Mon petit caillou rouge (Eijiro Kirishima X Female Reader)

Lemon 🍋

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Voilà le lemon que je vous avais promis dans l'épilogue ! J'espère qu'il vous plaira... Je n'ai pas vraiment l'habitude d'en écrire donc dites moi si vous avez des conseils pour l'améliorer !

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Mon dos heurta délicatement le matelas tandis que Kirishima, au dessus de moi, continuait de m'embrasser avec la même fougue. Je sentis ses mains, jusque là posées sagement sur ma taille, remonter le long de mes côtes jusqu'à trouver ma poitrine qu'il malaxa à travers le tissus fin de ma nuisette. Ce contact me fit frémir et je ne pus retenir un gémissement, étouffé par notre baiser qui ne semblait pas vouloir prendre fin. Entendant ce petit cri, Eijiro s'éloigna de mes lèvres pour me contempler un instant. Son regard ne m'avait jamais paru aussi enflammé qu'à l'instanté et je le vis se mordre la lèvre alors qu'il me dit avec une voix que le désir faisait dérailler :

-Mon Dieu (T/P) tu es superbe. J'ai tellement de chance de t'avoir.

Délicatement, l'une de ses mains écarta le décolleté de mon vêtement, exposant ma poitrine à son regard avide. Sans perdre de temps, alors que sa main gauche continuait de pétrir mon sein droit, sa bouche rendit mon téton captif de ses dents pointues. La sensation de sa langue contre mon petit bout de chaire me fit cambrer le dos et gémir de plus belle. Je le sentis sourire contre la peau nue de mon sein tandis qu'il continuait à faire rouler le bout de celui-ci entre ses lèvres. Ma main gauche se perdit dans ses cheveux, caressant son cuir chevelu, tandis que la droite descendit le long de son dos jusqu'au bout de son tee-shirt que je lui retirai bientôt, le faisant voler dans la pièce.

-Je te trouve bien pressée tout à coup mon ange. Me taquina Kirishima en me regardant avec un regard provocateur.

-Tais-toi... Dis-je gênée en tournant ma tête sur le coté pour échapper à son regard si hypnotisant.

-Non... Regarde-moi... Me demanda-t-il en attrapant le bout de mon menton pour que je lui fasse à nouveau face. Je veux voir sur ton visage l'effet que je te fais.

Ces mots me firent rougir tandis qu'il attrapa à son tour le bord de ma nuisette, me laissant en culotte sous lui. Il se redressa un instant pour admirer mon corps, cessant tout mouvement. Cela me fit extrêmement peur et alors que je pensais que peut-être, chez moi, quelque chose était en train de l'écœurer, il murmura avec une voix rauque un petit : "tellement parfaite putain" qui me fit chavirer. Il posa ses mains à nouveau sur mes seins tandis que ses lèvres se posaient avidement sur mon cou, l'embrassant et le mordillant, laissant partout, des traces violacées de son passage. Il descendit jusqu'à mes clavicules qu'il lêcha sur toute leur longueur, me faisant pousser un petit soupir de satisfaction. Ses mains qui avaient continué de malaxer mes seins, descendirent lentement le long de mes côtes, épousant la forme de ma taille puis carressant ensuite délicieusement mon ventre du bout des doigts avant de s'enfoncer délicatement sous l'élastique de ma culotte. Ce nouveau contact avec sa main chaude me fit à nouveau me cambrer et gémir son nom avec une voix qui fit grossir la bosse encore contenue dans son pantalon et qui reposait maintenant sur ma cuisse. Impatiente, je posai à mon tour mes mains encore froides contre son torse bouillant, retraçant du bout des doigts le creux de chacun de ses muscles. A son tour, il gémit doucement mon nom, redressant son visage de mon cou pour croiser mon regard. Une main toujours posée sur ses abdominaux, je posai l'autre sur sa nuque, l'attirant plus près de moi pour l'embrasser passionnément, avant des descendre pour mordiller son cou, puis ses épaules, suçotant sa peau centimètres par centimètres. Sa main, toujours posée sous le tissus fin de ma culotte, commença à s'agiter un peu plus vite contre ma fente, me faisant gémir de nouveau. Délicatement, Eijiro inséra un doigt à l'intérieur, le faisant bouger à un rythme lent et doux pour m'habituer à cette nouvelle présence. Pour garder contenance, je mordis un peu plus fort son épaule, le faisant pousser un cri presque animal qui résonna dans ma chambre vide. Ne voulant pas le laisser en reste, je laissai descendre doucement ma main de son abdomen jusqu'à son entrejambe gonflé. A nouveau, un gémissement rauque lui échappa tandis qu'il continuait ses vas et viens doux en moi. Impatiente d'en découvrir plus, je commença à faire descendre le pantalon et le boxer de Kirishima pour qu'ils rejoignent son tee-shirt et ma nuisette sur la plancher inégal de la chambre. Je regardai quelques secondes l'objet de mon désir. Je ne m'attendait vraiment pas à quelque chose d'aussi... Gros.... Sentant mon appréhension, Kirishima me regarda avec un petit sourire doux, carressant ma joue de bout des doigts.

