Visage caché

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Ils continuent de se lancer des piques, enfin Mahmoud continue puisque Haidar lui ne fait que l'écouter.

(Je sors prendre un taxi pour aller voir Asmah à l'hôpital🙄🙄🙄🙄 vous devez cotiser pour m'acheter une voiture pour mes allers retours).
Asmah est couchée sur un lit entrain de se reposer, Kareem la regarde seulement et se met à penser.

Kareem : les femmes, lorsqu'elles dorment vous allez jurer des anges déguisés. Mais en réalité ce sont plutôt des monstres déguisés oui !

Son portable commence à sonner, ce qui réveille Asmah. Elle n'arrive pas à bouger car tout le corps lui fait mal, il ne l'a pas raté en tout cas. Elle reste alors silencieuse pendant qu'il regarde la personne qui l'appelle. Ce n'est personne d'autre que sa belle mère.

La maman de Asmah, oummah. Il prend quelques secondes avant de répondre.

Oummah : salam aleykum, mon fils comment vas-tu ?

Kareem : aleykum salam oummah, je vais bien alhamdulillah et abba comment vont-ils ?

Oummah : il va bien. Je me demande où est passée ta femme, je l'appelle l'appelle ne répond pas et ses sœurs sont parties chez elle lui apporter le petit déjeuner mais vous n'y êtes pas tous les deux ?

Il regarde Asmah de travers, elle ferme les yeux car elle a entendu la voix de sa mère. Hum petit déjeuner, elle ne peut pas cuisiner d'elle même. Foutaise oh.

Oummah : tu es là ?

Kareem : oui oummah, elle ne se sentait pas bien. Nous sommes actuellement à l'hôpital. Je vous la passe !

Il la met en attente et regarde sa tendre épouse.

Kareem : si tu oses lui dire que je t'ai touché wallahi je te tue.

Elle le regarde perplexe avant d'aquiescer. Pourquoi il lui fait ça elle n'arrive pas à comprendre. Il lui passe le téléphone et elle stope le mode attente avec des larmes aux yeux avant de porter le portable à son oreille.

Asmah : oummah bonjour.

Oummah : ah ma fille, je te croyais morte. Ça va ? Pourtant hier lorsque tu es partie d'ici tu n'avais pas de fièvre.

Asmah regarde son époux qui aussi la regarde évidement, elle eut envie de tout dire à sa mère mais lu dans ses yeux des menaces qu'elles ne saurai définir.

Asmah : oui, je crois que c'est un début de palu. Ça va maintenant, et abba ?

Ne sachant pourquoi elle a posé vraiment la question, car elle n'est pas de ce genre qui demande après lui chez sa mère. C'est soit elle l'appelle ou ne demande juste pas.

Oummah : il est sorti. Si ça va alors je vais dire à tes sœurs de vous attendre ?

Asmah : non non, dit leur de partir. D'ici on va aller chez ses parents pour les saluer !

Oummah est surprise, mais se dit que c'est agréable et normale cela.

Oummah : d'accord pas de problème. Je les appelle tout de suite, bonne guérison et surtout tu me les salues tes beaux parents.