Chapitre 12

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-Raiponce ? Réveille toi merde ! S'exclame Eugène en claquant des doigts tout près des yeux de la blonde. Celle ci se réveilla en sursaut et regarda Eugène bizarrement.

-Y c'est passé quoi ?

-Ben tu t'es endormie après avoir dit que Maxime et Pascal était gay.

-Mais tu t'es pas étouffé ? On est pas a l'hôpital ?

-Pour l'étouffement, j'y étais a deux doigts, et non on est pas a l'hôpital mais dans la bus. T'es sur que ça va ?

-Oui j'ai juste..... rêver que tu t'étouffait et qu'Elsa nous disait que la prof d'anglais avait vraiment ses règles...


Eugène la regarda longtemps avant de prendre son téléphone et de composer un numéro.

-Allô le centre psychiatrique ? Demande t-il, un sourire au lèvres. Raiponce se précipita sur lui et lui enlèva le portable des mains, raccrocha et sortis du bus, suivit d'Eugène qui souriait comme un crétin.


M E R I D A

J'ouvris les yeux. Harold n'était plu la, il avait du partir dans la nuit. Il m'avait prévenu qu'il resterait aujourd'hui.

Lorsque j'avais fini de tout dire a Harold, j'avais eu un sentiment différent que quand j'en avais parler au filles.

Avec les filles, le lendemain j'en pleurait encore, je n'avais pas changer.

Mais avec Harold je me suis sentit..... libérée.

Je sors de la chambre et le découvre couché sur le canapé, a moitié par terre, la bouche ouverte, en train de ronfler. (XD sa doit être beau a voir xD)

J'éclate de rire et il se réveille en sursaut, manquant au passage de s'éclater contre le sol, ce qui me fait rire encore plus.

Il me sourit, et j'arrête de rire, à bout de souffle.

-Hey ! Murmure t-il.

-Hey ! Je répète.

-Hey.

-Hey.

-Hey hey.

-Hey hey hey.

Et on rigole en même temps, comme deux idiots. Enfin, non, pas comme. On es des idiots.


E L S A


J'ai besoin de rentrer chez moi. Je ne peut plus supporter ces murmures incessants, je ne peut plus cesser de penser à Hans.

-Arendelle ! Mon cours vous intéresse ?

Je relève la tête vers la prof de français.

-Non, c'est pour ça que je vais me casser d'ici. Répliquai-je en me levant.

-Pardon ?

-Je vous en prie, vous n'êtes pas sourde !

Sur ce, j'ouvris la porte et sortit, sous les regard ahuris de mes camarades.

Quelque minute plus tard, Jack arrive en courant près de moi.

-Qu'est-ce qui ce passe ?

-Laisse moi tranquille. Murmurai-je en sortant du lycée.

-Elsa, je vois bien qu'il y a quelque chose ! Dit le moi !

-Laisse moi TRANQUILLE !

Il pose une main sur mon épaule,e t je me retourne vers lui, furieuse.

BriséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant