40. Jalousie déstructrice.

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•Aïden•

Hailey arrive, tête basse, bras croisé. Elle s'arrête devant moi, elle lève son regard vers le miens, ses pupilles sont légèrement mouillées, surement à des anciennes larmes qu'elle avait déjà versées, des cernes s'y présente aussi, avant qu'elle ouvre sa bouche elle prend ses cheveux entre ses doigts.

- Salut Aïden.

- Coucou.

Je suis distant et froid, je ne veut pas paraitre comme si j'étais un de ses amies ou même son petit amie, parce que de un je ne l'aime pas elle mais c'est Elvy.

- Ne passe pas par quatre chemins, je n'ai pas de temps à te consacrer.

- Très bien, si c'est se que tu veux, je respecte. Elle s'éclaircie la voix en toussant. Depuis que tu t'es remis avec Elvy, ca ne m'enchante pas trop, depuis ce que nous avons fait pendant la soirée de tes potes ma complètement désorienté.

- Et ducoup ? Je lève un sourcil sachant pas où elle veut en venir.

- Je crois. Son regard passe de mes baskets à mes yeux. Que je suis tombé amoureuse de toi.

- Tu sais très bien et je l'ai dit avant qu'on le fasse que je voulais pas développer des sentiments pour toi, je suis amoureux de Elvy et c'est que elle qui compte pour moi.

- Elle a quoi de plus que moi ? Hein ? Je ne pense pas qu'elle soit plus mature que je le suis et tout se que tu m'avais raconté par rapport a ce qu'elle ta fait c'est juste honteux ! tu es retombé dans les bras d'une fille qui est complètement gamine dans sa tête.

- Tu ne dois pas la dénigrer de cette façon, éloigne toi de moi, garde tes distance parce que si tu oses venir vers moi ou vers elle pour quelconque raison tu payeras les conséquences, tu verras, ca vas te faire tout drôle d'être dans une situation plutôt pitoyable par moi surtout.

Elle s'approche de moi, elle se met sur la pointe des pieds, arrivé à côté de mon oreille je sens le souffle de sa bouche de crasseuse.

- Tu ne le ferras pas, je vais t'y empêcher, pense le ou pas mais je suis bien plus maligne que tu ne le penses, si je tombe, ta sœur tombera aussi, réfléchis beau gosse.

Alors c'est de ça qu'elle me parlait Lynda, elle ne peut pas arrêter de leurs parler par rapport à ce fameux secret dont elle ne veux me le partager. Sa bouche touche la peau de mon cou, avec désire elle embrasse celui ci.

- Dépêche toi de partir loin de moi.

Le regard d'Elvy, détruite par ce qu'elle a sans doute vue, mon estomac se contracte jusqu'à en avoir mal, ses sourcils sont froncés, d'une tristesse incontrôlable, je sais ce qu'elle ressent, je le ressent aussi, mon regard est bloqué sur le siens en lui montrant que je dit « non » avec la tête. Je la repousse. Elvy cours, les mains rassembler sur son visage.

- Et voila ce que je peux faire aussi.

Je vois de comprendre qu'elle a fait tout ça pour l'éloigner de moi, un piège qu'elle a formé pour avoir une sorte de satisfaction, elle doit surement se dire "Si je ne l'ai pas, elle ne l'aura pas non plu".

- Je vais te détruire, et tu vas voir à qu'elle point tu vas souffrir à ton tour.

Je cours le plus vite possible pour rejoindre mes potes, James est avec eux.

- Mec, tu as fais quoi ? Je le pousse.

- Aïden, je n'ai rien fait.

Je le chope par le cou, ma mâchoire se sers.

- Cette pute viens de détruire la chose qui me restais !

- Je n'ai aucune idée je ne suis pas dedans.

- Si tu es dedans, c'est toi qui m'a dit quelle voulait me voir, et tu crois que c'étais pour me dire que c'étais bien finis, qu'elle ne pensais plus à moi ? Je le colle contre la grille du lycée.