-Tout va bien mon cœur ? Tu es sûre de vouloir aller jusqu'au bout ?

-Oui... Dis-je en le regardant avec un petit sourire. Oui, j'en ai envie.

Il m'embrassa à nouveau, reprenant ses mouvements dans ma culotte qu'il avait arrêté en sentant mon changement d'humeur. Intimidée, je posai délicatement ma main autour de son entrejambe, exerçant une légère pression sur celui-ci, faisant s'enfoncer les hanches de Kirishima dans ma direction alors qu'il retenait un hoquet de surprise. Subitement, il entra en moi un deuxième doigt, me faisant gémir de plaisir tandis qu'il commençait des mouvements de ciseaux à l'intérieur. Ma main se contracta à cause du plaisir que je ressentai au contact de ses doigts, le faisant gémir à son tour. Pressé, il finit par retirer mon dernier vêtement avec une rapidité déconcertante.

-E-Est-ce qu'on peut... Y aller..? Me demanda-t-il difficilement alors que l'envie déformait le son de sa voix.

-Oui... Soupirai-je doucement en sentant un nœud étrange se former dans mon abdomen.

Kirishima retira un instant ses doigt avant de placer à mon entrée son entrejambe, préalablement recouvert d'un préservatif qu'il avait amené de sa chambre. Il caressa doucement l'ouverture de mes plis avec le bout de son engin pour me préparer à ce qui allait suivre avant de me demander une dernière fois :

-Tu es sûre ?

-Oui! Hurlai-je, ne pouvant plus contenir mon envie.

Alors, avec douceur, il me pénétra avant de rester quelques minutes immobile pour m'habituer à sa présence. Un petit cri douloureux s'échappa de mes lèvres alors qu'il venait d'entrer. Il me regarda, inquiet, avant de caresser du bout du pouce ma joue et de me murmurer doucement :

-Tout va bien... Prends ton temps...

Après quelques minutes, la douleur s'effaça, laissant place à un sentiment beaucoup plus agréable dans mon ventre encore noué. Pour inviter Eijiro à commencer à bouger, je déplaça légèrement mes hanches contre les siennes avec un petit soupir impatient. Il attrapa fermement mes hanches avant de me demander :

-Tu es sûre d'être prête ?

-Oui... Vas-y... Dis-je en luttant contre mes gémissements.

Mon petit ami commença alors doucement ses vas et viens. Il imposa tout d'abord un rythme très lent qui me permis de prendre doucement le pli et de m'habituer à ce nouveau plaisir qui me consumait de l'intérieur. Au fur et à mesure du temps, alors que mes gémissements devenaient de plus en plus incontrôlables, Kirishima commença doucement à accélérer le rythme, allant de plus en plus profondément en moi, jusqu'à toucher un point sensible qui me fit hurler son prénom. Il continua à marteler cet endroit qui me faisait tant crier, jurant dans sa barbe et lâchant des gémissements de plus en plus forts. Soudain, je sentis le nœud qui s'était formé à l'intérieur commencer à se rompre petit à petit tandis que les coups de mon petit ami se faisaient de plus en plus anarchiques et rapides.

-Kiri... Je vais....

-Je sais... Moi aussi.... Me coupa-t-il en continuant ses vas et viens brutaux.

À la seconde où il eut fini sa phrase, le noeud explosa, et je senti mes murs se resserrer. Eijiro ne tarda pas à me rejoindre au sommet de notre extase, jouissant dans le plastique sur lequel j'étais moi même en train de jouir.
Kirishima arrêta alors ses mouvements, se laissant tomber sur ma poitrine et nichant son visage dans mon cou où il respira avidement l'odeur de mon parfum.

-C'était merveilleux mon ange... Me dit-il en me serrant dans ses bras. Est-ce que ça t'a plu ? J'ai voulu bien faire les choses mais peut-être que...

-Tout était parfait Eijiro. Le coupai-je en prenant son visage en coupe pour l'entraîner dans un énième baiser.

Il me rendit mon baiser avec toute la douceur du monde, souriant de bonheur sous mes lèvres. Lorsque nous mîmes fin à notre baiser, Kirishima me serra dans ses bras, faisant basculer ma tête contre son torse. Il remonta la couverture et m'embrassa sur le sommet du crâne alors que le sommeil commençait déjà à me tirer dans les bras de Morphée. Je m'endormis donc assez vite, la tête blottie sur la poitrine chaude de Kirishima dont le souffle me berçait.

-Je t'aime mon ange... Je t'aimerais toujours... Merci d'être avec moi... Me dit-il en chuchotant sans que je puisse l'entendre, carressant mes cheveux jusqu'à ce qu'il s'endorme à son tour.