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Isaac: Qu'est ce qu'on fait maintenant?

Stiles: Je dois trouver qui est mon traître, mais vous, vous vous reposez, vous vous êtes assez inquiété pour Derek, en bas il y a les jeux vidéos sur la télévision, voilà les clés du garage mais faites attention aux voitures...

Scott: On veut savoir comment être de vrais yakuza.

Toute la meute le regarda, attendant des conseils.

Stiles: De vrais yakuza? Euh... d'accord. Premièrement, tu dois être respecté, c'est la base, mais pour être respecté, tu dois être impliqué, tu dois aidé tes complices, aider d'autre patron. Au Japon, tu dois garder un certain honneur, tu dois pouvoir faire se qu'on te demande, tu ne dois pas être un lâche.

Isaac: En quoi tu dois rendre service?

Stiles: Tu exportes des ressources, tu protèges ton patron, tu tues à la place des autres... tu dois prouver ta valeur.

Scott: Ça doit être simple.

Isaac: Alors toi tuer des gens au service des autres tu trouves ça simple?

Scott: Bah, on a déjà tué des gens...

Stiles: C'est relativement facile dans un sens, tu as une très bonne qualité de vie et tu es très bien protégé, c'est ce que tout le monde m'a dit pour me rassurer au début. Bon, c'est pas tout ça mais j'ai un truc à faire.

Isaac: Tu vas faire quoi?

Stiles: Je passe une soirée au casino. J'y vais avec Jiko et je passe chez Akemi pour aller le chercher.

Derek: Je vais venir avec toi, mais en tant que garde du corps. Je sais que des gens veulent ta mort, il faudra que tu sois redoublé de protection.

Stiles: D'accord, alors on y va dans 1 heure.

Pendant cette heure, Stiles prenait sa douche, il se mit des bagues aux doigts, une montre et une chaîne en or. Il s'habilla avec de tous nouveaux habits, une chemise noir, un pantalon noir et un veston noir aussi.

Derek: Je dois mettre quoi en tant que garde du corps?

Stiles: Je dois avoir un truc qui te fais, viens.

Derek entra dans la chambre de Stiles en caleçon, le plus jeune rougis et regarda dans son garde robe. Il lui donna une chemise blanche avec un pantalon, une cravate et un veston noir, classique, quoi.

Derek: Tu m'aide à faire ma cravate?

Stiles s'approcha de lui et pris son noeud avec sa main, qui le tira jusqu'à lui pour l'embrasser.

Derek: T'es vraiment déterminé à être mon fuck friend.

Le loup l'embrassa à son tour.

Derek: Ça peut le faire.

Stiles: Mais maintenant laisse moi attacher ça, on doit quand même y aller.

Il attacha sa cravate et alla chercher Jiko, il était maintenant habitué à la laisse, c'était plus facile de l'emmener partout, mais il n'avait pas perdu son énergie débordante.

Stiles: Derek, je vais chez Akemi, ça ne devrait pas prendre beaucoup de temps. Toi tu montes dans la Cadillac et tu vas directement au casino, les yakuzas avec toi devraient te dire quoi faire, ce sera littéralement un cours pour être un bon garde du corps. Là bas, vous allez vider le bâtiment et trier le monde pour qu'il y ait juste des yakuza.

Derek: D'accord, on se voit là bas.

Stiles monta avec Jiko dans la Bugatti et salua le reste de la meute. Le komicho caressa le renard et enleva son collier à pointe pour le trajet.

***

Stiles cogna à la porte, ce fût Kaï qui répondu.

Stiles: Est ce que Akemi est là?

Kaï: Oui, entre.

Il passa la porte lentement, et vu son ami assit sur le canapé.

Stiles: Akemi?

Celui-ci tourna sa tête vers lui et se leva lentement.

Akemi: Stiles? T'es venu!

Il le serra dans ses bras.

Akemi: Comme tu peux voir je suis aveugle maintenant, j'ai appris, mes sens son plus développés. Et je suis un kitsune, mes sens étaient déjà très développés.

Stiles: Je suis content que tu te sois rétabli.

Akemi: Tu veux du thé?

Stiles: Oui, mais je veux pas que tu...

Kaï: T'inquiète pas, c'est moi qui la fait.

Akemi: Kaï m'aide beaucoup, en fait il vit avec moi, pas vrai mon amour?

Le Kitsune de terre lui massa les épaules.

Akemi: Et comme je suis un addict sexuel...

Kaï: T'es pas un addict sexuel, t'aime le sexe, c'est tout, comme moi.

Il l'embrassa et Akemi souri.

Stiles: On y va?

Akemi: Oui, est ce que je peux juste te sentir?

Il s'approcha de Stiles et tendu les bras vers son visage, il lui effleura la joue et posa son doigt sur ses lèvres. Stiles regarda ses l'endroit où ses yeux devait être, les examinant, ils étaient couverts d'un bandage, il se demanda à quoi ils ressemblaient. Il rapprocha sa tête à la sienne et renifla son cou, ses sourcils se levèrent.

Akemi: Ton parfum, c'est le même que quand je t'ai rencontré.

Stiles: Oui, t'as remarqués, c'est vrai que tes sens sont plus développés.

Kaï: Oh, un renard!

Le kitsune caressa l'animal vigoureusement.

Akemi: Tu as ammenés un renard? Je savais que tu l'emmenerais chez le vétérinaire mais pas que tu le garderais.

Il écouta le couinement satisfait de la petite bête et se pencha pour la toucher, il sourit en sentant sa douce fourrure.

Stiles: Je l'ai nommé Jiko.

Le renard lécha la main du kitsune d'océan.

Akemi: On y va? Kaï vient avec nous, c'est lui qui m'aide à me diriger.

Stiles: Tu n'as pas une canne?

Akemi: Non! Je déteste ces trucs.

Les deux amis montèrent dans la Bugatti Mistral et Kaï monta dans une Cadillac avec d'autres yakuzas.

Akemi: Je peux mettre ma main sur la tienne? Si tu es en danger là bas ou que tu te sens mal, je veux la reconnaître.

Il posa sa main sur la sienne, qui tenait la manette à transmission.

***

Du côté de Derek

Yakuza: Alors comme je t'ai dis, t'as juste à demander à la réception pour faire dégager le reste du monde. C'est un nouveau casino, alors ils ne nous connaissent pas. Si ils ne veulent pas, donne leur ce sac.

Il lui lança un sac plein de billet d'argent. Derek hocha de la tête et regarda les yakuzas qui plaçaient déjà les tables vides pendant qu'il marchait vers le bureau de réception.

Derek: Monsieur?

Un homme se tourna vers lui d'un air interrogateur.

Réceptionniste: Oui, que puis-je pour vous?

Derek: On veut vider la salle, pourriez vous demander à vos employés de sortir tout le monde?

Réceptionniste: Ah ça non! Nos clients ne reviendrons plus, et puis pourquoi d'abord?

Derek: On veut réserver le bâtiment.

Il jeta le sac d'argent sur le comptoir, et l'homme, surpris du nombre d'argent que contenait ce simple bout de tissu, accepta et s'affaira aux cuisines. Les cuisinier fesait leur meilleur plats, ils engagèrent le plus de danseuse possible. La soirée se préparait.

L'ombre qui le suit. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant