💧Such a night💧

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Attention dans ce chapitre c'est une vraie scène osée avec des mots crus !
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- On s'en va !

Guillaume agrippa le poignet d'Anabeth d'en une force qu'il n'avait jamais eu avec elle. Il l'entraîna dans les escaliers et sortit à l'extérieur. Anabeth essayait de se dégager de l'emprise de son mari, mais en vain.

- Lâchez-moi, vous me faites mal !

À l'entente du dernier mot, il la lâcha et se dirigea tout droit vers la calèche. Anabeth le suivit ne comprenant pas sa mauvaise humeur.

- Puis-je savoir ce qui vous met dans un tel état ?

Guillaume monta dans le véhicule, Anabeth fit de même et referma la porte derrière elle. La mâchoire du Duc était serrée, ses sourcils étaient froncés et sa bouche était figée dans un rictus mécontent. Durant tout le trajet, il resta silencieux.

*•*•*

Guillaume se précipita dans sa chambre. Anabeth le suivit et s'assit sur le lit. Le Duc faisait les cent pas dans la pièce. Après trois aller-retours, il claqua la porte derrière lui, si violemment que les murs de la maison tremblèrent.

- Vous me faites peur. Que se passe-t-il ?

- Marie Wood ! JE HAIS CETTE MARIE WOOD. Je vais la condamner au bûcher, je vais lui faire la peau, je vais... je vais l'écartelée sur place.

- J'en conclus que ça ne s'est pas bien passé.

Anabeth se leva pour essayer de calmer son mari. Elle déposa une main sur son épaule. Il la fixa ne sachant pas quoi faire. Il avait une envie irrésistible d'elle. Peut-être la colère qui parlait pour lui ? Ou le besoin d'un certain réconfort ?

Il la plaqua contre le mur, elle poussa un gémissement de surprise et il plaqua ses les contre les siennes. Il glissa ses mains sur sa jupe pour la relever et il déposa celle-ci sur sa fesse. Il se résigna et s'éloigna.

- Je suis désolé, je ne suis pas comme ça habituellement.

- Non continuez ! J'aimais bien.

Guillaume sourit et la plaqua à nouveau contre le mur. Anabeth sentait son souffle chaud caresser sa peau et des frissons lui parcourir le corps. Les mains de Guillaume se baladaient sur son corps. Il détacha sa robe et la jeta au sol. Bientôt, il se retrouvèrent nus. Guillaume la souleva, le dos d'Anabeth était plaqué contre le mur froid. Guillaume entra son organe reproducteur dans le vagin d'Ansbeth et commença ses coups de bassin. Leurs lèvres se touchaient à chaque fois qui se rapprochaient d'elle. Anabeth caressait son dos, Guillaume avait l'impression qu'une plume touchait sa peau.

Anabeth quant à elle sentit l'orgasme arriver peu à peu. Sa tête s'arqua vers le plafond, sa bouche s'ouvrit davantage pour laisser sa respiration qui était devenue contrôlable. Guillaume déposa sauvagement ses lèvres dans son cou, lui procurant la sensation d'un chatouillement. Anabeth poussa un gémissement. Elle avait l'impression qu'un choc électrique, loin d'être désagréable, lui procurait du plaisir au niveau de son pubis.

Guillaume sourit à cette exploit. Il la porta sur le lit. Sa tête tomba violemment sur l'oreiller, mais elle s'en préoccupa guère. Guillaume déposa ses lèvres contre les siennes et descendit ses baisers jusqu'à son ventre, puis par la suite son triangle reproducteur. Sa main caressait toujours son ventre et sa langue glissait sur son clitoris.

Le corps d'Ansbeth se raffermit, tel une barre de fer, sa respiration se faisait de plus en plus rapide et ses chants commençait à être plus fréquent. La langue humide passait sur son clitoris, lui procurant une sensation de plaisir indescriptible.

Anabeth s'assit sur le lit. Guillaume la regarda ne sachant pas si elle voulait encore continuer. Anabeth lui sourit, elle le plaqua contre le lit et s'assit en califourchon sur lui. Elle commença ses va et viens, faisant glisser l'organe de Guillaume sur les paroi humide de son vagin. Ce fut autour de Guillaume de relever la tête et de pousser des gémissements.

- Anabeth, dit-il dans un gémissement. Il faudrait que tu... tu... je sens que ça viens.

Anabeth se leva et le laissa éjecter ce qu'il devait. Il agrippa son mouchoir et s'essuya. Anabeth fronça les sourcils. Si prêt du but, mais elle respectait les vouloir de son mari.

La fiancée du Duc {En réécriture/correction}Où les histoires vivent. Découvrez maintenant