La fiancée du Duc {En réécriture/correction}

💧Sorry I love you💧

Attention scène osée entre les personnages. Bon faut dire que c'est la première fois d'Anabeth, alors cela ne durera pas si longtemps.
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- Maintenant, nous sommes libre des contraintes de l'église. Quittons cette fête vous voulez bien ?

- Ils vont se rendre contre de notre départ.

Les mariés regardèrent les convives danser avec leur partenaire. Un sourire apparut sur les lèvres de Guillaume.

- Je suis Duc à présent. Je fais ce que je veux.

Il tendit son bras à sa femme. Elle hésita un moment, mais l'accepta. Guillaume se dirigea plus loin du bal organisé. Arrivé au seille de la porte, il prit sa femme dans ses bras, tel le voulait la coutume. Guillaume ouvrit la porte et accourut à sa chambre. Il déposa sa femme sur le lit et se coucha à ses côtés.

- Vous le voulez ?

- De quoi ?

- Commettre l'acte de la lune de miel, le péché si irrésistible que nous avons frôlé de justesse.

- Comment cela fonctionne ?

Guillaume sourit en voyant l'innocence de sa femme. Cela en devenait presque touchant.

- Il faut se mettre nu et...

- Ce n'est pas un problème, coupa-t-elle.

Elle se leva et fit glisser les manches de sa robe sur ses épaules. Guillaume la regardait sans savoir s'il avait le droit de faire cela. La robe glissa sur sa peau et tomba sur le sol. Elle était à présent vêtu d'un simple corset, une petite culotte et ses longs bas.

- Vous me permettez de vous aider ?

La Duchesse hocha la tête, il se leva et s'approcha d'elle. Il se plaça derrière elle et huma son parfum, il ferma les yeux, profitant de l'odeur de roses qui s'en dégageait. Il posa ses lèvres dans son coup. Sa peau chaude fut agréable pour Guillaume. Il plaça ses mains sur sa poitrine, mais se résigna. Elle ne voulait peut-être pas !

- Désolé, je ne voulais pas...

- Continuez, murmura-t-elle.

Il sourit et se mit à défaire le corset de sa femme. Bientôt, il rejoignit la robe. Guillaume embrassa sa mâchoire, déposa ses mains sur ses seins et profita de ce moment. Anabeth sentait le souffle chaud de son mari caresser la peau de son cou. Ce dernier se mit à genoux devant elle et fit glisser ses bas sur sa jambe. Il déposa par la suite ses lèvres sur son entrecuisse qui l'a fit frémir. Sa petite culotte tomba avec le reste des vêtements.

- Que faisons-nous après ?

- Allez vous couchez j'arrive.

Anabeth obéit et regarda Guillaume. Il retira son veston noir et le laissa tomber à ses pieds. Les bretelles qui retenaient ses pantalons fut rapidement enlevé. Il déboutonna sa chemise blanche et l'enleva sauvagement. Elle révéla son torse qui avec l'armée avait eu le temps de se sculpter. Guillaume avait plus d'expérience, il n'avait donc pas prit son temps, comme il l'avait fait avec Anabeth. La jeune femme regarda le plafond, ne voulant pas voir l'anatomie du Duc.

Guillaume s'approcha du lit et se tenu avec ses bras au dessus d'Anabeth. La jeune femme le regarda sans savoir qu'elle était la prochaine étape.

- On va commencer doucement, chuchota-t-il à son oreille. N'hésite pas à me le dire si vous voulez que j'arrête.

Anabeth soupira et sentit quelque chose de très désagréable. Elle avait l'impression qu'on lui déchirait la peau. Ses mains agrippa le drap, la douleur était insurmontable. Cela empira, lorsqu'il commença à donner des coups de bassin. Pourtant, il n'était pas violant et y allait à la vitesse d'un escargot. Anabeth renforça sa poigne sur le drap et une larme roula sur sa joue. Guillaume remarqua ses détails rapidement et cessa tout mouvement.

- Pouvons-nous arrêter s'il vous plaît, fit-elle entre deux sanglots.

- Oui, oui bien sûr ! Désolé, je ne voulais pas vous faire mal. Je... je m'en excuse.

Il se leva rapidement et s'habilla, puis il sortit de la chambre ne voulant pas importuner davantage sa femme.