32( non corrigé, flemme )

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Assalam alaikum, bonsoir mes sœurs. Nous sommes retour et avec force on espère. Vous allez toutes bien j'espère ?

Bien, je ne sais si tu me lis ou si quelqu'un la connaît mais je cherche une amie du Nom de Aishatou. Elle est mariée et a deux enfants, son Mari s'appelle Maïga. De grâce, si tu me lis ou si l'une d'entre vous la connais pitié aidez-moi à la retrouver. J'ai perdu son contact depuis plus de 8 mois comme ça, j'ai usé de tous les moyens possible pour avoir le numéro, je suis jusqu'à partir écrire à toute les Aishatou de mes contacts mais rien. J'ai oublié sa nationalité mais si vous la connaissez ou si tu me lis Aishatou fais-moi signe de vie s'il te plaît ! Merci.

Veuillez relire la dernière partie avant de continuer, moi même j'ai fait pareille pour comprendre. Bonne lecture !

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Ils se dirigent vers la chambre de Batool, Haidar la regarde respirer grâce aux nombreux files qui l'aident. Le cœur lourd il mène son regard vers le docteur qui se dirige vers eux avec des papiers en main.

Docteur : bonjour les enfants, vous allez bien j'espère ?

Mahmud : bien alhamdulillah mon oncle et la fatigue ?

Docteur : oh avec le temps, on s'y habitue.

Haidar : comment va ma fem......comment va t-elle ?

Docteur : elle réagit bien si on fait le bilan, elle est une battante et aussi bornée. Elle va s'en sortir, dans quelques heures elle va se réveiller. Vous devez aller vous reposer et venir plutard.

Haidar : n...

Mahmud : d'accord mon oncle in shaa Allah, on va revenir plutard.

Haidar le regarde en fronçant les sourcils, mais qu'est-ce qu'il fou ?
Mahmud pousse Haidar vers la sortie l'hôpital où est garée sa voiture.

Mahmud : on ne discute pas les ordres des anciens, ils savent et voient ce que nous ne voyons ni ne savons pas. Aller on y va, je te dépose à la maison puis je pars me préparer aller au bureau pour quelques attouchements puis je te rejoins à l'hôpital.

Mahmud entend son ami grogner mais est fièr car celui-ci ne le contredit pas et ne refuse pas de le suivre. Ils entrent dans la voiture et direction la maison des Muhammad Maï Goro.

Le trajet fut des plus silencieux avec la lecture du coran de Cheikh Saad Al-Ghamdi qui se fait entendre avec douceur. Haidar a laissé sa voiture à l'hôpital pour profiter d'un repos, il se couche doucement sur son siège et ferme les yeux ne sachant quoi penser il suit la lecture du coran de la sourate Al-Kahf ( la caverne, l'une de mes préférée🩵🤍 ).

Paix, sérénité, douceur que procure cette lecture seul Dieu le sait. Il se sent apaiser et en accord avec lui même. Étant donné que le jour n'est pas encore levé, les routes sont presque vides de vie. Alors ils arrivent à la maison 20 minutes après, Haidar regarde sa montre et il n'est que 06h23.

Il regarde son ami qui lui hoche seulement la tête.

Mahmud : je vais te rejoindre, je pars seulement me laver et partir au bureau régler un deux trucs et je reviens avec les parents.

Haidar : non tu n'as pas besoin d'amener les parents à l'hôpital, tu sais que les âgés n'aiment pas l'hôpital.

Mahmud : lalalalalalala je ne t'entends pas, parles à ma barbeuhhhhhh.

Haidar : Gamin va, biensur que tu ne m'entends pas. Aller j'y vais, à ton retour. Surtout conduis doucement pour ne pas abîmer la voiture s'il te plaît.

Mahmud : l'enfoiré, tu ne veux juste pas me dire de prendre soin de moi. Vas-y degages de la voiture, tu ressembles à un mort vivant même ! À toute mon frère.

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⏰ Dernière mise à jour : May 05 ⏰

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