L'ombre qui le suit.

57~

Stiles, pour une rare fois, dormait profondément, comparé aux autres qui était trop blessés et sur les nerfs pour se reposer.

Scott: Il dort?

Isaac: Il est trop mignon!

Derek: Il est pas un ange par contre.

Scott: C'est toi qui le dit.

Derek: Bah quoi? Tu vas pas me dire qu'il est un bonne exemple.

Scott: Non mais...

Kira: C'est bon, on a compris.

Malia: Vous croyez qu'il va dormir encore longtemps?

Lydia mis sa main devant ses yeux et son nez.

Lydia: Il est dans sa phase de sommeil profond, il pourrait rester là des heures encore.

Elle mis sa main sur son torse pour écouter son cœur.

Lydia: Je sens son pouls, il est fort et... irrégulier.

Kira: Il est malade?

Lydia: Je pourrais pas dire... je sais pas trop.

Elle réécouta mais s'enleva en sentant son souffle glacé plus fort dans son cou. Ils se tinrent droit, se préparant à voir Stiles se réveiller, mais non, il était toujours plongé dans un sommeil imperturbable. Le komicho était peut-être endormi, mais dans sa tête, il était parfaitement éveillé.

Stiles: Nous sommes tous dans ma tête, et dans ma tête, il peut rien arriver.

Nogitsune : Stiles... Tu sais complètement qu'on peut prendre ton corps à tout moment.

Stiles: Je sais, mais je veux me faire croire le contraire.

???: Alors je peux prendre votre corps?

Stiles: Sérieux?! Je vais pas te laisser prendre mon corps! En plus, je te connais à peine. Et je te fais aucunement confiance.

Nogitsune: Et moi? Je peux?

Stiles: Non, pas pour l'instant, on a d'autre chose à régler.

???: Comment dois-je vous appelez?

Nogitsune: Ah parce que c'est maintenant que t'as décidé d'être poli.

???: Oui, alors tu peux faire pareil avec moi, Kukan.

Stiles: Appelle moi juste Stiles.

Scott: Vous croyez qu'il rêve à quoi?

Isaac: Aux meurtres?

Lydia le regarda avec mépris.

Scott: Je sais pas, mais ça doit être agité.

*****

Combat contre Tomio, il y a quelques heures.

Stiles lui donnait des coups de poing, encore et encore, sa tête se fracassait et le sang sortait de tout ses orifices. Le jeune homme ne se rendait pas compte que son ennemi, à cette seconde près, allait mourir.