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Void Stiles: Alors Ikeda est à Beacon Hills maintenant, et il est malade.

Stiles: Je croyais pas que ce serait mêler à Beacon Hills. Ont fait quoi maintenant?

Le Nogitsune réfléchit quelque seconde.

Void Stiles: Si tu tiens à rester, fait comme si rien s'était passé et si t'aime pas se qu'ils font, ont brûles tout.

Un cliquetis attira le regard du renard derrière lui et ses pupilles se rétrécirent de peur.

Jiun: Stiles... ont t'a dit de pas descendre au sous sol.

Void Stiles: Stiles...Je fais quoi, il a un fusil.

Stiles: Je sais pas! Improvise!

Void Stiles: Improviser...

Le démon tremblait de peur, il ne savait pas quoi faire, pour être encore plus en faute, il avait encore le téléphone dans ses mains glacées. Il échappa l'appareil à cause de ses tremblements, il retint sa main.

Stiles: Qu'est ce que tu fait? Arrête de trembler, tu va nous faire tuer!

Void Stiles: Je peux pas Stiles, j'ai aucune idée de quoi faire.

Stiles: Est ce que t'as peur? Tu peux même pas mourir.

Void Stiles: Mais toi oui, tu peux mourir.

Stiles: Mais tu t'en moque! Tant que TU n'es pas dans le pétrin ça t'arrange.

Void Stiles: Non Stiles, je tiens à toi, tu ne peux pas mourir, je ne veux pas que tu meurs.

Stiles: Quoi?!

Mais Jiun le menaça de son arme.

Jiun: Vide tes poches.

Le renard fouilla dans ses poches pendant que les autres hommes de la maison arrivaient, il commença à pleurer, une réaction qu'il n'avait jamais eu, il eu honte de ses larmes et le fait que ce n'était pas Stiles qui les contrôlaient mais bien lui le gênait. Il était très pâle, ce que les mafieux n'étaient pas habitués de voir chez Stiles. Il jeta un peu d'argent et des factures.

Kin: Tu nous à trahi Stiles, on se connaît depuis que une semaine mais je te faisais confiance. On va devoir te mettre dehors, ou ont te tue.

Le Nogitsune pleura de plus belle.

Yan: Arrête de pleurer connard, sa marche pas espèce de lâche.

Void Stiles: Tu m'a appelé comment là?

Stiles: Tu fais quoi là?

Void Stiles: J'improvise.

Void Stiles: Viens me le dire plus prêt.

Yan se rapprocha du garçon en le prenant de haut, si près que leur nez pourrait se toucher, et sans pointer son fusil.

Yan: J'ai dit que t'étais un connard et un pauvre lâche, si tu comprend pas en japonais c'est "kirainahito to kawaisōna okubyōmono".

L'ombre qui le suit. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant