Guram Tome1

Chapitre 29 : retraite forcé

Siège de l'armée impérial.
Bureau de la gouverneuse de Sparte.

Ric posa lourdement son casque sur la table en bois du bureau .

Lorsque il eu prit part de la convocation  de l'église, il su qu'il n'y échapperait pas. Et les dieu spartes et Ylennois ensemble savaient ô combien il abhorrait cet endroit. Ce n'était pas la première fois que la gouverneuse des églises Spartes le convoquait à son bureau.

Aujourd'hui elle  arborait une longue chevelure noirâtre, contrastant avec sa tenu religieuse, une longue robe poupre qui rappellait à Arold des souvenirs douloureux.

Malheureusement, l'armée sparte faisait partit de ces institutions, avec les comunautés protestantes et l'asemblée des  gouverneurs de région, qui étaient sous la coupe étroite de l'église.

Si la gouverneuse n'était pas chef de l'armée, elle n'en démeurait pas moins importante, car c'est elle qui supervisait les entrainement des jeunes recrus et "l'élévage" des soldats à en devenir.

- Assieds-toi Arold, Nous avons beaucoups à nous dire ...

- je préfèrais rester debout, mère.

Elle lui sourit faussement.

- tu as toujour été un tantinet complexe Arold. commença t-elle.
La guerre est fini.  Les omégas sont notre, les terres aussi, tu as été grassement récompensé pour ton travail et pourtant, la seule chose que tu pense à faire c'est retourné au front, te battre. Mais contre qui Arold, contre qui ?

- Vous savez mieux que quiconque comment les frontières sont affaiblies après chaque guerre, pourquoi tentez vous de m'empêcher de défendre mes terres ?

- Il y'a eu des plaintes, fils ...

- de la part de qui ?

Elle lui sourit à nouveau, avec ce regard que seuls ceux qui te connaissent bien t'offre.

- De tes soldats,... de qui d'autres croit-tu ?

- Ce n'est pas un problème, je peux m'en charger. L'armé a prêté allégeance à l'église mère, la couronne et l'assemblés des gouverneurs. Ils seront obligés de respecter leurs engagement.

- Arold, Quogi va avoir un fils, un oméga de surcoit !  Son premier  a déja six ans,  et il ne l'a vu qu'une seule fois ces dernières années... Yiard doit se rendre au chevet de ses parents pour reprendre la ferme famillial et Gulem tombe en dépréssion depuis peu ...énuméra t-elle.
La guerre est fini Arold. Il ne sont pas tous comme toi.

Le general ne dit rien. Mais serra ses poings, il commençait déjà à deviner  le pourquoi du comment il se trouvait ici, là..., maintenant.

- Le prince veut que je te rétrograde.

Cette fois ce fut de la stupéfaction qui maquilla son visage . 

- Tu es trop dur avec toi même et nos soldats. ça impacte leurs humeur et leurs efficacité. Ne t'inquiète pas, ce n'est que temporaire.

- Temporaire ?! Mais pour qui il se prend ce petit insolent ! A t-il déja oublié qui l'a formé jusqu'à maintenant ?

Les voluptes de la fumné d'encent qui brulait quelque part dans la pièce et la tension qui regnait entre les deux alphas  donnait une atmosphère fatidique  à cette scène.

- Je pense que non.

Il eu un silence puis :

- tu est démi de tes fonction en tant que general durant les dix lunes suivante Arold. C'est un commendement que tu ne peux contrer, tu sais, l'armée comme tu l'a si bien décrite c'est aussi ça.

Le sparte aux cheveux grisatre passa une main sur son visage désemparé massant avec insistence son menton imberbe.

- N' y a-t-il là rien que tu ne puisse faire ?

- Non.... Arold il y'a aussi autre chose ...

Le susnomé releva le regard vers la femme. Celle ci arborait désormais une mine inquiète.

Que pouvait-il y avoir donc de plus terrible que ce qui lui arrivait ?
L'empereur avait-il été mit au courant de l'affaire Orvan ?

- Quoi donc ?

Elle mit un temps avant de lançer.

- L'empereur t'a fait un... cadeau ..

Si la surpire avait un visage ce serait sans doute celui d'Arold en ce moment. Les cheveux en bataille raméné négligémment derrière son dos, les yeux écartillés et la bouche entrouverte attendant avidemment des mots qui répondraient à ses interrogations.

- tu approche des quatres cent lunes. Et cela fera bientôt vingts douzaine que tu travaille pour ce poste.
Je ne vais pas y aller de main morte. L'empereur va avoir un enfant ...sa caste reste à determiné, mais il y'a de forte chance qu'il soit un Alpha .   il voudrait que tu lui offre un fils.

- ....Comment ? ...

- Il t'a gracié en quelque sorte,  d'un Oméga.

- pardon ?!

- Arold, je sais que c'est difficile pour toi de comprendre pourquoi. Mais l'empereur a toujours marché  main dans la main avec l'église et l'armée, il faut consolider les liens qui nous unis. Tu es le mieux placé pour acceuillir en ton nom, un prince ou une princesse impérial.

- Attendez ! ...attendez, je ne vous suit plus mère.

- L'emperreur espère que vous lui donnerez un enfant. Il souhaiterai faire une union avec le nourison qui va bientôt naître, afin que l'église et l'empire ne fasse qu'un. Ça a toujours été le cas, tu le sais bien. La gura impérial elle même est un enfant de l'église de  Sarth. et la reine douarrière a épousé une fille de l'armée.

- L'oméga

- pardon ..?

- L'oméga, où est-il ?

- pas ici en tout cas.

Il eu un énième blanc entrecoupé par le bruit des cloches de la chappelle.

- il s'appelle comment ?

- Il se prénom Assa. Il vient de l'ouest d'Ylenn dans un village perdu au fond des montagnes. Il ne causera pas de problèmes. Les gens  de là bas sont plutôt pacifique et..dociles.
Il ne parle pas encore bien le sparte mais il comprend bien le Bérémois.

- Ah ...

C'étaitle monde qui lui tombait dessus, aurait-il préféré se faire rétrogradé pour faute et fraude ? Ou trahison à la place ? Il ne savait pas.  ce qu'il savait en revanche c'est qu'il n'avait aucune envie de s'occuper  d'un oméga et encore moins un d'érèth.
Il reprit son casque résigné mais toujours  digne. il n'y avait plus rien à ajouter.

- Arold ...
- mère ?

-Il est à l'église d'Ourme

-oh ...

- Si tu n'a pas envie d'aller le chercher, je me chargerai de son voyage jusqu'à chez toi...

- Non c'est bon, je m'en vais le récuperer.

Sur ces mots il se quittèrent .