14

569 35 2
                                    

Bien sûr, voici une version révisée :

---

**Dans la peau de Nassim :**

Je toque à la porte, et une voix familière résonne de l'autre côté.

— Salut, Nassim ! Ça va ?

— Oui, et toi ? On peut entrer ou pas ?

C'était Yasmine, ma petite sœur. Elle ne m'avait pas encore remarqué, probablement à cause de l'autre personne à mes côtés, qui était beaucoup plus grande.

— Pourquoi "on" ? Y a qui ?

Sans répondre, j'entre et la laisse perplexe à la porte. Elle me fixe, visiblement choquée.

— Euh, salut, Aya.

— Salut. Je peux entrer ?

— Heu, oui, rentre !

Je pénètre dans l'appartement avec Yasmine et nous nous installons dans le salon. Elle s'éclipse vers la cuisine pour chercher quelque chose. Pendant ce temps, je discute avec Nassim de tout et de rien.

Quand Yasmine revient, je remarque qu'elle me lance un regard étrange. Intrigué, je fais un signe à Nassim, lui demandant silencieusement pourquoi sa sœur me dévisage ainsi. Il hausse les épaules, l'air confus.

— Euh, ça va, tranquille, Aya ?

— Heu, oui. Nassim, je vais vous laisser un moment, je fais un tour dehors.

— D'accord, vas-y. Je t'appelle ce soir.

Dès que Naiyah s'éloigne, je sens le regard de Yasmine peser sur moi.

— Qu'est-ce qu'il y a ? Pourquoi tu me regardes comme ça ?

Elle reste silencieuse, son expression mêlant confusion et une sorte de méfiance. L'atmosphère devient lourde, et je ne sais pas comment aborder ce qui la tracasse.

Bien sûr, voici une version améliorée de ton texte :

---

**Yasmine :** Tu joues à quoi, là ?

**Moi :** Euh, rien... C'est ma... non, laisse tomber.

**Yasmine :** Quoi ? C'est ta nouvelle copine, c'est ça ?

**Moi :** Pas du tout ! Écoute, si tu veux, appelle-la et elle te dira qui je suis pour elle. Tiens, je te donne son numéro : 067519373.

**Yasmine :** Mouais...

**Moi :** Tu sais bien que je ne peux pas remplacer Célia.

**Yasmine :** Oui, je sais. Bon, je te laisse, je vais faire mes devoirs et appeler Sara.

**Moi :** D'accord, j'attendrai ma femme et ensuite je partirai.

---

**Dans la peau de Naiyah :**

Je sors, incapable de lui révéler la vérité. Je marche un moment avant de m'arrêter dans un parc où je traînais souvent avec mes sœurs. En errant, je vois une fille d'environ 14 ans, les larmes aux yeux. Je m'agenouille à sa hauteur et pose doucement ma main sur son épaule.

**Moi :** Est-ce que je peux m'asseoir ici ?

**Elle :** Oui... *en essuyant ses larmes*.

**Moi :** Comment tu t'appelles ?

**Elle :** Lorenza, mais tu peux m'appeler Alia. Et toi ?

**Moi :** Naiyah. Écoute, je ne sais pas ce qui t'arrive, mais si tu as besoin de parler, je suis là. Parfois, discuter avec quelqu'un qu'on ne connaît pas peut faire du bien.

**Alia :** Oui, merci. Tu me promets de ne pas me juger ?

**Moi :** Je te le promets, vraiment.

---

N'hésite pas si tu souhaites d'autres modifications ou ajouts !

Voici une version révisée et améliorée de ton texte :

---

**Alia** : Mes parents se sont séparés quand j'avais 8 ans, et je n'ai jamais vraiment compris pourquoi. Ma mère est partie vivre chez mon oncle après avoir perdu sa mère, ma grand-mère. Je vivais avec elle et mon frère, mais je voyais souvent mon père. J'étais petite, donc je ne comprenais pas grand-chose. Ce que je savais, c'est que je n'allais plus voir mes parents vivre ensemble.

