Bébé, je t'écris cette lettre quelques heures après ta mort...
Tu m'as quittée putain ! T'es partis dans mes bras sous mes yeux et par ma faute ! Comment je peux vivre avec ça sur la conscience ? C'est comme ci je t'avais tuée Fahima !
Je regrette putain je te jure que je regrette de ne pas t'avoir écouter quand tu me disais d'arrêter.
Je deviens quoi moi sans toi bordel ?! T'es ma femme ! T'es ma vie ! T'as poussée ton dernier souffle et t'as emporter mon guelb avec toi !
Je t'aime Fahima wAllah je t'aime et je t'aimerais toujours. Je pourrais jamais te remplacer t'es ma seule et unique femme et tu le restera.
Et même quand t'étais avec Nabyl je te porter dans mon guelb ! Je continuer d'espérer, espérer que tu m'appartiendrais.
Ils avaient tous raison bébé, tous ! T'aurais dû me quitter ! J'aurais préféré te voir avec un autre plutôt que dans ton linceul bordel ! Reviens je t'en prie, échange ta vie contre la mienne parce que j'y arrive pas sans toi Ima, je suis pas aussi fort que je le laisse croire, t'étais mon piler putain ! T'es partis, mon monde est anéanti.
Je pleure comme une tapette en t'écrivant ce foutu bout de papier que tu liras sans doute jamais, mais j'ai besoin de poser ces quelques phrases.
J'attendais que toi, j'ai trouver l'amour bébé, tu m'as rendu heureux putain ! T'as fais de ma vie un rêve éveiller et quand on a eu les petits c'était le paradis gueh.
Tu seras mienne à tout jamais Omri.
Plus, j'en voulais toujours plus mais j'ai eu les yeux plus gros que le ventre comme on dit et sa t'as coûter la vie, mais c'est ma faute si on en est là, je t'ai pas écouter, j'ai fais trop de dégâts..
Tu me manque tellement bébé que je continue de payer ton abonnement pour entendre ta voix tout les jours... je lâche pas nos photos, je supprimerais jamais nos messages.
Putain Hayati pardonne moi d'avoir gâcher ta vie... je t'aime au point de mourir pour toi..
C'est sur ces quelques mots que je te laisse...
P.S - C'est l'histoire d'un homme et d'une femme, d'un bonheur et d'un drame..
Lettre à ma Femme, Isaac.
