chapitre 5 : la traversée

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Il eu un moment de silence où les omégas se fixèrent entre eux se demandant s'il devaient ou non éxecuter l'ordre .

Yule très terre à terre se doutait qu'ils n'avaient pas vraimment le choix . Mais se mettre à nue devant des gens extérieur à son clan alphas de surcoit était quelque chose d'impensable.

La nudité était sacré chez les Ylenois. Autrefois avant que le fleuve ne sépare les terres et les forets ,les hommes vivaient en harmonie . sans argent et sans vêtement, la confiance et la paix regnait. Mais un jour un homme trahit la confiance des dieux et désobei à leur commandements. Ceci fut le debut de la naissance des castes, des genres et de la peur.
On se couvrait dehors.Devant les autres. Les gens que l'ont ne connaisait pas. Montrer sa nudité était un signe de confiance. D'harmonie, de paix. Du moins ça l'était dans la culture Ylenoise.

Mais il y avait eu la guerre, le peuple était soit mort, soit forcé à l'exile de ses terres.
Pouvait-on encore dire qu'il y avait une quelquonce culture ? quoi qu'il en fut, Les spartes semblaient accorder peu de scrupule à cette notion.

Yule chercha du regard les plus âgés des siens et su qu'ils étaient eux aussi parvenu à cette conclusion. Il fut le premier à initier le mouvement.

Le beta le regard hagnard semblait toujours s'impatienter.
Alors Yule déboutonna son pontalon, délia le tissu qui lui servait de ceinture, retira ses bas, dévoilant ses cuisses au couleur mate de l'été. puis finalement son chemisier. Les plus jeunes suivirent le mouvement et lentement enlevèrent leurs vêtement un à un. Tranblant de froid et presque nu sous les yeux des soldats. il fut le premier à piocher dans la charette de quoi se couvrir.
Les tenues étaient exactement Pareils. Il s'agissait d'une robe aux manches boufantes qui decendait jusqu'au genou acompagné d'un caleçon dans le même tissu
. Elle n'avait pas d'ornement ou de decoration particuliere si ce n'était que sa couleur, rouge vif ; L'emblême sparte.

Tout sembla se derouler sans encombre jusqu'à ce que le beta en orange pointe du doigts la petite fille aux corne encore translucides.
-toi ! Enlève ça aussi.

l'objet en question était un gant en cuire. De ceux là qu'avaient les archers. à première vu il n'y avait rien d'etrange. Eden trouva bizzare que le sparte demande à la petite cornu de se défaire de son gant surtout qu'elle semblait y tenir à coeur vu comment elle le serrait contre son sein ajouté à cela qu'il ne s'agissait là que d'un gant.

- ce n'est qu'une enfant ! Laissez-là tranquille la pauvre elle n'a même pas deux cent lune ...avait proclamé Taira rebelle, de sa petite taille et le poitraille encore dénudée.

Mais le soldat ne voulu rien entendre et empoigna violamment ladite enfant pour lui retirer le gant par lui même.
La cornu se débatta de toutes ses forces, mordant et griffant le soldat sans relâche.
Ses ainées voulurent intervenir mais ils avait beaucoups trop peur pour pour n'esquiser le moindre geste.

Une fois qu'il l'eu retirer le gant. Le beta entreprit d'habiller l'enfant de lui même.
Encore une fois, elle se débatit avant de s'épuiser et de ployer sous la pression. La petite altercation avait refroidit l'endemble des soldats et des omégas.
C'était toujours dificile de voir un oméga en danger. Et même si ce n'était pas vraimment le cas. L'instinct des alphas leurs poussaient à vouloir les protêger. Alors voir tout ces omégas perdu et apeuré était quelque chose de dificile et quelque peu frustrant.

lorsqu'ils furent tous changés.

Le général leur indiqua ou plutôt indiqua à Yule, taira et aux plus agés qu'ils prendraient le chemin de la montagne. Ces derniers hochèrent la tête et la troupe s'avança dans la forêt.

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Cinq il n'y avait que cinq alphas Dans toute la délégation.
Le reste des soldats n'étaient que des betas.
Cela fesait presque trois heure qu'ils avançait dans la forêt à pied dans la fraicheur de la matinée Le groupe s'était diviser en deux, Les carroses et les chars avaient prit " le chemin de la terre " : Un long sentier qui longeait le fleuve vers le nord et qui débouchait sur un point d'eau. plus long mais plus sur.

la foret du jul était situé tout autour du fleuve sacré et au pied d'immense collines. grande et vaste elle abritait en son sein plusieurs peuples et village Ylenois.
dans leurs périples, Ils virent l'un d'eux. Kita plus pauvre qu'érèth ( le village d' eden ) avait été sacagé, ses maison en chaumes avaient été brulé et les vestiges encore fumantes semblaient les observer.
Ou du moins c'est l'impression qu'eu Eden en passant devant.

la traversé dans la montagne fut compliqué. La troupe de soldat avait choisis le moyen le plus rapide d'arriver en terre sparte.
Un ancien chemin de randonné qui coupait la montagne en deux.

Malheuresement avec la guerre, il avait été abimé par la pluie et les écoulement. de nombreux ravin avait fait leurs aparition depuis et il n'était pas rare de croiser des niz d'ursule ( rapace géant ) par moment.

Néamoins il réusirent à avançer une bonne partie du chemin sans encombre et aux abordure du soir après avoir marcher toute la journée. La troupe changea de direction et s'eloigna du chemin de randonné.

ils s'enfoncèrent plus profondement dans la forêt . Jusqu'à déboucher à la sortie.

Eden trouva Le spectacle magnifique; un lac, Gigantesque masse sombre imobile au centre des collines, tel un miroir sécialement concu pour les cieux.

Les spartes semblaient avoir décider de faire escale ici, puisqu'il posèrent leurs bagages au sol.
L'un des beta chargé de leur surveillance guida Eden et ses compagnons, vers un amas de bois disposer en cercle autour d'un feu éteint. "- Ils étaient déja vennu ici .."
pensa Yule en prenant place sur l'un des banc improvisé mis à leurs disposition. à partir de là les conversation débutèrent du coté des spartes. Animées joyeuses, ils avait tous prit place non loin d'eux. Déballant des couvertures de leurs affaires et allumant des feu.

Eden poussa un soupire de pure plaisir en croquant dans la chair juteuse de sa pomme Javayanne.
Un instant il cru que les spartes ne daigneraient pas les nourir et qu'au contraire il les laisseraient affamés sur la berge en attendant le lendemain de reprendre la route.
C'était un peu plus tard dans la soirée. Des gros baluchon de fruits, de feuille comestible et de champignon leurs avait été servi par leur geoliers. Eux aussi dînaient joyeusement acompagné d'un peu d'alcools pour certain. Leur bavardages parvenait jusqu'à eux.

Eden en profita pour mieux les observer; ils était tous, grand. Effrayants, pensat-il. mais pas dans ce sens-là. Leur cornes luisantes dans le noir étaient presque toujours allongées legerement courbées vers l'arrière de leurs cranes ou vers les hauteur.

Leurs chevelure aussi était sombre et leurs peaux très pale. Tanto violette tanto bleuté ou orangé. Aucune imperfection semblaient l'atteindre.

Une autre chose que Eden nota fut la présence de canines chez eux. En faite il l'avait remarqué depuis un momment dejà mais son cerveau semblait se refuser à digerer cette information : C'était un peuple de carnivore...

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Guram  Tome1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant