Guram Tome1

Chapitre 18 : jeu de regard

-.....Vous pleurez ?

Eden essuya rapidement ses larmes traîtresses. Marmonant du mieux qu'il put qu'il avait étę surpris.

Il avait une manière de s'exprimer en sparte très particulière , Remplaçant les son qu'il n'arrivait pas à produire par leurs équivalent en Ylenois.

Si Galard ne se l'avouait pas, en réalité, il trouvait son Fiancé adorable.

Mais cette crainte manifesté à chaque fois qu'il tentait de l'approcher le laissait confus, il comprenait les réactions du plus jeune à son égard quand à la fois son instinc d'alpha lui hurlait qu'il devait se rapprocher de lui, lui faire comprendre qu'il n'avait aucune raison d'avoir peur.

Mais sa raison prenait le dessus et il abondonnait rapidemment ses pulsion qu'il jugeait indécentes et maintenait ses distances ou  du moins, il les maintiendrait jusqu'au mariage .

C'est en partie par crainte de la réaction de celui qu'il appellait Den, qu'il ne lui avait pas proposer de s'installer dans sa maison famillial Plus éloigné du portLe jeune Ylenois était beaucoups trop imature et pas encore adapté avec cet univers qu'il jugeait bon d'attendre encoren

- tu vas partir ?
- non, je devrais rester pour deux jour encore j'ai beaucoup de travail .

Eden pencha sa tête sur le coté tentant de mieux interprêter les dires du sparte. Galard répeta alors sa réponse plus lentemement et l'oméga tiqua :

- Non, 𝒕𝒐𝒊 𝒆𝒕 𝒎𝒐𝒊 𝒗𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒓 ?
- 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒓 ? 𝑴𝒂𝒊𝒔 𝒐𝒖̀ 𝒕𝒖 𝒗𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒓 ? s'étonna le sir

Eden, se tortilla rougissant à l'effet des mains de l'alpha resté sur ses hanche.
- 𝒋𝒆 , 𝒕𝒖 𝒂 𝒅𝒊𝒕 𝒍𝒂 𝒅𝒆𝒓𝒏𝒊𝒆̀𝒓𝒆 𝒒𝒖'o𝒏 𝒊𝒓𝒂𝒊𝒕 ...𝒇𝒂𝒎𝒊𝒍𝒌𝒆 ?

Galard fixa son oméga incertain . Avait-il mal compris son explication ?

car il lui emblait bien avoir fait part de son intention de le laisser vivre au manoir jusqu'au mariage à cause de sa famille. Mais là, il doutait sincèrement de quoi il était question.

Puis il se souvint que malgré ses nets progrès, Den ne parlait pas encore complètement sparte, il aurait pu mal interprêter certain mots.

Mais son regard plein d'espoir lui disuada de rectifier l'erreur.

Il demanda prudemment :
-𝑇𝑢 𝑣𝑒𝑢𝑥 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑟 ...𝑐'𝑒𝑠𝑡 𝑐̧𝑎 ?
Eden hocha la tête un peu plus méfiant.

-𝑬𝒕 𝒕𝒖 𝒂𝒔 𝒖𝒏𝒆 𝒊𝒅𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝒐𝒖̀ 𝒕𝒖 𝒗𝒐𝒖𝒅𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒂𝒍𝒍𝒆𝒓 ?

Eden devient soudain plus rouge qu'il ne l'était déja, et marmonna des truc itelligible. Il avait honte et finissait par se sentir comme un enfant. Au bout de quelques secondes il pointa le torse de l'alpha.

-𝒕𝒖 𝒗𝒆𝒖𝒙 𝒂𝒍𝒍𝒆𝒓 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒎𝒐𝒊 ?! S'etonna t-il .

Là, les choses échapaient totalement se son contrôle. Il vivait toujours dans le domaine famillial, domaine qu'il n'était pas prêt de quitter de si tôt.

Et Les Orvans  déja qu'ils avaient du mal à acepter le fait qu'il se soit lié avec un Oméga dans leurs dos et qui de plus n'avait pas encore de nom de famille* leur mettait en rogne , il se méfiait de leurs réaction lorsqu'ils comprendront qu'il n'avait en fait même pas encore marquer l'oméga en question.

Il soupira passa sa main sur son visage. Eden de plus en plus inquiet l'observait en silence.

- 𝑱𝒆, 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒅'𝒂𝒄𝒄𝒐𝒓𝒅. 𝑻𝒖 𝒑𝒐𝒖𝒓𝒓𝒂 𝒗𝒆𝒏𝒊𝒓 𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒎𝒂𝒊𝒔𝒐𝒏 ....𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒊𝒍 𝒗𝒂 𝒇𝒂𝒍𝒍𝒐𝒊𝒓 𝒒𝒖𝒆 𝒕𝒖 𝒇𝒂𝒔𝒔𝒆 𝒒𝒖𝒆𝒍𝒒𝒖𝒆 𝒄𝒉𝒐𝒔𝒆 𝒂𝒗𝒂𝒏𝒕.

