chapitre 32: Rose rouges 🍋

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Elec huma l'air frais des plaines lituanienne, la demeure famillial dans laquelle il avait récémment eménagé était juché sur le sommet d'un colline, au milleu de champs.

D'apparence paisible et bonne famille, a propriété s'étalait en réalité bien loin du centre de l'état, à l'extrême nord en fait.

Un manoir portant le nom des Azern se situait au abord de la capitale et faisait office de bureau aux Alphas de la famille.

Seul dans ses draps et mal à l'aise, Elec ne cessa de se rémemorer les évènements de la veille. Après ce moment pieu passé en compagnie de son Alpha, Elec avait cru que ce dernier allait enfin passer au chose sérieuse.

Mais comme tout n'est jamais vraiment ce que l'on croit, Fuarre avait tout simplemment deserté sa propre chambre pour se refugié ailleur.

Et Elec ne conpris pas. Il était resté, il ne savait plus combien de temps dans cette chambre vide, avant que la sihouette massive du  Sparte ne traverse à nouveau les portes de la pièce, les refermant derrière lui.

Avec une lenteur qui fit tiquer Elec, Fuarre se dirigea à l'extrêmité de la chambre. et ouvrit un tiroir d'une comode.

- Allonge toi, ne m'attend pas, lui avait-il dit simplement.

Et sortant de sa torpeur momontanée en comprenant le sens de la phrase de l'Alpha. Elec s'était exécuté le coeur battant néamoins très fort.

Il eu une pensée pour les moines, Et leurs rituels d'épilation douloureuse.
Peut-être qu'au final cela servirait à quelque chose.

Lorsque fuarre revint vers lui, la lueur des bougie s'étaient étteintes, plongeant la pièce dans une pénombre nebuleuse. Seuls les battonêts d'encens encore rougissant se disteinguaient dans un coin d'une table. Parfumant la chambre d'effluves  de menthes et de racines.

à partir de là,  tout se déroula très vite.

Lui qui était assit se retrouva allongé sur le dos, poussé par la main qu'il devinait de fuarre. Il eu quelques bruits, un clinquemment ou un drap fronttant contre une jambes, lorsqu'il senti finalement des mains tatônner son corps il sursauta et tenta de se redresser, mais L'alpha qui était assis au dessus de lui l'empêchait d'aller très loin et de faire tout mouvemment brusques.

On déboutonna sa chemise, et il se retrouva rapidemment nu. Il pu sentir la texture dur d'une barbe rapant sa peau chaque fois que fuarre y possait ses lèvres, et  ses doigts rugeux se frayer un chemin vers son intimité.

Ne sachant  trop pas comment reagir à cela, Elec avait tendance à bloquer le sparte dans son ascension. Serrant ses cuisses lorsqu'ils jugeait incofortable la précense des  doigts de plus âgé dans ses chairs, et refusant de se faire embrasser à cette partie là.

le premier vrai contact fut douloureux pour Elec, Tremblant comme il ne l'avait jamais fait il gardait ses main sur sa bouche pour l'empêcher d'emettre des couinements douleureux. Bien que ça ne marcha pas vraimment. Il n'avais jamais pu immaginer se trouver dans une telle position de vulnérabilité un jour. Lorsque la cadence se fut plus répetitive et qu'il fut habituer un tant soit peu à l'intrusion charnelle,  il cessa enfin de verser des larmes au profit de gémissements légers et plaintifs. Ce frottement régulier, bien que douloureux dans les début, avait quelque chose de plaisant.

Et il fut surprit le premier des gémissements qu'il émit.

Puis les lèvres de fuarre de posèrent sur les siennes, d'abord douce pui pressantes, menant la cadence et forçant l'accès. Pour Elec qui n'avait jamais connu autre chose que la douceurs d'autre omégas, le changement fut si radicale qu'il eu du mal à l'accepter. Résistant aux assauts preques brutaux de fuarre.

Une première fois et au bout d'il ne savait commbien de temps , il sentit son ventre se contracter sous le coup du liquide deversé au creux de ses entraille. Pour autant fuarre ne mit pas fin à l'intrusion et resta plutôt comme ça, à moitiè avachit sur lui.
La pièce était toujour plongé dans la pénombre, et Elec rouge et un peu larmoyant tentait tant bien que mal d'adapter sa position de sorte à ce qu'il est moins mal.

Au bout de quelque temps, Fuarre se releva, ses main de part et d'autre de sa tête. Elec, les jambes toujours posé sur ses cuisses, cachait son visage de ses bras, mordant ses lèvres pour resister.

- Je ne vous aurait pas cru vierge ,lui dit l'alpha entre deux baisers. Elec ne répondit rien, de gêne ? Peut-être quel ne fut pas sa surprise lorsqu'il sentit l'alpha recommencer à bouger à l'intérieur de lui, lui faisant hoqueter de surprise.

Il ne sait pas combien de temps il le firent ni combien de fois cette nuit là. et au petit matin  exténué et courbaturé. Elec s'était reveillé seul dans les draps couvert de sueur et de semence.

La gouvernante, madame Sutra, fit celle qui le retrouva en première, elle le fit prendre un bain et le nourrit. Il n'avait pas dit un mot.

Etait-il un adulte désormais ? C'était de cela qu'il s'agissait ? Cette douleur laçinante qui lançait son postérieur était-elle la signature de son oublie à l'enfance ?
Dire qu'il avait passé la moitié de la journée, dehors alongé sur un
hammac en laine était un euphémisme. Ce n'etait pas tant la douleur mais il avait besoin de repos, surtout s'il voulait donner à son mari une quelquonce porté,  ça pouvait prendre des mois.

La princesse de Kan, était passé dans  l'après midi toute souriante et béate. elle lui avait amenné des petits gateau, et tout le monde semblait au petit soin avec lui. Ce qui le rendait êtremement mal à l'aise.

Le gouverneur aussi était passé, il ne lui avait pas adréssé un mot, c'était comne s'il vérifiait son état à vrai dire. Une main sur son front pour vérifier qu'il n'était pas malade. Avant de repartir,  toujours vêtu de son armure.

la soirée se passa bien, la princesee de kan avait fait pour souper, une roti de vollaile fourée au patate du jardin. Elec, incapable de manger un animal, se contenta des légumineuse qui avait servi de farce à la volaille.

La nuit vennu et alors qu'Elec retrouvait sa chambre, avec toujours un peu de mal, il se glissa jusqu'à son lit, repu et ferma les yeux.

Ce soir, la lune découpait sa silhouette blanchâtre dans le ciel nocturne, elle n'était pas encore pleine non. Bizarrement Il eu une pensée pour Eden, maintenant qu'il était marié peut-être pouvait-il, aller à sa rencontre.

Après tout rien ne leur empêchait de se voir dorénavant.

Bien sur, il fallait aussi attendre de voir comment sa relation avec Fuarre évoluait pourqu'il veuille bien l'emmener avec lui. Mais chaque chose avait son temps. l'heure de rejoindre Morphé était arrivé. Il cessa de tracasser son esprit et s'endormi malgré la légère douleur au creux de ses reins.

Guram  Tome1 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant