Guram Tome1

Chapitre 34 : Raillure

En traversant la pièce qui lui servait de chambre à travailler, Elec renversa le métier à tisser.

De toute manière il ne l'avait jamais aimé, c'était un travail beaucoups trop laborieux et nécéssitant trop de précision.

Les couleur des fils était trop sombre, trop gris et trop neutre, à l'image de Fuarre. Pas assez chalereux visiblement...

Peut-être à l'image de son ex-gura aussi surement.
D'ailleur les rideau aussi, les draps, les couverts. Qu'est ce qu'il detestait cette atmosphère !

Il eu envie de rejoindre son hamac dans le jardin. Mais les chances pour que Fuarre ne le laisse poser un seul pied à l'extérieur étaient minces.

Il tapa dans un coffre en bois. Et pris de transe se mit à dechirer les couvertures tissées précédément. Sanglotant et trésautant.

Cela ne lui avait jamais prit. De telle crise de jalousie.

Mais se savoir rejeter ainsi, au point de ne même pas meriter  de l'affection de son compagnon était trop pour lui.

Ces derniers temps, on ne pouvait plus dire qu'il était comme avant. Ce lieu le rendrait fou à terme.

dans la soirée, la princesse de kan le rejoignit. il n'était plus sorti après çela et l'alpha n'avait pas chercher à le voir non plus :

- je t'ai apporté à manger, Elec.

Dépité le susnomé jetta un regard blasé à son plateau repas.

- je vous remercie mère , je n'ai pas très faim ...je mangerais plus tard.

mais la princesse ne sembla pas l'entendre de la même manière :

- Elec, je comprend que tu puisse être fustré, mais il va bien falloir que cela cesse un temps. d'ici quelque lunes tu verra, une fois que la gouverneuse t'aura pleinement acepté, tu pourra papilloner où tu voudra mais pour l'instant, n'est-il pas mieux d'obéir tout simplement ?

L'oméga renifla. Ce n'est pas comme s'il n'avait pas déja pensé à cela. Ce qu'il dètestait être lui à l'instant...

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Pendant ce temps aux frontières lituaniennes, Un homme retournait la terre dans un bois.
Arold était un homme indépendant et extrémement compliqué à satisfaire.

Il n'aimait pas la compagnie, et préferait le calme et le travail dans lesquelles d'ailleurs il se réfugiait toujour. Assa lui n'était pas très demandeur non plus. De ses journées, il tissait, cousait, nettoyait ou faisait macérer des raciner. Leurs journée se rythmais comme cela sans interaction plus que nécéssaire et sans altércation.
C'était assez satisfaisant.

Depuis une demi lune qu'ils s'étaient installé dans ce petit village aux maison parsemée qu'il n'avait pas vraimment croisé de gens.

Quelques omégas des foyers alentours passaient souvent par là pour se rendre à la forêt faire la ceuillette.
Assa aussi avait envie de faire de la ceuillette mais il ne connaissait pas ces gens, et cela l'effrayait un peu.

Un soir, Arold fini de poser des échafaudage en bois derrière la maison. IL avait prévu d'agrandir le lieu pour aceuillir une possible portée et s'il voulait finir ce travail seul et sans aide, il allait falloir se dêpecher.

- 𝐴𝑙𝑝ℎ𝑎...

Et voilà que l'Omega  se mettait à lui parler...

- 𝑄𝑢'𝑖𝑙-𝑦-𝑎 𝑡-𝑖𝑙 ?

- 𝐿𝑒 𝑑𝑖̂𝑛𝑒𝑟 𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑟𝑒̂𝑡 ..

- 𝑗'𝑎𝑟𝑟𝑖𝑣𝑒 ...

Et il vint.

Dans la maison, à table près d'un feu crépitant, une grande casserole de soupe fumante. Assa prit un bol et servit deux grande louche du mélange de légumineuses.

Arold reprima une grimace, il n'aimait pas tant que ça la soupe de légumes, le régime végétarien de l'Ylennois le dérangeait bien. Il irait chasser un de ses jours. Quelque part dans la cave, il devait rester une carabine et des munitions.

Assa semblait agir nerveusement depuis le début de la journée. Dans ses grands chandails en laine il faisait des aller-retour entre les chambre à l'étage et la cuisine.

