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La jeune femme regardait au loin, se retenant de pleurer. Mais la douleur et son passé étaient trop intense, alors elle ne pouvait plus retenir ses larmes.
C'est au moment où le bâtiment d'Osore explosa, qu'une larme s'échappe de son œil. Dans les yeux des deux personnes sur ce toit, se trouvait de la douleur. Le reflet de l'explosion aussi était affiché.
« Et c'est comme ça que je suis devenue moi » dit Ikari avec un faux sourire sur son visage qui reflétait tout son mal-être.
Ils se relevaient tous les deux et Ikari essuyait la poussière qui se trouvait sur sa robe, Sanzu lui prit la main tendrement et serrait fort cette dernière.
L'homme aux cheveux roses se positionnait enface d'Ikari et approchait son visage de l'oreille de cette dernière. Elle sentait le souffle chaud de Sanzu contre son cou avant qu'il ne dise :
« T'es devenue une femme magnifique, je peux te l'assurer, elle serait fière de toi, un bijoux aussi précieux que toi » il avait fallu d'une seule phrase pour que la jeune femme ressente des palpitations.
Son corps entier avait une drôle de sensation, une sensation, sentiment et émotion qu'elle ne connaissait pas encore. Ce n'était pas la drogue, et elle le savait.
Ils descendaient donc les escaliers main dans la main puis se dirigeaient vers la voiture. Mais ils n'étaient pas aptes à conduire, et encore moins Sanzu qu'Ikari, alors c'est elle qui prit le volant.
Malgré tout elle conduisait prudemment avec de la musique et Sanzu qui chantonnait. Quelques fois, il lui lançait des regards déstabilisant. Au bout de plusieurs minutes de trajet, ils étaient arrivés à la Maison du Bonten.
Ikari garait la voiture dans le garage avant d'y sortir suivie de Sanzu. Le rosé lui prit la main de nouveau et cette fois ci, montait les marches en direction se sa chambre.
L'homme aux cheveux roses fermait la porte derrière lui, une fois qu'Ikari était elle aussi entrée. Il s'approchait dangereusement d'elle avant de saisir doucement sa mâchoire.
« J'en pouvais plus » dit il avant d'embrasser la jeune femme passionnément. Ses deux mains étaient sur les joues de la femme aux cheveux noirs qui ne refusait pas le baiser.
Elle passait ses mains autour de la nuque de Sanzu qui quant à lui, déplaçait ses mains tout le long du corps d'Ikari. Ils s'embrassaient à ne plus pouvoir respirer puis se posaient brusquement sur lit.
Sanzu était à califourchon sur la jeune femme et défaisait peu à peu la magnifique robe de cette dernière afin de laisser apparaître de plus en plus les jolies parcelles de son corps.
