41~

95 4 0
                                    

Stiles: Calme toi!

Le coeur du Nogitsune battait à la chamade, il essuya le comptoir plein de sang en laissant tout les papiers sur le comptoir et frotta son visage pour enlever le liquide rouge. Un vieille homme sortit d'une cabine en regardant l'adolescent d'un oeil soupçonneux.

Homme: Isha ni mite moratta hō ga ī to kiita, wakai otoko...(J'ai entendu, tu devrais aller consulter jeune homme...)

Void le regarda froidement en aillant l'air en même temps paniqué.

Void Stiles: E e, ē, mada gen'indesu. (Ouais, ouais, cause toujours.)

L'homme marcha à grand pas vers la sortie en voyant le sang sur le comptoir. Le Nogitsune parti avec un papier dans les mains après que le témoin soit sorti.

Stiles: Tu peux me redonner mon corps maintenant?

Void Stiles: Non.

Stiles: Tu vas me redonner mon corps maintenant.

Void Stiles: Non, parce que si je reviens là dedans, tu vas nous faire rester dans ce restaurant.

Stiles: Espèce de saloperie de...

Le renard noir passa les portes des salles de bain et regarda la vitrine de la bâtisse, le vieille homme de tout à l'heure parlait à quelqu'un dehors. Les gardes du corps devant la fenêtre regardaient la scène en paniquant. Le démon marmonna tout bas, tandis que la meute le saluait.

Void Stiles: Oh merde... Il a appelé la police... Et c'est bien nous qu'ils cherchent.

L'homme décrivait le komicho en faisant un signe de cheveux en bataille, du sang partout et une peau pâle. En plus, Scott le regardait inquiet, il avait entendu le policier et le témoin vu qu'il était près de la porte et son ouïe surnaturel ne lui fesait pas défaut.

Stiles: C'est pas grave, qu'est ce qu'on a fait de mal?

Void Stiles : T'as pas vu les litres de sang par terre?

Stiles: Eh bien t'as qu'à arrêter de saigner!

Void Stiles: Je peux pas, c'est pas vraiment une blessure, ça pousse constamment. Aïe... Ça fait mal...

Il regagna les toilettes et le flu de sang ralentissait de plus en plus, mais le Nogitsune palissait (plus que d'habitude)par le manque d'hémoglobine.

Void Stiles: Ça m'étourdit un peu... Le sang me manque... Je crois pas que... Que je vais tenir le coup...

Stiles: Non! Tu vas tenir, au moins le temps que tu puisses éloigner la police.

Void Stiles: Tu veux que je fasses quoi? Ils sont devant le resto, y'a plus aucune chance.

Stiles: Depuis quand c'est toi qui abandonne? C'est toi qui trouves les solutions d'habitude, et t'es très bon là dedans.

Void Stiles: T'as raison, je peux bien essayer.

Il réfléchi en se regardant dans le miroir et eu une idée qui vint assez rapidement.

Void Stiles: Qu'est ce que tout le monde a, mais que personne ne peut perdre?

Stiles: Bah une ombre évidemment, tu me l'a déjà fait, c'est bon j'avais compris.

Void Stiles: Mais toi, Stiles, tu peux la perdre, alors prend ton corps et projette moi sur le mur. Je vais attirer la police pour faire diversion et toi tu vas te cacher sous la table, une patrouille sera encore devant la porte.

Stiles: D'accord, allons-y.

L'adolescent revint de sa tête en étant tout pâle. Il vacsilla par sa perte phénomènal de sang et ouvrir la porte pour laisser passer l'ombre sur les murs. Les policiers étaient entrés, la main sur la ceinture, prêt à braquer leur fusil. L'ombre de Stiles passa sur le mur qui menait à la cuisine.

Policier: Hé! Vous! Restez où vous êtes!

Void continua de marcher jusqu'au cuisine, jusqu'à ce que les deux hommes armé le suive. Les clients les regardaient du coin de l'oeil. Stiles passa loin derrière les policiers et Scott leva la nappe pour laisser Stiles dessous.

Derek: C'est toi qu'ils cherchent?

Stiles: Ouais, finissez de manger et après on part.

Ils sortirent instantanément par stresse. Stiles soupira de soulagement, mais regarda par la fenêtre pour suivre la situation, ses deux gardes du corps furent emmené et menotté. Un policier mettait son sang qui était par terre dans une fiole. Donc maintenant ils tenaient son identité.

Stiles: On retourne chez moi, faite vous discret.

Ils montèrent dans la voiture sans faire de bruit et roulèrent très vite jusqu'à chez eux.

*

Scott et Isaac s'affalèrent sur le canapé, Malia s'assit sur le tapis et Lydia se prit quelque chose dans le frigo.

Stiles: On a eu une grosse journée, on ira demain après-midi voir Tomio. Allez vous couchez si vous voulez, moi j'ai une soirée avec mon loup.

Stiles monta à l'étage pour se rendre à sa chambre.

Nogitsune: Tu croyais vraiment faire une soirée avec Derek?

Stiles: Ouais... Pourquoi? Ça te dérange?

Nogitsune: Non, non...

Stiles: Ah... Je vois bien que y'a quelque chose qui t'énerve, tu sais que je sais quand il y a un truc qui te fais chier.

Nogitsune: Tu veux pas le savoir.

Stiles: Oui, je veux le savoir.

Nogitsune: Très bien, tu l'auras voulu... J'ai couché avec Derek.

Stiles: Quand.

Nogitsune: La... la première nuit qu'on a couché chez lui.

Stiles: T'as profité que je dorme pour le baiser?

Nogitsune: Ouaip.

Stiles: Génial... Et tu me dis ça alors que t'es au point zéro de ma confiance en toi? T'étais déjà assez chiant depuis quelques jours, mais là...

Nogitsune: Hé oh, c'est bon, je l'ai fait qu'une seul fois, c'était pas officiel, c'est toi qui m'as demandé de te le dire et de toute façon vous étiez pas ensemble, alors logiquement c'est lui qui t'as trompé...

Stiles: Mais t'aurais pu me le dire bien avant aujourd'hui, et lui aussi d'ailleurs... Mais ça fait super longtemps! Ah, non, j'y repense ça fait que une semaine, 7 jours exactement.

Nogitsune: Et t'es pas plus fâché que ça?

Stiles: Oui, mais ça compense par ta réaction, est ce que tu te sens coupable par hasard?

Un silence pesant de longue secondes le fit attendre.

Nogitsune: Non, j'ai adoré, ça me dérangerait même pas de te raconter les détails.

Stiles: D'accord, je suis sûr que tu gardes un peu de culpabilité, bon, raconte comment ça c'est passé.

Le Nogitsune lui raconta, sans les détails.

~~~~~

Désolée pour les personnes qui aimaient quand je mettais des images pour chaque chapitre. J'ai un peu oubliée cette étape mais j'ai un peu la flemme😅. Mais je trouverai un moment pour toutes les mettres🤞.

L'ombre qui le suit. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant