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Assalam alaikum, bonjour/bonsoir. Comment allez-vous ? Bien j'espère ?
Hmmm, alors je voulais vous dire que je suis vraiment heureuse de vos vœux de réussite à mon égard pour mes examens. Et aussi que les résultats sont tombés et que je suis ADMISE AVEC MENTION Alhamdulillah. Merci beaucoup, que Dieu vous rend vos du'as au centuple et accorde des bons résultats à ceux qui vont présenter aux différents examens cette année et les autres à venir, ceux qui ont déjà réussi bonne suite à vous que Dieu nous guide. Merci beaucoup.

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Abba les laisse partant on ne sait où, Haidar s'assoit près d'elle la regardant.

Haidar : comme ça moi on me fait pas de la bouillie ?

Batool : affuwan, je ne sais pas que tu aimes ça.

Haidar : est-ce que tu m'as demandé ce que j'aime ou pas ?

Dit-il en boudant et en croisant les bras sur la poitrine. Batool le regarde et se contient de rire au risque de n'augmenter sur ça. Elle se lève et tient debout tant ses oreilles en guise de demande de pardon. Il la regarde et ne pu s'empêcher de rire, il lui ouvre ensuite les bras et elle se laisse tomber de dans sentant le merveilleux parfum de son frère, son homme, son mari.

Les deux jeunes personnes rient de bon coeur alors que Haidar commence à chatouiller Batool qui essaie de se retirer de ses bras lorsqu'ils entendent un grand THUSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSS derrière eux. Ils s'arrêtent et regardent la personne et c'est............

Haidar fronce les sourcils et enfouie le visage dans le cou de sa femme comme pour dire *je n'ai rien à foutre de ta gueule*.

La honte que Batool eut, essaie de se lever des bras de Haidar mais apparemment monsieur n'est pas du même avis qu'elle. Asmah finit de rentrer dans le salon et se dirige vers eux avec des regards menaçant, Batool réussi tant bien que mal de se lever et se tient debout avec la tête baissée comme si on l'a attrapé entrain de voler.

Batool : aunty, ce n'est pas.....

Asmah : ce que je crois ? Oh que si c'est ce que je crois. Et bien pire, tu joues à la pute maintenant ? Tu as toujours joué la sainte ni touche oh derrière se cache une pute.

Les yeux de Batool se remplissent de larmes, une pute elle ? Non. Elle eut l'envie ardent de pleurer mais se retient. Haidar les regarde et hoche négativement la tête. Asmah ordonne avec autorité à Batool d'aller lui apporter de l'eau, celle-ci se précipite hors du salon pour chercher le verre d'eau. Une fois dehors elle éclate en sanglots et se blottit contre le mur des étages pour descendre, elle essaie d'étouffer les sanglots mais en vain.

Asmah se dirige avec une élégance vers Haidar, au moment de poser sa main sur celui-ci. Avec une telle rapidité et agressivité il tient sa main et la dégage. Elle essaie encore de le toucher avec l'autre main mais même effet, elle commence à s'énerver mais se retient quand même. Elle sourit et essaie une autre approche et soulevant la petite robe qu'elle porte montrant clairement ses cuisses. Haidar ferme les yeux d'horreur.

Il se lève pour sortir mais elle le prend dans ses bras, il la poussa alors avec une force qui la fait tomber près de la table basse. Ses yeux se remplissent de larmes chaudes qui coulent sur ses joues, jamais un homme ne l'a repoussé. À la norme c'est elle qui repousse les hommes et non le contraire. Elle se lève et se dirige rapidement devant lui, lui bloquant ainsi la sortie. Il se tient debout et levé un sourcil du genre *tu veux quoi ?*.

Asmah : sniff ..... pourquoi tu m'évites ? Ne suis-je pas plus belle qu'elle ? Qu'est-ce qu'elle a et que je n'ai pas ? Je t'aime moi Aliyu, je t'aime et je suis prête à tout faire pour toi.

Haidar sourit et met les mains dans les poches de son pantalon, analysant chaque mot et Asmah. Elle est sérieuse en plus.

Haidar : tu as juste de la chance que je ne porte pas la main sur une femme, sinon j'allais t'amocher comme pas possible. Sur ce dégage de mon chemin ! Maintenant !

Visage cachéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant