23. Rester près de toi.

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•Elvy•

Nous voilà 2 jours plus tard, je suis toujours dans mon lit d'hôpital blanc et sincèrement j'en est plus que assez, les médecins forces a faire des analyses tout les jours mais ce n'était qu'un simple malaise, juste les regards des autres me font énormément penser lorsque j'ai été harceler et je veux surtout pas vivre ce genre de chose, au fond je suis une fille forte remplis de caractères et surtout une carapace avec les autres que je n'arrive pas à briser, certes Aïden a réussi à la casser mais pas encore totalement. Lui il est toujours avec moi, il n'a pas bouger depuis le jour ou un ma emmener à l'hôpital, son bras est constamment en contacte avec ma peau froide, sa tête est toujours remplis d'inquiétude, son regard se fait toujours aussi doux avec moi, il est au petit soin, à chaque fois il me demande si j'ai faim ou si j'ai soif, la noir dernière il c'était faufiler dans le lit, avec moi, malgré les branchements qui rentre dans ma peau et traversant me veines, il a été doux, calme, il m'a apaisé. Les analyses sont plutôt bonne mais le malaise que j'ai fais peux à tout moment revenir alors il faut que je fasse vraiment attention, nos entraînement de chants n'avance pas plus qu'au début et c'est normal toute les choses que nous avions fait ou même nous sommes partie en vacances et nous avons pas forcément penser à ça mais cette semaine on s'y met à fond et puis Noël arrive vraiment à grand pas, j'espère me remettre sur pied, pour voir la magie de Noël. Passer les fêtes a côté de lui est une chance, je n'aurais jamais cru que je tomberais amoureuse d'un garçon aussi éloigner de mon type d'homme. Nous sommes un beau matin un peux comme les autres, des tendres bisous viennent se poser sur ma joue rougeâtre, je ferme les yeux et mors ma lèvre inférieure pour éviter d'émettre un petit gémissement.

- Tu m'avais manqué.

Il sourit contre ma peau et je sens son souffle chaud dans le creux de mon cou.

- Pourtant tu es rester ici.

- Oui mais te voir dans un état aussi grave, cela m'a fais beaucoup mal.

- Tu peux voir à présent que je vais bien.

- Même si tu vas bien tu ne ferras rien, tu as besoin de repos.

- Tu ne pense pas que j'en est assez eu ?

- Pas du tout.

Ses yeux se plonge dans mon regard et il hausse un sourcil.

- Bon j'avoue qu'il me faut du repos, mais dans tout les cas dès que je serais sur pied je ne m'arrêterais plus.

- Ah beh tu vas même me monter dessus tellement tu vas avoir faim.

Il a pas tort.

- Bien sûr que non pervers.

- Madame Sanchez est pas entrain de me mentir ?

Il sourit à sa connerie.

- Non, non et non.

- Allez avoue le, que mon corps te manque.

- C'est vrais que tu m'a manqué.

J'esquive la question.

- Non Elvy, je t'ai demandé si mon corps me manquaient, et mes mouvement de hanche contre les tiennes.

Je lui jette une petit baffe sur sa joue devenu rosâtre.

Before YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant