Les contes de fées existent toujours.
Dans le pays des rêves, le temps transforme les vraies histoires en contes de fées. Ce fut le cas à Dubaï quand un prince né à l'aube du 14 Novembre 1982 à Dubaï aux Émirats arabes unis, est depuis le 1er févrie...
Je me suis rapproché plus près d'eux. Les filles ne se rendent même pas compte de mon absence. Yasmine et Eva, elles sont distraites par la famille royale.
J'arrive à me mettre juste derrière Anna et Hamdan. Ils sont tellement occupés à discuter qu'ils ne se rendent pas compte de ma présence.
— Je ne veux pas te mentir plus longtemps, je souhaite rompre.. Entendis-je dire le prince Hamdan.
— Quoi ?!... tu ne peux pas me faire ça.. je t'aime Fazz. Réplique Anna.
Partageaient-ils donc une relation amoureuse ? Ça explique le rapprochement d'Anna lors de la journée d'exposition.
— Écoute,... c'est tout simplement fini, cette relation est étouffante. Il n'y a plus rien à faire.
— Tu me fais souffrir Hamdan. Nous étions bien ensemble et je ne veux pas que ça change.
— Je n'ai jamais voulu te faire souffrir Anna. Tu dois comprendre que ça ne pourra jamais marcher entre toi et moi.
— Est-ce que je ne suis pas suffisamment bien pour toi ?
Elle a essayé de l'embrasser mais il a détourné la tête.
— Arrête Anna..
— Mais pourquoi ?!... Hamdan ?.. je t'aime !..
— Eh bien désolé mais,... je ne suis pas amoureux de toi.
— J'aurais dû m'endouter que tu étais comme les autres mecs, te barrer juste après avoir eu marre de moi. Je me suis fait assez de film dans la tête, croyant que j'étais dans un conte de fée.
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Après avoir se parler, Anna s'était effondré et elle s'en alla en pleurant vers la résidence. Je voulais la suivre mais je me suis dit qu'il vaudrait mieux que je la laisse au moins pour le moment.
Rien ne peut plus blesser quelqu'un que de savoir que les sentiments ne sont pas réciproques. J'imagine ce qu'elle doit ressentir la pauvre..
Bof !... Les hommes ils vont t'utiliser et ensuite te jeter. S'ils ne sont pas amoureux de toi, tu ne seras qu'une simple distraction pour eux.
J'avais de l'estime pour Hamdan, mais après ce que je viens d'entendre je ne sais pas si je peux garder encore une meilleure opinion de lui. Ce n'est pas bien de jouer avec les sentiments d'autrui.
Il était temps pour moi de rentrer à l'hôtel, alors je suis allée dire aurevoir aux filles avant de partir. J'ai récupéré mon manteau et en sortant j'ai croisé Hamdan au couloir.
— Bonsoir votre Altesse !
— Bonsoir Sibel, comment tu vas ? Je suis désolé je n'ai pas pu partir te voir, mon père avait besoin de moi ici au plus vite. J'espère que tu t'en es remis.
— Oui ça va, je vais bien. J'arrive à garder le moral.
— Ah c'est ce qu'il faut. Alors tu rentres ? Me demande-t-il son regard dans le mien.
