chapitre 40 : l'art de séduire 2 🍋

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- Tu sait qu'il n'est pas encore temps n'est ce pas ? Lui dit-il prudement.

Las de lui acorder sans cesse le bénéfice du doute.

Assa fronça les sourcil :

-Tu dit ça parce que tu n'a pas envie de moi, ou juste parce que tu veux attendre l'automne ? Fit l'oméga mécontent.

Arold soupira, il avait l'impression de marcher sur du verre avec l'oméga, qui l'eu cru qu'il soit aussi têtu et buté ?

Il se releva :

- ce n'est pas ça garçon j..

-ne m'appelle pas comme çela...

Un nouveau soupire las,

- d'accord. écoute je sais que tu veux une portée rapidement ...d'ailleur je peux comprendre, mais on a même pas fini d'aménager, et l'endroit n'est pas assez spacieux, tu comprend ..?

Non, Assa ne comprenait pas et surement qu'il ne voulait pas comprendre. À Ylenn les gens ne se posaient pas mille et une question avant de se decider à procréer.

- je n'ovulerai pas ....menti t-il alors.

Arold ne fut pas convaincue, mais voir l'oméga assis sur ses jambes comme cela à moitié devêtue était si..spécial. Surtout lorsqu'il savait qu'il était sien.

Assa qui avait remarqué comment l'alpha lorgnait sa poitrine entreprit de se défaire d'une de ses bretelles.
Arold releva alors son regard vers lui et L'oméga papillona des yeux, dans un sourire inocent.

arold soupira, qu'est ce qu'il ne fallait pas faire. Ses mains  retrouvèrent timidement les hanches de l'oméga, dans une étreinte lente. Elles caressèrent ses cuisses charnue, ça faisait longtemps quand même, se dit-il.

Cela sembla plaire à Assa qui roula légerement du bassin en signe d'impatiente.

Doucement, Arold déposa des petits baisers dans le cou du plus jeune continuant de masser légèrement ses courbes. Le plus jeune émettant délibérément des plaintes supplicante.

Cela dura un moment, au bout du quel Arold finit par osé un doigts sous la pression du plus jeune.

Ils finirent même par passer les préliminères, toujours dans la même position car Assa était beaucoup trop petit en comparaison du sparte pour pouvoir esperer etre prit sur le dos.

Arold fut étonné de découvrir que le corps d'un oméga mâle était légèrement différent de celui d'un alpha ou d'un bêta du même genre.

Assa avait un corps apétissant, tout en chair et bien proportionné. Il n'avait pas preter attention au début mais les cheveux d'assa était quand même vachement long,  lui tombant presque au niveau des reins.

Tenant par les hanches le corps à moitié avachie de l'oméga, il l'aidait à se mouvoir sur lui, tandis que ce dernier lachait des gémissements plaintif et regulier. Griffant par moment son torse de ses petit doigts.

- mord moi... suplia t-il au bout d'un moment.

Arold haussa un sourcil ? Ne  l'avait-il pas  déjà marquer ? Pourquoi lui demandait-il encore cela ?

Griser par le plaisir il s'exécuta tout de même et mordilla la chair sur l'epaule du plus jeune. Mais Assa en voulu plus:

- Non pas comme ça,... mord moi plus fort ... demanda t-il, les yeux embrumé. Mais avant qu'il ne puisse s'exécuter, il eu un soupir. Puis Assa ferma les yeux et se laissa glisser sur le lit. S'allongeant sur le coté.

"Bon dieux que cela faisait du bien mine de rien." Se dit le rouquin quoi qu'un peu insatisfait que l'alpha ne l'ai pas mordu comme il espérait.

Une odeur muscée flottait dans l'air.

- ça va ? s'enquit Arold.

il eu un soupir de pur satisfaction en réponse.

- je t'ai fait mal ?

- c'était bien...

Il eu un long moment de silence , puis il s'enquit de nouveau :

- tu n'ovuleras pas., si ?
- ...
il n'eu pas de réponse. Peut-être dormait-il déja ? Il en douta
et soupira de nouveau, ferma les yeux et plongea dans le sommeil.

Au petit matin, il se pu se rendre compte que l'oméga n'avait pas bougé, au contraire, il était rester là serrant fermemant son bras contre sa poitrine moelleuse comme s'il avait peur qu'il disparaisse soudainement.

" Un oméga portant un nom de l'eglise hein ? " se dit-il à lui même.

Il finit néamoins par se dégager de la prise du plus jeune et sortir couper du bois. Il sentait bon l'herbe et le romarin dehors, une odeur qui l'avait bercé durant un court instant de son enfance.

à son retour, Assa était comme à son habitude au fourneau. S'attelant à couper un tranche de pain croustillante à l'aide d'un couteau pas très ..convenable pour l'ocasion. Mais Arold ne lui ferait pas la remarque. non il ne lui l'a ferait pas.

L'Oméga n'avait pas prit la peine d'attacher ses cheveux, et traînait dans une espèce de longue robe de chambre noir qui ne lui flattait guère.

- Alpha aurait pu me reveillé, j'aurais préparer le dejeuner plus tôt. Murmura t-il en posant une assiette de soupe fumante devant Arold.

" Boudait-il ? " Adorable quand même.

- Nous devrions inviter ma mère.
Annonça t-il alors en prenant place.

Assa haussa un sourcil :

-Tu en as une ?

L'alpha sourit.

- Comme tout l'monde, elle vit à suronte- hyegzner au nord parcontre.

- pourquoi tu voudrais qu'elle vienne ?

- pour la portée, il faut bien que quelqu'un s'occuppe de toi.

Assa aquiesça silencieusement.
Et s'installa à son tour à table.

- tu ne tombe pas malade à force de manger toutes ces noix ? fit l'alpha mine de rien, fixant le bol plein à rabord d'un mélange de fruit à coque et secs.

- dans mon village en Ylenn les noix constituaient notre principal repas. Et les champignons aussi. Repondit il sous la défensive.

- Oui, il mangeaient aussi avec les doigts visiblement.

Et il eu droit à une oeillade meurtrière de la part du plus jeune.

Mais Assa avait l'air irrité ce matin, comme si quelque chose n'allait pas.

- ne fais plus ça....

lui dit-il finalement au bout de quelque minute de reflexion intense où ses sourcils étaient dangeresement froncés.

- quoi donc ?

- je...partir, m'abondanner tout seul dans tes draps...

Cette fois ce fut au tour d'Arold d'hausser les sourcils.

Assa avait dit ces mots comme une confidence, la voi tremblante et le regard fuyant comme lorsqu'on parlait de quelque chose qui nous avait profondément marqué.

Et Arold en fut sur, cela allait bien au déla du fait de juste l'avoir laisser seul ce matin.

Puis Assa eu un regard hésitant, triturant les manches de son chemisier nerveusement.

- je peux m'assoir avec toi ? Demanda t-il finalement.

Arold passa son regard de sa soupe à Assa avant d'ajuster sa posture et de lui faire signe d'approcher.

C'est comme çela qui se retrouva à dejeuner avec un petit oméga roux sur ses jambes, la tête dans son cou , humant ses phéromones comme s'il ne les avaient pas senti depuis une éternité. Adorable...

" c'était confortable la vie de couple " se fit remarqué alors  Arold.

Guram  Tome1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant