Pdv Kanai
Kanai: Tu... Aahh~
Elle me sourit espièglement et plonge ses prunelles dans les miennes. Elle affaire ses doigts en moi de plus en plus rapidement, et ce jusqu'à mon orgasme. Je n'ai même pas le temps de la prévenir que je viens sur ses doigts.
Kanai: HaAaaa~...
Elle retire ses doigts de moi, et me dévisage, un brin inquiète.
Kanai: Haa... Je...
Sumiko: Ça va ?
Kanai: Ah... attends...
Je m'allonge sur mon lit, secouée par diverses émotions. Le désir de ne jamais quitter ce moment; la douleur car, on ne va pas se mentir, cette gogole m'a pété le vagin, et la peur que Masahiro débarque dans ma chambre.
Kanai: T-t'inquiètes, je... vais bien.
Sumiko: T'es trop mignonne quand tu bégaies !
Kanai: Ta gueule.
Sumiko: Je me tais.
On reste donc silencieuse pendant quelques instants, histoire de me laisser reprendre mon souffle.
Kanai: Je vais pisser.
Je parviens à me couvrir un minimum avec l'aide de Sumiko et me traîne jusqu'aux chiottes.
En sortant, j'aperçois mon frère discuter avec Sumi, furieux.
Masahiro: Une dernière fois, vous avez fait quoi ?
Sumiko: Rien !
Je me précipite.
Kanai: Dégage.
Masahiro: Qu'est ce qu'elle fait dans ta chambre ?
Kanai: Elle cuisine, ça se voit non ?
Il soupire, exaspéré par mon humour sans limite.
Kanai: Elle a pas le droit d'être dans ma chambre ? Quand je pense à toutes celles que tu ramènes dans la tienne.
Masahiro: Me prend pas pour un con, vous avez eu un rapport là-dedans.
Kanai: Et alors...?
Il me dévisage intensément, avant de lever la main sur moi. Sumiko s'empresse de le retenir.
Sumiko: T'as pas intérêt.
Masahiro: Vous me dégoûtez. Bandes de putes. Vous n'avez même pas honte. Notre mère voulait que tu te maries avec un homme de bonne famille, Kanai. Et voilà ce que tu fais après sa mort.
Kanai: Elle savait très bien que je ne l'écouterai pas. Et non, nous n'avons pas honte d'être nous-mêmes. Tu n'es même pas foutu d'assumer toute la merde que t'as fait à Akari et de lui demander pardon correctement. Alors excuse-nous de ne pas avoir honte de qui nous sommes et d'assumer notre relation.
Son visage se tord de haine, et il me balance un coup de coude. Il me frappe d'innombrables fois, et je le laisse faire. Sumiko ne réagit pas en voyant que je ne repousse pas Masahiro. Celui-ci, essoufflé, s'arrête, les yeux larmoyants.
Masahiro: Kanai...
Kanai: Je ne te renies pas encore parce que je suis ta sœur. Mais ne compte plus sur moi pour cacher tes crimes. Tu me dégoûtes dans tous les sens du terme.
Je prend la main de Sumiko et m'en vais. Je reviendrai quand il se sera calmé.
Sumiko: Je suis désolée... Je te fais du mal...
Je me tourne vers elle et prend possession de ses lèvres. Je l'embrasse passionnément avant de me retirer.
Kanai: Ce n'est absolument pas ta faute. C'est lui qui est en tort de ne pas nous accepter.
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Coucouuu !
Petit chapitre qui résume une idée que j'ai eue y'a un bon moment déjà :)
Les homophobes me dégoûtent. Mais genre vraiment.
Ça coûte quoi de laisser les gens vivre leur vie en étant heureux ? Les homosexuels et autres font preuve de courage pour s'accepter, et en plus y'a des gens qui viennent les faire chier pour ramener leurs bouches là où ils ne sont pas concernés. Franchement ça me dépasse.
Une chance que la plupart des gens sur Wattpad sont ouverts d'esprit.
Bref, bisous les fraülein ^^
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Brouillard
FanfictionAkari est une jeune fille vivant dans la forêt avec son oncle, Makoto Misora et son cousin, Yusuke. Son rêve: devenir pilier des pourfendeurs. Son oncle étant l'ancien pilier de la brume, son parcours semble tout tracé; l'aide de Muichiro Tokito s'a...