt ne puait pas alors je décidais de le garder. Je préférais garder le mien on ne sait jamais s’il m’en fallait un de rechange.

Je chercha mon téléphone, plus de batterie. Tant pis. Je le mis alors dans mon sac et une fois fini je sortis de la chambre discrètement, lunette de soleil sur le nez.

Je dévala les escaliers dans l’espoir de ne croiser personne mais apparemment les garçons étaient réveillés, ils étaient tous affalés dans le canapé en train de mater la télévision.

Il ne manquait plus que Tristan et Refen.

— Tu t’en vas ?, me demanda Cole.

— Non je vais prendre l’air, il faut que j’évacue l’alcool.

— Ok je t’accompagne !, s’écria Cole.

        Il ne me laissa pas le temps de répliquer qu’il enfilait déjà ses chaussures. Cela me fera un peu de compagnie pendant la promenade.

        Nous étions dans l’allée pour sortir quand je me rendis compte qu’il n’était pas si tôt que ça.

— Tu sais quelle heure il est ?, demandais-je.

— Il bientôt midi mais 11h45 exactement, dit-il en regardant son portable.

— Mince, je viens à peine d’arriver ici et j’ai dû voir mes parents deux fois.

— A mon avis tu dois avoir besoin de prendre du recul par rapport à ta famille. Après tout ce que tu as appris, je serais dans le même état que toi. Si tu veux je connais un petit coin sympa non loin d’ici, me proposa-t-il.

        Sur le chemin, je me rendis compte que Cole était vraiment gentil mis à part ses grandes épaules, il me faisait penser à une maman ours. Il me posa pleins de questions sur moi. Au sujet de mon âge, comment avais étais le vie avec mes parents adoptifs, sur le monde extérieure… Je lui montra pleins de photos et de vidéos de là où j’avais habité, notamment des photos de Mady et Chloé.

Et quelque chose me disais qu’il avait flache sur Mady.

— Tu en as une autre  ?, me demanda-t-il.

— Ah oui, on prend souvent des photos ensemble de tous ce que nous faisons en souvenir ! Attends il me semble bien que j’en ai une par ici, dis-je en reportant mon attention sur mon téléphone.

        Quand je trouvais la bonne il me prit mon téléphone des mains pour la regarder attentivement. Il zoomer même sur sa tête, cela me fit rire.

—Cette fille est vraiment belle, il faudra que tu me la présentes un de ses quatre. Tu sais en fait, je t’aime bien. Tu dois être une des seules filles simple ici, je comprend que Refen soit devenue ton Taman.

— Dans ce cas tu peux m’appeler Lili !

        On discuta longtemps avant qu’on ne se rendent compte qu’il était douze heure trente. Il était peut-être temps qu’on rentre non ? Sur le chemin je n’en pouvais plus, la gueule de bois prenait de plus en plus d’ampleur.

— Cole je peux t’avouer un truc ?

— Oui ?

— J’ai la gueule de bois et j’en peux plus. Dis-moi qu’on arrive bientôt à la maison.

        C’est là qu’il fit un truc auquel je ne m’attendais pas, il posa un genou à terre.

— Hey, je ne veux pas t’épouser !, rigolais-je.

— Aller monte sur mon dos avant que je ne change d’avis.

— Ouf ! Tu m’as fait peur !

        Je montais sur son dos, de par sa carrure c’était comme si je ne pesais rien. Je laissa tomber ma tête sur son épaule pour caler ma tête. On ne parla plus sur le reste du trajet. En arrivant à la maison on rentra à l’intérieur comme cela.

— Tu veux que je te dépose où princesse ?, me demanda-t-il en rigolant.

        Je me prêtais un peu au jeu.

— Très cher, le canapé me parait être un endroit favorable à mon royal fessier.

        Les garçons avaient tourné la tête à notre arrivée. Ils étaient tous là, même Tristan, Chiara et Refen. D’ailleurs en parlant de lui, il ne semblait pas vraiment apprécié le fait que je sois sur le dos de Cole mais je m’en fichais royalement.

— Qu’est-ce que vous faites ? Elle ne sait pas marcher, lança froidement Refen.

— Il se trouve que Cole est un parfait gentleman et tu n’as pas besoin d’en savoir plus, répliquais-je.

        Cole me déposa délicatement sur le canapé à l’opposé de Refen. J’osa le regarder et son expression était comme s’il se retrouvait offusqué par ma réponse puisqu’il leva les yeux.

— Vous en avez mis du temps, dit Chiara.

— C’est parce qu’on a beaucoup discuté il f allait qu’elle prenne l’air, dit Cole.

        J’avais envie de provoquer Refen, je ne sais pas pourquoi. Il n’avait qu’à pas commencer.

— Les promenades ça rapproche, lançais-je. Je vais aller me chercher à boire, vous voulez quelques choses ?

— Un coca-cola s’il te plait, me dit Cole.

        En partant j’entendis Tristan lancer à Refen :

— Tu devrais te calmer, les garçons commencent à s’agiter. Elle n’est pas encore totalement à toi. 

        Je n’entendis pas sa réponse mais Chiara m’avait suivi. En versant le soda dans des verres Chiara me lança :

— Alors cette nuit avec Refen ?

