𝐋𝐄𝐒 rayons du soleil traversent la pièce ainsi la lumière se reflète sur tes yeux encore clos. Un bruit fracassant résonne dans ton appartement. Te réveillant soudainement. Tu meurs d'envies de te coucher seulement ta curiosité te vain, encore une fois.Tu t'empresses donc de te lever pour te diriger dans la pièce de vie.
La silhouette de ton meilleur ami apparaît dans ta vision, lui ne te remarques pas, c'est évident puisqu'il est de dos occupé à...tu n'en sais rien.
-Kazu ? Demandes-tu, surprise.
Le concerné se tourne vers toi. Il a l'air embarrassé de te voir. Tu t'approches de la cuisine. Derrière le mini « bar », où Kazutora te tend une tasse.
-Merci, fis-tu en baillant.
Tu inspectes la tasse comme-ci elle était suspecte d'un crime commis par ton ami. Pourtant tout est normal donc tu avales une gorgée du café.
-J'abandonne. Tes cafés sont toujours excellent, constates-tu. Et, meilleur que les miens. Tu es magicien ? Dis-tu sur un ton ironique.
Tu bois une nouvelle fois la boisson chaude.
-Sûrement pas, j'ai cassé une tasse. Et, j'en ai versé sur moi.
D'où la cause de ton réveil.
Il regarde quelques instants son t-shirt blanc unis, remplit de café avant d'en prendre les extrémités pour pouvoir le retirer.
Tu manques de t'étouffer devant la vue qui s'offre à toi.
Tu peux apercevoir la musculature de ses bras lorsqu'il finit d'inspecter la tâche pour plier enfin le vêtement.
-Eh bah putain...
Il est surpris par ta prise de parole aussi soudaine. Et, t'interroge:
-Waouh, il est autant bon ce café ?
-Visiblement, le café n'est pas le seul à être bon, murmures-tu.
Tes yeux descendent sur son torse nu, le détaillant. Son corps est dessiné tel un athlète. Des abdos parfaitement y sont tracés. L'avant de ses bras sont tout autant musclé.
Tu te rends comptes que les mots sont peut-être sortis trop vite. Tu te sens honteuse de ses paroles, et tu te sens aussi honteuse de savoir que Kazutora les ai entendus.
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𝐄́𝐆𝐎
FanfictionL'Amour. Ces deux jeunes n'en connaissaient rien. D'un côté, une jeune femme qui ne se souciait peu de ce mot, car l'exemple que ses parents lui avait présenté n'était tout sauf parfait. De l'autre, un jeune homme qui n'a jamais su montrer une part...