- Calme toi mec. Noah essaye de me séparer de lui.

- Tu veux y passer toi aussi ?

- Non mec mais on peux essayer d'aller lui parler ? Propose t'il.

- Personne va aller lui parler c'est bien clair ? sinon je vais casser toutes vos gueules.

j'ai l'impression d'être aussi fragile qu'un château de sable, qu'un bateau au milieux d'un océan prêt a se noyer parce que sa coque est abimé. Tu avais fais de mon monde un étrange sentiment de bien être. Tu m'as appris à ma battre, tel un guerrier seule contre une armer toute entière. J'aimerais pouvoir rattraper le temps, tourner les aiguilles dans le sens inverse pour te rappeler se que la présence de l'autre signifiait.

***

•Elvy•

23H15: incruster dans une soirée étudiante.

Assise au sol dans la salle de bain, ma tête qui tourne, les gens qui s'amuse dans les chambre d'a côté, les autres qui s'embrassent à se cogner contre le mur se désirant. Je pense, un verre de vodka posée parterre, je pleure, voila des mois qu'on se déchire mutuellement, que le son monte quand la colère nait, que l'on se déteste et que l'on espère. quand je suis seule j'arpente les couloir de la maison, en quête de bon souvenir, dans laquelle nos sourire se dessinent. les secondes ne guérira pas nos blessures . je reprend une gorgé de cette boisson, elle me brûle la gorge mais c'est la seule à réellement m'aider lorsque je ne suis pas bien. Nous ne somme pas assez courageux pour marquer le point final de notre histoire, mais pourquoi ? A t'on peur d'une vie alors que l'autre n'y est plus ? Préférions souffrir au lieux de s'imaginer seule contre les facettes d'une vie monstrueuse. Je compose, j'écris, j'imagine, je pense, comme une chanteuse qui a vécu un amour aussi destructible. je ne sais pas à quoi on s'accroche, nous étions assis sur le canapé, entrain de nous regarder droit dans les yeux, le désire qui nait dans nos regard quand celui ci devenais sensuel, un geste si familier lorsque qu'il plaçait ma mèche derrière mon oreille cela étais inévitable pour moi, une sorte de vaccin cotre une épidémie qui avait fait place avant même qu'il fasse se geste aussi respectueux et doux. Je reprends ma troisième gorger de mon verre, cela n'est pas suffisant à mon corps de lâcher prise complètement. J'en est fait des efforts, par centaine mais les choses ne changent pas, j'ai fais une guerre contre moi même, à me demander se que je valais réellement, se que je méritais, j'ai été trop longtemps dirigée par la colère. Je ne suis plus celle que tu veux, celle qui souriait toujours devant tout le monde, celle qui aurait tout fait pour toi, celle qui s'amusait sans boire de l'alcool fort jusqu'à en être bourré. Prend notre livre et jette le, le plus loin possible. Prend notre livre et jette le, le plus loin possible. Je reprend mon verre dans la main une quatrième fois, cette fois-ci je l'avale d'une traite, je suis complètement bourré, ivre par cette boisson, je me sens a l'aise, libre de mes sentiments, libre dans ma tête. soudainement la porte s'ouvre, une fille y rentre, elle me vois complètement déchiré parterre, les yeux rougeâtre, à moitié fermé. Elle est vêtu d'une robe noir, un un gros décolleter, des cheveux noir pétant, et de toute sorte de piercing sur ses oreilles.

- Salut, tout vas bien ?

- HEY ! Crié-je.

- T'es complètement défoncé meuf.

- Mais non regarde je vais plutôt bien.

- Non pas du tout, on se connait pas mais ca, tu le fais pas à moi.

- Je pensais que tu étais comme toute les autres à s'en foutre de voir une fille par terre complètement ivre.

- Non je m'en fou pas, je vais ta sortir de la sinon les autre vont profité de toi et je n'ai pas du tout l'envie.

Je m'endors pendant qu'elle voit comment me porter jusqu'à chez elle, mes paupière se faisait lourde.

Before YouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant