CHAPITRE 3

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Je ne sais pas durant combien de temps ont a rouler mais de ce que je sais, entre mes plusieurs endormissement, nous nous sommes arrêter au moins trois fois.

Mes parents se sont juste arrêtés pour acheter de quoi manger avant de repartir aussi tôt.

Durant le trajet ils ont bien essayer de me faire manger mais seul la fraîcheur de l’eau en bouteille semblait passer.

Alors que j’apercevais des arbres à perte de vue et dans tout les recoins, je sentais ma douleur s’estomper. Je portais mes mains à mes joues et sentis trois gros traits en reliefs. Le pire dans tout cela c’était lorsque je passais mes doigts dessus. Mes sensations étaient devenues comme décuplés.
J’eu un mouvement de recul qui me fit m’assoir dans la voiture.

— Qu’est-ce que c’est que ça ?, m’écriais-je.

Au même moment, j’aperçus mon reflet dans le rétroviseur de la voiture. Je ne pus m’empêcher un cris de stupéfaction. Cela réveilla ma mère endormis.

Des oreilles de félins avaient poussée sur le dessus de mon crâne. Mes cheveux avaient virés au blanc tout comme mes oreilles qui était seulement tigrée de bande noire. Enfin lorsque je me regardais dans les yeux, mes beaux yeux vert avaient laissée place à deux énormes fente noire sur un fond jaune et mes deux dents pointue s’appuyer maintenant contre ma lèvre inférieure. J’ai bien crus tomber dans les pommes.

— Ma chérie, s’inquiéta ma mère, ne t’inquiète pas. Tous vas bien se passer.

— S’il te plait papa arrête la voiture je vais vomir.

Ma mère détacha sa ceinture afin de se tourner vers moi.

— Lilith, je t’en pris calme toi.

— Papa arrête la voiture !

Je me sentais soudainement étouffer entre les quatre murs de la voiture. Je devais prendre l’air.

— Lilith, dis mon père, nous ne pouvons pas nous arrêter. Nous sommes bientôt arrivées. Alors s’il te plait écoute ta mère.

Je regardais alors ma mère droit dans les yeux et une étrange colère monta en moi. J’étais comme frustrer que ma mère soutienne mon regard et que mon père ne m’écoute pas.

— Richard, nous allons avoir un problème, dit-elle en détournant le regard.

— Oui je sais je le sens, dit-il en s’engageant dans un petit chemin.

— Vous allez me dire ce qu’il se passe à la fin ?, m’écriais-je en agrippant les deux sièges de devant.

Les cachoteries avaient asse durer. Je n’en pouvais plus. C’est alors que les yeux de ma mère se sont mis à briller d’une lueur violette.

Ses yeux sondèrent mon âme, je sentis alors quelques chose s’immiscer dans mon esprit. Cette chose avait comme agripper mon sommeil pour l’attacher dans mes entrailles. L’envie de dormir déferla dans mon corps comme un feux de forêt.

Pourtant je ne devais pas m’endormir ce n’était pas le moment. Je devrais connaître la vérité sur mon cas et se qu’il se passait actuellement.

Par je ne sais quel moyen, ma contradiction me permis de rejeter ce parasite de mon esprit.

Ma mère fut alors rejeter en arrière, je compris alors que c’était elle qui essayait de m’endormir.

Dans un faux mouvement elle heurta le volant. La voiture valsa dans le ravin. Tout se passa tellement vite qu’aucun n’a pu faire quoi que ce soit. La voiture roula dans le fossé nous envoyant balader dans tous les sens.

Je fus consciente du début jusqu’à la fin. Notre course s’arrêta net par un arbre qui me fit passer au travers le par brise.

J’étais comme inerte allonger au sol. Une vive douleur au bras et au crâne s’éveilla.

— Maman ? Papa ?

Je devais voir s’il allaient bien. J’avais atterrit dans du sable puisque le bout de ma main gauche parvenait à sentir de l’eau. Du bout de doigt, je pouvais sentir l’énergie de cette eau me parcourir le corps. J’avais l’impression qu’elle était en train de me guérir.

Dès que je me sentis prête à me remettre debout je ne perdis pas de temps. Je me releva tremblante. La voiture se trouvait à 5 mètres de là où j’avais atterris.

  Je pouvais apercevoir mes parents inconscient. Je m’empressa à aller vers eux. Je devais les sortir de là, surtout qu’une odeur de fumer commencer à sortir de l’habitacle.

C’est alors que du bruit se fit entendre dans les buissons alentours. On aurait dit un énorme animal mais le bruit se propagea, ils étaient plusieurs.

Je pressa alors le pas. J’allais atteindre la voiture lorsqu’un énorme loup noir sortie de derrière un arbre.

Il était tellement gros qu’il faisait pratiquement la taille de la voiture. Il avançait tout doucement dans ma direction tandis que d’autres loups sortie de la pénombre.

Je me suis immédiatement stoppé. Est-ce que c’était de cette manière que j’allais mourir ? C’était vraiment la plus improbable des manières. Je priais tout de même pour qu’il ne touche pas à mes parents.

Le loup tourna autour de moi, je n’osais même pas le regarder. Il avançait les babines retrouçées. Les autres loups c’était arrêter formant un cercle autour de moi et la voiture. Je n’avais aucun échappatoire. Chaque patte qu’il posait par terre résonnait au plus profond de mon âme.

Alors qu’il s’arrêta pile en face de moi, je leva les yeux vers lui, il ne grognait plus, ne bougeait plus. Jamais je n’aurais imaginer ce qu’il se passa lorsque mes yeux ont rencontrés les seins. Ses immenses yeux bleus transpercèrent les miens jusqu’à mon âme. Mon cœur se mit à battre la chamade et tout mon corps me poussait vers lui. La peur avait était immédiatement remplacer par une attirance profonde. Je ne pouvais l’expliquer. Une espèce de connexion entre nous se créa. Je ne sais pas si c’est la peur qui me faisait halluciner mais je le trouvais magnifique.

Comme tout droit sortie du film que j’avais vue la veille, tandis qu’ils s’avançaient vers moi il se transforma en humain. J’eu un mouvement de recul et je tomba en arrière.

Je ne sais pas si c’est l’accident, la perte de sang, l’hallucination ou le tout mélanger mais je perdis connaissance dans ma chute.

La dernière chose que je vis fut une paire de yeux bleu transperçant, scruter mon visage ainsi que la puissance de deux bras me soulevant de terre.

La Féline et le Loup Où les histoires vivent. Découvrez maintenant