Eden le regarda étonné.

-𝑪𝒆 𝒏'𝒆𝒔𝒕 𝒓𝒊𝒆𝒏 𝒅𝒆 𝒕𝒓𝒆̀𝒔 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒍𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒏𝒆 𝒕'𝒊𝒏𝒒𝒖𝒊𝒆̀𝒕𝒆 𝒑𝒂𝒔. Et il lui sourit, faisant rougir une fois de plus l'oméga.

Galard voulu caresser la nuque du plus jeune et sur laquelle il louchait regulièrement depuis quelque temps mais Eden s'éloigna brusquement les yeux écartiller et s'enfui du bureau.

Galard soupira à nouveau mais décida d'attaquer la pile de documment qui le narguait depuis une table basse à quelques pas de là.

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Le diner n'allait pas tarder à être servit quelque part au loin, on entendait des chouettes houlouler, dans la noirceur du compté.

Au loin, par les fenêtres de la salle à manger, le soleil prenaît congé du ciel dans un magnifique tableau au dégradé de bleu.

Eden avait rarement pu voir de tel couché de soleil. érèth était une cité dissimulé dans la forêt.

Guérida avait fini de disposer les couverts et servait desormais de la soupe à Eden ainsi que plusieurs acompagnement.

Elle servit Galard de la même manière mais les plats semblait différents, enfaite il y avait juste de la viande. Un bon gros steak fumant ainsi que des ailes de vollaile enrobé d'une sauce caramélisé. même s'il comprenait les differents régimes alimentaire des différents peuple du guram. Il ne pouvait s'empecher de jeter une oeillade dégouté au morceau de chair.

lorsqu'il leva les yeux vers Galard, son Alpha avait déja les siens rivé vers lui. Mais il ne semblait pas le regarder, il semblait perdu dans ses pensés au raclement de gorge émi par la guérida il revint sur terre0.

- 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑎𝑝𝑖𝑡𝑎𝑙𝑒, 𝑙'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟 𝑛𝑒 𝑣𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑡𝑎𝑟𝑑𝑒𝑟 ! S'exclama cette dernière d'un air enjoué.

- 𝐿'𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́ 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟 ? 𝑄𝑢'𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒 ?
- 𝐼𝑙 𝑠'𝑎𝑔𝑖𝑡 𝑑𝑒𝑠 𝑂𝑚𝑒́𝑔𝑎𝑠 𝑑𝑒𝑠 𝑟𝑎𝑓𝑡, 𝑖𝑙𝑠 𝑣𝑜𝑛𝑡 𝑓𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟 𝑖𝑚𝑝𝑒́𝑟𝑖𝑎𝑙 𝑒𝑡 𝑦 𝑑𝑒𝑚𝑒𝑢𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑗𝑢𝑠𝑞𝑢'𝑎̀ 𝑐𝑒 𝑞𝑢'𝑖𝑙 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑎𝑡𝑡𝑟𝑖𝑏𝑢𝑒́ 𝑢𝑛 𝑝𝑎𝑟𝑡𝑒𝑛𝑎𝑖𝑟𝑒. expliqua le sir sereinement entre deux bouchés de son steak.
-𝑇𝑒𝑠 𝑎𝑚𝑖𝑠 𝑓𝑒𝑟𝑜𝑛𝑡 𝑠𝑢𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑒𝑛𝑡𝑟𝑒́𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑐𝑜𝑢𝑟 𝑒𝑛 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑡𝑒𝑚𝑝𝑠. lui sourit-elle.
Eden senti son coeur ratter un battement, il ne pouvait s'empêcher de se sentir engoisser vis à vis de cela, son mariage approchait à grand pas aussi et il se doutait bien que c'est cet élément qui rendait la guérida toute heureuse.

D'ailleur celle-ci au moment d'entamer le dessert manqua pas de faire des critiques quant au coportement de son filleul qu'elle jugeait selon elle trop froid vis à vis de son oméga.

Eden écoutait d'une oreille distraite finissant sa salade de fruit à coup de petit soupire d'extase.

Il était toujours nerveux mais désormais il ne pensait plus à Yule, il avait foie qu'il se reverrai il était plutôt engoissé à l'idée d'aller chez son Alpha. Plus au sud dans la béręmie. Il priait les dieux que tout se passe bien. Quelque chose le taraudait toujour aussi.

Le service qu'il devait faire avant de partir, il eu honte de s'etre enfui avant d'avoir su de quoi il s'agissait. Il risqua un regard vers lui,
Galard était ocuppé à nettoyer ses lunettes et échageait avec la plus vielle des Omégas.

un instant, loin de son habituelle air glacial et calculateur, Eden le trouva beau.