Comment Lia et Divina, deux soeurs à la tête du gang le plus puissant au monde, avec leur caractères opposés dû à leur enfances complètement différentes, vont-elles renverser le monde ? L'une élevé et éduqué comme un mercenaire, sans foi ni loi, et...
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Je regarde tout autour, tout les cadavres au sol, et celui du petit garçon surtout.
Je me rapproche de celui en m'accroupis pour arriver à sa hauteur.
Il a les yeux ouverts avec une larme qui a coulé le long de sa joue froide.
Avec mon pouce et mon index, je ferme ses paupières et me relève en regardant ses lèvres devenir bleu et son corps devenir rigide.
Je cherche dans ma poche mon téléphone. Qui est d'ailleurs éclaté en mille morceaux.
J'appelle le dernier numéro qui s'affiche de mon historique.
Ryo
Le téléphone sonne à peine qu'elle a déjà répondu.
Moi : Je ne vais pas rester longtemps au téléphone, maintenant que je sais officiellement que je suis poursuivi, il pourrait dorénavant localiser mon téléphone. Localise moi avec ma puce et venez me chercher. Je t'expliquerai en rentrant mais qu'une personne vienne me chercher. Et vite.
Je raccroche sans attendre une réponse de Ryo.
Après avoir tout expliquer à Ryo dans la voiture. Ryo était en état de choc et ne comprend pas non plus comment ça a pu arriver.
Il doit être 3h du matin, le silence règne dans la grande demeure des Pures.
La seule lumière qu'on peut apercevoir et celle de la lumière de ma chambre qui s'est échappé en ouvrant la porte.
Je rentre dans cette chambre que m'a attribué Ryo.
Une chambre des plus simples, murs blancs, lit avec des draps blanc, un bureau blanc avec sa chaise blanche. La seule pointe de couleur qu'on peut voir dans cette chambre semblable à une chambre d'hôpital, est ma tenue noire et mes quelques poignards que je balançais sur la chaise du bureau.
Je suis assise sur le bord du lit, avec seulement ma brassière de sport habituelle noir et un cycliste arrivant à la moitié de mes cuisses.
J'ai retiré mes vêtements très difficilement, avec toutes les douleurs physiques que j'ai.
Je boite pour me rendre dans la salle de bain, pour trouver des compresses, bandages, désinfectant...
Je me regarde dans le miroir, et je m'arrête net face à mon reflet.
Je regarde mon corps, amaigri, tant de stress et de pression s'est dernier temps par rapport à ma mère, elle à Ricardo... avec toute ces cicatrices. Sur le ventre, sur les jambes, sur les bras et en particulier sur les mains.
Il en a fallu du travail pour être la pro du couteau hein. Surtout quand on est formé par Liam.
Je me dis que je devrais passer à autre chose, après tout il est mort non ? Alors pourquoi continuez de penser à tout ce qu'il a fait.