Les mois passent et mon père nous présente sa nouvelle copine, qui a un fils de mon âge. Tout semblait bien se passer.

**Moi** : ...

**Alia** : Mais un soir, mon père, mon frère et moi avons dormi chez sa copine, et il a commencé à se comporter bizarrement avec moi. On jouait à des jeux étranges, et moi, je n'étais pas consciente de ce qui se passait. Une nuit, je me suis endormie.

Il est venu dans ma chambre et il m'a... Violer . Au début, je pensais que c'était normal. Les années passent, et il recommençait. Je vivais ma vie sans rien dire à personne, peut-être parce que j'étais en état de choc et que je ne réagissais pas.

Un jour, j'apprends que mon père allait se remarier avec cette femme. Je m'en fichais. Mais à 13 ans, j'en avais marre et j'ai tout balancé à une surveillante au collège. Elle a pris mon histoire au sérieux. Un mois après, je me souviens que c'était le 31 octobre, j'étais chez mon père quand il est venu dans ma chambre. Il m'a dit que la police avait appelé et que ma mère et lui devaient se rendre à la gendarmerie de E******.

Quand il est revenu, il ne m'a pas cru et a commencé à m'insulter, me traitant de "p***", me disant que si c'était vrai, il ne porterait jamais plainte contre lui. Il m'a ordonné de prendre mes affaires et d'aller chez ma mère, qui m'a dit la même chose. Elle m'a ensuite envoyée chez ma tante, qui n'a jamais su la vérité.

Aujourd'hui, ma mère est venue me voir, et j'ai eu droit à des insultes. J'en avais assez, alors je lui ai tout balancé, tout ce que j'accumulais depuis des années. Je n'ai même pas voulu entendre sa réponse. Je suis partie et me voilà ici. Je ne veux pas rentrer là-bas.

**Elle pleurait dans mes bras**, suffoquant presque tant elle était en détresse.

**Moi** : Écoute, Alia, tu peux venir chez moi tant qu'il le faudra, d'accord ? Donne-moi ton téléphone, je vais appeler ta tante pour lui expliquer.

Elle hoche la tête pour acquiescer et me passe son téléphone. Je compose un numéro.

**Début d'appel 📞**

**Voix au téléphone** : Oui, Lorenza, rentre de suite, ta mère s'inquiète !

**Moi** : Bonjour, désolée, ce n'est pas Lorenza.

**Voix au téléphone** : Ah, et qui êtes-vous, et pourquoi avez-vous son téléphone ?

**Moi** : C'est important, je voulais juste vous dire que Lorenza va venir prendre ses affaires et vivre chez moi tant qu'elle en aura besoin. Elle m'a raconté ce qui s'est passé et elle ne veut plus rester dans cet environnement.

**Voix au téléphone** : Je comprends. Il n'y a pas de problème si vous êtes une personne de confiance. Pourriez-vous me donner votre adresse ?

**Moi** : Oui, bien sûr, c'est au M******, bâtiment 5, au 7e étage.

**Voix au téléphone** : Très bien, j'arrive dans 20 minutes. Ça vous va ?

**Moi** : Oui, parfait, à tout à l'heure.

**Fin d'appel 📞**

Nous montons dans ma voiture et partons chez moi. Célia m'a dit qu'elle arrivait avec Souhayla. Une fois arrivés, je lui montre sa chambre et la salle de bain, pour qu'elle puisse se changer. Quant à moi, j'irai dormir dans le salon ou avec Souhayla.

Après lui avoir montré sa chambre, la porte sonne. Je vais ouvrir et me demande qui est là.

---

J'espère que cette version te convient ! Si tu veux des modifications supplémentaires ou des ajouts, n'hésite pas à me le dire.

Naiyah : Je te promets que je serai toujours là, malgré tout...(correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant