Chapitre 45

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Point de vue de Dorian

J'attrapa mon téléphone rapidement.

L'enquêteur me téléphona au même moment.

"Détective 1 : M. FERGUSEN c'est une urgence.

Moi : (agacé) Clive vous êtes en retard!

Détective 1 : Monsieur... L'affaire est vraiment très sensible et nous avons pris toutes les dispositions nécessaires pour que tout se déroule comme vous l'aviez prévu."

Je me levai précipitamment et partis récupérer des documents dans mon bureau.

"Moi : (très sérieux) Où êtes-vous?

Détective 1 : Je suis déjà en bas.

Moi : Très bien. Je descends tout de suite."

Et je raccrochai.

Alors que je retournais au petit salon pour parler rapidement à Lylya, ma mère fit son apparition.

"Mme FERGUSEN : C'est une véritable catastrophe!!!!!

Oû est mon... Dorian chéri!!!!

Qu'est ce qui se passe????"

Mon père vint à son tour.

"M. FERGUSEN : (énervé) Des têtes vont tomber!!! C'est inadmissible!!!! Comment Clive a-t-il pu laisser passer ce genre de choses?

Moi : (très sérieux) Papa. Maman. Tout est sous contrôle. Gardez votre calme s'il vous plaît.

Mme FERGUSEN : (affolée) Tout est sous contrôle tu dis?????? Tu en es sûr???

M. FERGUSEN : (énervé) Ashton est traîné dans la boue dans les médias, en éclaboussant au passage nos sociétés! C'est inacceptable!!! Comment as-tu pu laisser passer cela fils??!!!!!!!!"

Je choisis de les ignorer et je me tournai vers ma fiancée.

"Moi : (calmement): Mon cœur, nous devons partir le plus vite possible. Une voiture nous attend en bas.

Lylya : D'accord."

Elle se leva aussitôt et me suivit jusqu'au grand salon principal.

Mes parents nous suivirent tant bien que mal.

"M. FERGUSEN : (énervé) Qu'est ce que ça veut dire Dorian?????"

Je me décidai enfin à lui répondre pendant que nous enfilions nos manteaux.

"Moi : L'un de nos avocats va te rappeler dans quelques minutes. Nous avons déjà déposé une plainte contre ce journaliste et la chaîne de télévision qui a diffusé ces absurdités.

Mme FERGUSEN (mettant la main sur son cœur) C'est bien mon fils.

M. FERGUSEN : (énervé) J'attends des excuses publiques et une compensation financière pour le préjudice subi!!! C'est intolérable!!!! Comment as-tu pu laisser cela sortir??????

Moi : (calmement) C'est volontaire. Je laisse le soin à notre avocat de tout t'expliquer. Je dois vraiment y aller. Ne nous attendez pas."

Je saisis la main de Lylya et pressai le pas vers l'ascenseur.

"Moi : (très sérieux - sans me retourner) Et ne m'appelez pas. Je ne répondrais pas."

Et les portes de l'ascenseur se refermèrent.

Je laissai ainsi ma mère un tant soit peu soulagée alors que mon père eut l'air véritablement outragé.

Il était temps pour lui de me laisser gérer les choses à ma manière.

NOUS NE FORMERONS QU'UNOù les histoires vivent. Découvrez maintenant