— Pas ici ! Ils sont juste à côté ! Et puis je peux t’en demander autant avec Tristan, répliquais-je en lui tirant la langue.

— Dans ce cas toi tu viens avec moi !

        Après avoir bu un gorgée dans mon verre, elle m’empoigna le bras et m’emmena dans sa chambre. Elle m’obligea à me mettre en maillot de bain pour qu’on aille à la piscine.

— Tu sais je ne vais pas pouvoir rester longtemps. 

— T’inquiète, tu seras rentrée pour dix-neuf heure.

        J’avais donc bien pris soin de mettre une serviette autour de moi quand nous sommes passées devant les garçons mais cela n’a pas empêché Refen de me reluquer quand je l’ai enlevé pour rentrer dans l’eau. Je me suis immédiatement mise sur un matelas gonflable. Là j’étais bien.

— Tu sais, j’ai des bases en français ?

— Sérieusement ? Le français était ma deuxième langue au lycée. Dans ce cas-là, on parle mais à une condition que ce soit en français, dis-je en me calant confortablement.

— Très bien ! Alors raconte !

— Déjà premièrement je suis toujours vierge.

— Vierge ?

        Je ne pense pas que Chiara est le même niveau que moi en français. Je lui traduisit rapidement en anglais parce que c’était plus simple. Ce qu’elle me gratifia d’un :

— Je suis rassuré alors ! Mais je sens qu’il s’est passé autre chose…

— Mais ma main ne l’est plus, chuchotais-je timidement.

— Quoi ? Je ne comprends pas ? C’est une expression française de ne plus avoir la main vierge ?

— Tu es vraiment trop nulle !, répondis-je en rigolant. Non ce que je voulais dire c’est qu’il m’a fait faire des trucs avec ma main pour lui.

— AAAAAAAAAHHHHHHHH !!!!, hurla-t-elle en se cachant le visage. Je veux en savoir plus.

— Non à moi maintenant !

        Si elle croyait qu’elle allait pouvoir s’échapper comme cela. C’est étrange mais parler sexualité avec Chiara s’était comme normal. J’aimais beaucoup la relation que j’ai avec elle. En même temps, elle faisait partie des seules filles ici avec qui je me retrouvais physiquement.

— Quand je suis venue dans ta chambre ce matin pour récupérer des affaires tu étais endormie dans les bras de Tristan.

— Oui, Tristan et moi s’est un peu compliqué mais moi aussi je suis toujours…. Comment tu dis ça déjà ?

— Vierge.

— Oui voilà, je suis toujours vierge. Disons qu’on se tourne autour tout le temps sans jamais vraiment franchir le pas. Et puis on n’est pas officiellement en couple, c’est un peu compliqué avec sa famille. Il n’a pas trop le droit de se mettre en couple.

— Tu l’aimes ?

— J’ai des sentiments pour lui mais je ne sais pas s’il en a pour moi. On n’a jamais parlé de ça ensemble. C’est comme s’il se retenait à chaque fois avec moi.

        Tout à coup un Tristan sauvage apparu au bord de la piscine en s’écriant :

— Ça vous dit que je fasse un barbecue ? 

— Tu serais un amour, répondis-je avec un grand sourire.

— Okay les gars ! C’est bon pour le barbecue !

        C’est comme s’il avait donné l’autorisation au troupeau de venir dans le pré. D’un seul coup on se faisait agressées par une multitude de garçons qui sautaient dans la piscine à la suite. Comme par hasard Tristan sauta pile à côté de ma bouée en faisant une bombe me faisant chavirer.

        Quand on remonta à la surface je ne pus m’empêcher de lui jeter de l’eau dessus :

— Tu es insupportable !, rigolais-je.

— C’est moi le petit fou de ce groupe, il faudra t’y faire, dit-il en me renvoyant l’eau dessus.

— Comment je vais faire pour remonter dessus maintenant qu’il est tout mouillé je vais glisser, dis-je en faisant la moue et en partant avec ma bouée.

        Je me dirigea alors vers les marches pour remonter sur ma bouée. De toute façon Chiara m’avait abandonné pour aller avec Tristan. J’étais heureuse de la voir amoureuse.

        Alors que je m’apprêtais à sauter sur mon matelas, je voyais bien que si je me ratais je finissais à l’eau et puis tout le monde l'avait remarqué. Ils me regardaient pour voir si j’allais finir à l’eau ou pas. Juste au moment où je sautais, Cole eu la merveilleuse idée de tirer le matelas.

        Encore une fois j’étais sous l’eau. C’est bon je boude, j’en ai marre. Eux ils devaient bien se marrer à la surface. Je décidais de rester un peu sous l’eau le temps que ça leur passe.

        Mais bon il fallait bien que je remonte prendre ma respiration, surtout que je voyais quelqu’un se rapprocher de moi à toute vitesse. Quand je sortis, je me retrouva nez à nez avec Refen.

— Tu m’as fait peur, chuchota-t-il.

— Je vous boude, dis-je en tirant la langue.

La Féline et le Loup Où les histoires vivent. Découvrez maintenant