Petextant de faire du ménage.
à table il ne semblait pas non plus vouloir toucher à son plat, triturant nerveusement ses doigts.

- 𝐼𝐿 𝑦'𝑎 𝑢𝑛 𝑝𝑟𝑜𝑏𝑙𝑒̀𝑚𝑒 ?

L'oméga sursauta, jetta une oeillade inquiète à arold avant de baisser à nouveau la tête cherchant ses mots.
Arold lui, le fixait calmemant à la fois ennuyé et intérréssé. Jusque là, l'oméga n'avait pas poser de problème, s'ocupant de tâches ménagères basiques dont il était d'usages aux omégas de faire.

Qu'espérait - il avoir de lui?

- 𝑗'𝑎𝑖 𝑓𝑎𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑛𝑖𝑑 ...

Arold fronça les sourcils, pensif. qu'est ce qu'il était sencé comprendre de ça ?

-𝑒𝑡 ?

Assa tritura une mèche rousse.

- 𝑜𝑛 𝑎 ...𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 𝑡𝑢...𝑒𝑛𝑓𝑖𝑛 , 𝑎𝑙𝑝ℎ𝑎 ...
𝑙𝑎 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒..

termina t-il nerveusement .

- 𝑄𝑢𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 ?

- 𝑁𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 , ...𝑜𝑛 𝑎 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑢 𝑛𝑜𝑡𝑟𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 ...

- 𝑚𝑎𝑖𝑠, 𝑡𝑢 𝑒𝑠 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 ?

Assa écartilla les yeux d'incompréhension.

- 𝑗𝑒 ...𝑛𝑜𝑛.

- 𝑚𝑎𝑖𝑠 𝑝𝑜𝑢𝑟𝑞𝑢𝑜𝑖 𝑡'𝑎𝑡𝑡𝑒𝑛𝑑 𝑡𝑢 𝑞𝑢'𝑜𝑛 𝑐𝑜𝑛𝑐̧𝑜𝑖𝑣𝑒 𝑢𝑛𝑒 𝑝𝑜𝑟𝑡𝑒́𝑒 𝑠𝑖 𝑡𝑢 𝑛'𝑒𝑠 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑠 𝑒𝑛 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟.

- 𝑗𝑒 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑎𝑠 . 𝐽𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑎̀ 𝑎𝑣𝑜𝑖𝑟 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 ...

cette fois ce fut au tour du general d'arquer un sourcil dubitatif.

- 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 ?...

- 𝑗𝑒 𝑛'𝑎𝑖 𝑝𝑎𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑐̧𝑎 ....finit Assa rouge pivoine et inquiet .

-𝐿𝑒𝑠 𝑜𝑚𝑒́𝑔𝑎 𝑑'𝑌𝑙𝑒𝑛𝑛 𝑛'𝑜𝑛𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑏𝑒𝑠𝑜𝑖𝑛 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟 𝑝𝑜𝑢𝑟..𝑐𝑜𝑛𝑐...𝑐𝑜𝑛𝑐𝑒𝑣𝑜𝑖𝑟.

-" 𝑂ℎ..." fut tout ce qu'Arold pu répondre face à un Assa mi embêté, mi embarrassé. C'était peu dire.
Dans les plans d'Arold les choses ne se déroulaient pas aussi vite.

D'ailleur il ignorait complètement le mode de fonctionement des cycles des oméga cela lui interressait très peu. Après tout les seuls gens qu'il avait eu à cotoyer de cette caste était des gens de plaisirs. Encore une fois  les seuls relation qu'il eu plus jeune fut avec des bêtas. En dehors de cela, il n'avait jamais entretenu de relation avec des omégas, males de surcroît. Et donc, plus rare.

Mais la famille royale aimait se targuer d'en avoir dans la famille : et comment ? Entre le prince consort, la nouvelle gura du gouverneur de lituanie, le petit duc d'oustankie et l'un des héritier impériaux, il avait assurément le nombre le plus élévé d'omégas mâle dans une famille.
Et ces derniers voulait perpétuer la tradition visiblement, vu les mésures misent en place pour obtenir un futur prince consort. ça ne s'annonçait pas dr tout repos.