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Pendant ce temps, les autres komichos parlaient de lui à Stiles.

Komicho de Shanghaï: Il a du culôt ce gars.

Komicho du Brésil: Comme toi Stiles, t'es pas facile!

Stiles: Quoi?

Komicho du Brésil: Bah... Tu sais, tu dois pas être facile à vivre, je veux dire... Tu comprends?

Il y avait un gros silence, tout le monde se doutait que Stiles prendrait une colère.

Stiles: Ce que je comprend, c'est que tu me trouves désagréable, c'est ça?

Komicho du Brésil : Non, j'ai juste...

Stiles: Non, je crois que c'est vraiment ça que tu voulais dire.

Derek arriva et posa le verre sur la table.

Stiles: C'était long.

Le renard poussa son verre et il se renversa sur le komicho du Brésil. Tout le monde ria en voyant le dégout de l'homme, qui avait ses beaux habits tachés de vin rouge.

Stiles: Oups...

Un Yakuza s'affaira à nettoyer sa chemise, il se leva, enragé, mais parti sans causer plus de problème.

Stiles: Rempli moi ça.

Derek: Mais Stiles, je viens de le faire.

Tout le monde se tut arrêtant de rire.

Stiles: Redis moi ça?

Il s'approcha, presque si il allait le lui sussurer à l'oreille.

Derek: Tu peux pas demander à quelqu'un d'autre? J'ai pas envie de me mettre la honte devant tout le monde.

Stiles: Tu t'es déjà mis la honte devant tout le monde, aller va me chercher ça.

Derek: Je t'en pris...

Stiles: Tout le monde se tape une barre et toi tu gâche l'ambiance en désobéissant à mes ordres.

Le loup leva les yeux, Stiles pour mettre bonne impression, pris un ton condescendant et plus fort pour que tout la tablée entende.

Stiles: Va remplir ce verre, et dépêche toi, j'aime pas attendre.

Il se tourna péniblement, prit son verre et alla le remplir, il ralenti le pas en voyant un homme qui se dirigeait à leur table. Celui-ci avait des bandages sur tout le corps, on n'y voyait aucune partie de son corps. C'était le même que celui de la dernière fois, qui avait plein de cloques, à se que Stiles se rappelait, il l'avait provoqué à propos de la déesse Inari.

Stiles: J'en étais sûr.

L'homme se pencha devant lui, avec les deux autres yakuza. Stiles le regarda de haut, le méprisant de sa pitié.

Homme: Je suis venu m'excuser auprès de vous, j'ai réussi à guérir mes problèmes, vous ne me reverrez plus jamais vous ennuyez d'une telle façon. Veuillez me pardonner, je vous en pris.

Stiles: Approche toi.

L'homme s'avança vers Stiles, qui lui pris sa mâchoire et la tourna de chaque côté pour observer ses bandages.

Stiles: Où en est-il dans sa guérison pour avoir autant de bandages?

L'homme ressemblait au Nogitsune, avec des bandages neuf partout, recouvrant complètement son visage.

Yakuza: Nous ne le savons pas encore, il a une infection dans ses plaies et personne ne savait quel genre de bactérie est entrée dans ses plaies.

Nogitsune: Il me ressemble, pourtant il n'a pas été brûlé au troisième degré.

Comme si il lisait dans ses pensés, le Yakuza continua.

Yakuza: Il a été considéré comme brûlé au deuxième degré.

Stiles leva les sourcils, il fut assez surpris.

Stiles: Son infection n'est pas guérie?

Homme: Non, j'ai encore des chances de mourir.

Stiles: Eh bien dans ce cas, pourquoi serais tu encore en vie?

Stiles sortit un couteau de sa poche.

Homme: Je vous en prie, épargnez moi!

Le komicho s'arrêta, le toisant avec dégout.

Stiles: Tu souhaites vraiment rester en vie?

Le brulé resta penché, faisant des révérences et hochant de la tête, anxieux.

Stiles: Eh bien, d'accord.

Il rangea son poignard et pris une gorgée du vin que Derek était aller lui chercher.

Yako: Tu veux qu'il meurt?

Stiles: Bah... Ouais.

Yako: J'ai une solution, vas à la salle de bain.

Stiles se leva, et fit se que le démon lui disait. Il se regarda dans le miroir et attendit des instructions.

Yako: Il te faut de la fumée, t'as une cigarette?

Stiles: Oui, tu veux bien le faire?

Yako: Ouais, pas de problème.

Il prit son corps et étrangement, se regardant dans le miroir, Stiles remarqua facilement le changement de taille de son corps.

Stiles: Wow, wow, wow, c'était quoi ça?

Yako: Le changement de taille? Oui je sais, c'est un de mes symptômes.

Stiles: Expliquez moi pourquoi ça fait pas ça avec Void?

Void: Chaque Nogitsune est différent, on a pas tous le même caractère et les mêmes symptômes de possession.

Yako: Et tout dépend de la puissance et de la douleur qu'il prend. On peut revenir à nos moutons maintenant?

Stiles: Oui, oui, allons-y.

Le démon pris une cigarette et l'alluma, il en pris une bouffé et avala la fumée, après il en imprégna dans son nez, en n'en sortant par les narines.

Yako: Je dois trouver cette mouche, la chaleur et le feu va la réveiller et la déloger de notre gorge.

Il grimaça de douleur et sentit l'insecte monter le haut de sa gorge. Il ouvrit la bouche et sur sa langue se tenait une mouche, elle était très grosse et en degoulinait un liquide noir et vert. Stiles reprit son corps et mit la mouche sur son doigt.

Yako: Pas très agréable à déloger par contre...

Stiles: C'est dégoûtant!

Il la regarda, ce n'était pas une mouche ordinaire, elle avait de grandes ailes et des mandibules énormes. Se qui tenait aux yeux de Stiles, c'était son énorme abdomen et ses pattes aux griffes proéminente.

Yako: Non, c'est magnifique! Cette mouche est une phénomène unique de la science et du monde surnaturelle! Ce simulidium, dit mouche noire, sécrète un poison mortel, semblable à celui de la Glossina, la mouche tsé-tsé, mais celui-ci est action rapide.

Stiles: Alors tu vas me dire que si je me fais mordre par une mouche je peux mourrir.

Yako: Non, seulement celle-là, et de toute façon tu es immunisé par son venin.

Stiles: Et pourquoi elle a un corps aussi gros?

Le komicho tapota son abdomen et l'insecte se frotta contre sa peau.

Yako: Car elle a des œufs, tout ses petits sont là dedans.

Drôlement, Stiles se sentait fier de ça, il était satisfait qu'elle aille des petits, et pourtant, ça l'écœurait, c'était un drôle de sentiment.

Yako: Oui, tu es fier, oui c'est bizarre, mais vous êtes relié, plus qu'avec les autres mouches.

Une larme coula, en fait, il en était très fier, il caressa sa protégée et celle-ci se reposa dans le creux de sa paume.

L'ombre qui le suit. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant