Before You

24. Provocation.

•Aïden•

Elvy commence à me chauffer en dessous de la table, putain elle fait exprès. Elle veut me mettre à bout, c'est justement pour ça que j'essaye de me contenir sinon je serais obligé de la démonter dans les prochaines minutes et c'est son dos que je vais casser, elle pose toujours sa main quand il ne faut pas, coquine qu'elle est aussi, j'essaye de retenir les gémissements qui veulent s'enfuir de ma gorge, à chaque fois qu'elle se rapproche de plus en plus de ma bite, j'avale difficilement ma salive. malgré les mots que je lui est chuchoter elle continue, en s'en fiche complètement. Elle me jette des regards remplis de désirs, elle est brûlante, je pose à mon tour ma main sur sa cuisse, je me rapproche de son intimité en mettant ma main dans sa poche de son jogging, oui elle ma piquer un de mes jogging, et celui là, les deux poches son trouées, lorsque je touche sa peau fine son souffle devient de plus en plus saccader qu'elle essaye de garder le contrôle, elle vas voir qu'elle vas perdre à son propre jeux, putain elle tien bien en plus, elle a réussir à contrôler son excitation, par contre elle se venge en descendant la braguette de mon jeans, elle enfile sa petite main dedans et elle empoigne mon sexe en plaine main, elle commence de léger vas et viens, le liquide séminal s'échappe un peux, je glousse mais je l'étouffe en avalent ma salive et en toussant, je suis gêner à l'idée que ma mère et la sienne soit juste devant nous, heureusement qu'elles prêtent pas attention, elles parlent entre elles mais ce n'est pas une raison pour se toucher comme ca à table. Je ne l'avais jamais vue comme ça, l'iris de ses yeux sont dilatées au maximum, elle me chuchote:

- Tu as envie, pas vrais ?

- Tu es une vilaine petite fille.

je secoue la tête, mais mon corps me trahis encore, ses paroles sont excitantes et autoritaire, mais elle me supplie.

- J'ai envie de te sentir.

Elle m'ordonne de la baiser la maintenant, s'en est trop, je remet en place ma braguette, je me lève en prenant mon assiette et la sienne et je la dépose dans l'évier.

- Elvy veux aller au toilette, il faut que je la porte.

Je souris devant nos mère toujours occuper à se raconter leurs vie.

- Oui, oui vas y.

Puis elle relance leurs conversation, mon sourire se fait satisfait lorsque je la regarde, Lynda elle est trop concentré sur son portable, et heureusement, je me dirige d'un pas tellement rapide, je la prends en mode "Princesse" puis nous mentons, je la ramène dans sa salle de bain qui fait aussi office de toilette, je ferme celle-ci à clés, comme ça nous allons évité de nous faire cramé.

- Elvy tu sais pas à qu'elle point je vais te démonté.

Je la dépose parterre, elle rit nerveusement. Nos lèvres se touchent et je suis pris d'un frisson familier. Mes mains s'enfoncent dans ses cheveux, je tire sa tête en arrière. Je colle mon corps au sien et je gémis à la sensation de chacune des courbes de son corps contre moi. Je me mets à genoux, j'attrape ses hanches et je la fais avancer vers moi. Mes lèvres passent sur la taille de son jogging. Je remonte son T-shirt et l'embrasse sa peau, ses muscles se tendent sous ma bouche. Je la regarde, enfonçant mes doigts dans la ceinture. Ses yeux sont fermés et elle mord sa lèvre inférieure. Mon chibre se contracte encore plus à l'idée de ce que je vais lui faire. Je baisse son pantalon sur ses cuisses, sa peau se couvre de chair de poule quand je touche ses jambes. Ses mains tirent sans pitié cheveux, je grogne et l'observe à la dévorée. Le sentiment de l'urgence me prend maintenant et je libère l'une de ses jambes que je place sur mon épaule. J'embrasse l'intérieur de sa cuisse. Sa peau est incroyablement douce.