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Noah: Fait comme chez toi...

Stiles passa la porte en sautillant de joie.

Noah reconnaissait son fils, pétillant et content de rentrer chez lui.

Stiles: Sa fait si longtemps!

Noah: Oui... je... je n'ai pas touché à ta chambre.

Le policier fixait le fusil dans la poche de Stiles.

Noah: P...pourrais tu poser ton arme sur la table? S'il te plaît?

Stiles: Oh! Oui, désolé.

Le jeune homme posa son arme et un couteau, des balles dans ses chaussures, une puce de pistage sur son oreille et un autre couteau attaché dans son veston. Stiles monta à l'étage à toute vitesse et mis son oreiller sur son lit au regard déçu de son père.

Stiles: J'ai jamais dormi dans un endroit aussi... petit, depuis longtemps, sa fait du bien de revenir ici.

Noah le regardait placer ses affaires en pensant au changement qu'apportait le voyage.

Noah: Stiles, je sais pas si... si c'est une bonne idée que tu intègre la mafia...

Stiles: Oui... je m'attendais à se qu'on en parle... Tu es shérif alors sa pose un problème à ton travail que ton fils fréquente un milieu illégal...

Noah: Exactement, alors tu a réfléchi à ça avant de t'y embarquer?

Stiles: Oui, sa a commencé d'une drôle de façon, et puis c'est lui qui m'a embarqué là dedans.

L'adolescent pointa sa tête et son père compris tout de suite, il ne voulait plus le regarder dans les yeux.

Noah: Ah... Tu crois pas qu'il t'embarque dans quelque chose de trop grand pour toi?

Stiles: Peut être mais il sait se qu'il fait... il... il planifie tout à l'avance, tu le sais...

Noah: Oui, mais il me l'a pas montré de la meilleure manière, en tuant mon fils à petit feu... Alors si il me le montre de cette façon, peut-être qu'il va continuer de cette façon aussi.

Stiles: Tu crois qu'il va me faire du mal? Qu'il va TE faire du mal?

Noah: Non, c'est juste que...que je...

L'homme se sentait un peu intimidé et perdait ses mots devant son fils.

Stiles: T'insinue quoi encore? Que je suis pas ton fils à chaque fois que je te regarde? Que je pourrais te poignarder dans le dos? Poser une bombe dans le commissariat de police? Aller, répond?!

Noah: Peut être que se ne sera plus toi que je verrai la plus part du temps quand je voudrai te parler. Et que se sera cette chose qui a détruit le premier amour de ton meilleur ami et la fille d'un père qui a déjà perdu sa famille.

Le policier disait ça de la façon la plus sereine possible. Stiles faisait les cent pas et dit à son père d'en reparler le lendemain, il alla se coucher.

*

Pendant ce temps:

Kira ferma la porte de sa chambre, à se moment, des larmes coulèrent sur ses joues.

Kira: Pourquoi il devait revenir dans cet état? Pourquoi en arriver là? Pourquoi il ne pouvait pas rester là bas avec ce renard de malheur?

*

Scott pris une douche pour enlever le sang et la terre qui le recouvrait et prépara déjà sa chambre pour le lendemain soir pour accueillir son ami, il s'attendait à se que Stiles veule une chambre propre, plus que n'importe quand.

*

Tout le monde se coucha pour des heures de sommeil bien mérité, Stiles allait respecter ses 11 heures de repos.

*****

À 3 heures du matin, chez le shérif.

Le Nogitsune pris le corps de Stiles, ce qui le réveilla.

Stiles: Qu'est-ce que tu fait?

Nogitsune: Je vais chercher à manger, rendors toi.

Le jeune homme fit se qu'il dit et se "coucha" dans sa tête. Le renard noir descendit les escaliers et ouvrit le frigo, il pencha la tête sur le côté, signe d'insatisfaction et pris le minimum qu'il connaissait de bon, des restes de sushis, de la confiture, un reste de barquette de lait et haussa les épaules. Il se retourna pour monter à la chambre mais vit Mr. Stilinski assis au comptoir.

Noah: Stiles? Qu'est ce que tu fais debout à cet... Ah... C'est pas Stiles, pas vrai?

Le renard hocha de la tête et posa son repas sur la table mais resta debout.

Void Stiles: Et vous, qu'est ce que vous faite là?

Noah: J'arrive pas à dormir... Est ce que Stiles... dort?

Le démon hocha encore de la tête.

Noah: J'allais me prendre une bouteille d'alcool... peut-être la caler.

Void Stiles: Je t'en empêche pas.

Noah soupira tristement pendant que Void commençait à manger.

Void Stiles: Pourquoi tu bois?

Noah: Par tristesse.

Void Stiles: Ah bon?

Noah: Oui, mais tu peux pas comprendre, la tristesse, tu t'en moque.

Void Stiles: Je me préoccupe de celle de Stiles.

Noah: Ah, fait moi rire... tu t'occuperais même pas de sa coupe de cheveux...

Void Stiles: Oh, mais détrompe toi, je l'ai suivit pendant plus de deux mois, je le connais plus que n'importe qui, j'ai tout ses propres souvenir que lui même ne se souviens pas, je me dois de le protéger, car sa peau est la mienne aussi.

Noah: Et tu as décidé de l'embarquer dans la mafia? Les filles, la drogue, l'argent et les jeux?

Void Stiles: Oui, il aime ça, il commence à être plus à l'aise avec les filles, et il gère très bien.

Noah: Et... Tu es toujours un aussi bon tricheur et filou?

Void Stiles: Sans me vanter... Oui, on triche surtout aux jeux, au casino.

Noah: Au casino?! Il est pas un peu trop jeune?

Void Stiles: Oui, mais les gens y croyait.

Noah: Comme beaucoup de chose...

Void Stiles: Oui, là dessus, j'avoue que le coup de la démence froto-temporale était bien joué de ma part.

Noah: Un beau coup de ta part? Tu as détruit l'espoir de garder ma famille! Tu as détruit l'estime de Stiles! Une chance qu'il a oublié cet parti de toi parce qu'il t'aurais jamais recueilli!

Void Stiles: J'avais pas le choix, et de toute façon, qu'est ce que sa peut me faire? Tant qu'il est vivant, c'est pas important.

Noah: Tu as tué Allison! On est en faillite à cause de tout les dégâts!

Le démon se pencha vers le policier et le pris par le collet.

Void Stiles: Écoute moi bien, si je pouvais, j'aurais laissé cette gamine si elle n'avait pas tuée un de mes allié. C'est gosse se son mêlé de se que je faisait à Stiles, c'était la seul façon pour lui et moi de rester vivant et d'avoir un hôte.

Shérif pointa un fusil en dessous de la table, dans le ventre du renard noir.

Void Stiles: Tire, je guérirai. Aller, vas-y, je sais que tu en meurt d'envie, enfoncer la gâchette, m'entendre gémir de douleur et m'écrouler par terre.

Le shérif tremblait et hésitait à baisser l'arme. Le Kitsune sombre attendait l'action.


POW.

L'ombre qui le suit. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant